Oui ..........,
J'ai cherché. Ce grand besoin à combler, je crois bien que ce soit le besoin d'être aimé, approuvé. Le besoin de me sentir utile, aussi. Et tout dernièrement, le besoin de prendre soin de moi.
Wow! Ça en fait des besoins!
Je ne m'obstinerai pas avec toi au sujet des enfants. Ta situation et celle de mon ex-femme sont différentes.
Je vais seulment te dire une chose.
Qu'est-ce qui est préférable pour des enfants: un père malheureux ou un père heureux?
Rephrasons... Préfèrent-ijls un père présent mais malheureux ou un père absent mais heureux?
Je n'abandonne pas mes enfants. S'ils veulent venir vivre avec moi, ils sont les bienvenus... Pas pour l'instant parce que mon appartement est trop petit... mais je vais éventuellement déménager dans plus grand. S'ils veulent venir vivre avec moi, je n'ai pas de problème.
Et lorsque tu parles de la famille comme quelque chose de plus fort que tout, et bien... on dirait que ce n'est pas vrai. Sinon, des séparations il n'y en aurait pas. Il ne faut pas mélanger famille et couple. Mes enfants comptent pour moi. Je ne me considère pas comme un soutien occasionnel. Mais c'est peut-être toi qui a raison. Peut-être ne suis-je que ça.
Je crois qu'on commence à faire le tour de la boucle, .......... .
Tu sais, ma famille a toujours été la priorité numéro un de MA VIE. J'ai tout investi dans ma famille. Je n'ai absolument rien gardé pour moi. J'aurais dû.
Je n'ai pas fui. Je n'ai rien fui. J'ai voulu être heureux. La seule façon, pour moi, a été d'aller vivre avec cette personne qui m'apporte tant et à qui je peux donner tout autant. J'aurais rejetté ça? Mieux aurait fallu que je reste et crève à 55 ans, plutôt que de partir de de mourrir à... je ne sais pas, moi... 70, 80 ans?
J'ai choisi de vivre avec cette personne. Mon prix à payer, c'est la peine que je cause autour de moi.
J'ai eu tort?
De toutes manières... peut-être vais-je mourrir la semaine prochaine! Qui sait? Et tout ça n'aura été qu'un rêve (au cauchemard...).