y a t-il une fin aux attaques de paniques?

Coucou Mic,
c'était super pour moi aussi de pouvoir vivre en live avec toi et les autres cette phase d'attaque et de prise en charge de ces crises.
Et comme on dit pas de nouvelles = bonnes nouvelles!
En effet, ça va de mieux en mieux, j'arrive à laisser circuler cette négativité et je me remplie de pensées positives. J'essaye de vivre chaque instant, dans le moment et ça m'aide vraiment à reprendre contact avec mes sensations, et du coup je ne divague plus à travers ces pensées catastrophes. Aujourd'hui, je suis montée dans les métros et tout c'est très bien passé alors que ça faisait plus de 2 mois que j'apréhendais ce moment. Il n'y a pas de secret je crois, faire face et encore faire face, vivre ces peurs, accueillir les pensées et les laisser circuler tranquillement. J'ai attaqué du yoga, j'y vais une fois par semaine et je prend vraiment conscience de moi, de mes émotions, de mon corps... En bref, je revie et différement. Tout ça a pris du sens, j'ai compris pourquoi j'avais développé ça (exigence, besoin de contrôle, pas l'habitude d'exprimer mes émotions...) et j'ai envie de fonctionner différement, d'être à l'écoute de mes besoins et gérer une chose après l'autre. Ces crises sont pour moi l'occasion d'une renaissance, avoir pris conscience de ses aspects est une opportunité pour moi de grandir de l'intérieur.
voila Mic, je t'avoue que je me sens revivre, je sais qu'il reste de la route mais maintenant je connais le chemin et je canalise mes énergies!
Je suis contente que tu ailles mieux aussi, tiens moi au courant. Je crois que si je n'écris plus trop c'est que ça va dans le bon sens! Je continue à lire les nouveaux témoignages et j'espère que mon expérience pourra servir même si je crois que chacun doit trouver son propre chemin.
Bonne continuation

Je vais t'avouer que le moral à des hauts et des bas c'est pas roses tous les jours. Je pense que les antidepresseurs ne font que masquer les symptomes mais ne les guerit pas. Il faut plutot prendre le taureau par les cornes et se lance des défis. Tu commences par des choses simples au début après ton sevrage d'anxiolytiques et d'antidepresseur (aller faire des magazins, conduire, prendre le train, ...). Je suis d'accord que les premiers jours c'est la panique mais rassures toi: on ne meurt pas d'une crise d'angoisse (heureuseument sinon je serais mort 1000 fois!!!).

Ensuite pour changer ton acheminement de pensées (qui changera pas du jour au lendemain) à chaque fois que tu te sens pas bien notes sur un cahier la situation et la pensée qui te viens à l'esprit. Si t'es en période de bad trip tu verras que ces pensées sont souvent négatives (du genre je suis pas normal, j'y arriverais jamais, je fuis,...). Le soir reprend ces notes et réfléchis sur ce que tu pourrais penser lors de ces mêmes situations mais en te valorisant (du genre j'ai reussi à faire face a ceci, je m'en suis pas mal sortie, c'est pas la mort, ...). Le but est comme tu le vois de reprendre confiance en toi.

Maintenant parlons du plus mauvais moment: lorsque la panique est la. Dis toi que ca va pas durer longtemps car c'est juste passagé. Concentres toi sur la respiration (respire au niveau du ventre) pour éviter de faire comme si tu t'apprêtais a faire de l'apnée ce qui provoque des vertiges. (Rapelles toi quand le medecin t'osculte avec le tetoscope quand y te demande de respirer avec la bouche: au bout de 2mn t'as la tete qui tourne). De plus la respiration au niveau du ventre régule ton diaphramme ce qui est apaisant et diminue le stress). Ensuite essaye de te concentrer sur qque choses, ,'omporte quoi qui t'éviteras de penser à ce que t'éprouves. Bon d'accord c'est facile à dire mais c'est plus difficile à faire mais tu verras qu'à force c'est comme les cours ca finit par rentrer!

Sinon pour le côté sentimental c'est vrai que ca m'a joué des tours et je m'empéchais d'avoir des histoires sérieuses à cause de ca. J'es trouvé une fille compréhensive qui m'a toujours connu come ca et qui n'es souffre pas tant que ca mê^me si elle se pose des questions pour la suite: comment gérer ca et des enfants. Enfin c pas pour demain donc je m'affole pas. Voila joue la carte de la franchise et si y te comprends pas oublies tu pourras rien y changer.
Dis toi que de toute facon ca vaut le coup d'être vécu même si ca marche pas toujours.

J'espères avoir répondu à tes questions, et si t'as des tuyaux ou des trucs pour me faciliter la vie je suis toute ouïe.

Bon courage chris

j'ai souvent des attaques et je prend des medicament mais ça n'ameliore pas je pense comme sophie musique respirer et laissez tranquillement rien ne peut arriver cool
theodora

je ne sais pas ou tu est rendue sur le forum mais ou que tu sois je te merci tres sincerement pour tes conseils ta philo de la vie comment controler ses crise meme si tu semble dire qu il ne faut les controle indirectement cest bien domage que lon ne puisse plus voir tes temoignage si precieux moi ils mont vraiment aider si jamais tu vois mon message bien laisse moi un petit bonjour a plus colombo

Je suis sensible à ton témoignage car j'ai vécu et je vis toujours la même chose. Je suis jeune aussi 23ans et ca m'a pris il y a environ trois ans, j'ai cru devenir fou! Perdre de controle, une pannelle de symptomes incroyable bref la totale. J'ai perdu une années de vie a cause de ca à rester cloitrer chez moi à ne plus pouvoir rien faire (plus d'activités 10kg de perdu et 15j d'hospitalisation). J'ai suivi comme toi un traitement à base d'antidepresseur (deroxat) et d'anxiolitique preconisés pour l'anxiete. Resultat: que des effets secondaires indésirables et pas d'amélioration significative. Je te rassure je vais beaucoup mieux aujourd'hui car j'ai été voir un comportementaliste (t'ai pris en charge pour les remboursements) qui m'a appris rapidemment (qques semaines) comment gérer les crises et éviter de perpétuer le cecle vicieux. si tu veux en savoir plus contact moi. J'ai repris les cours et je fais maintenant de l'alternance (BAC+5 merci le stress!!!) et je m'en sors je suis meme parti à l'étranger avec ma copine cet été (dur dur mais c passé). Voila comme quoi tout n'est pas perdu donc perds pas confiance. ca fait toujours du bien de savoir que tu n'est pas la seule et que tu n'est pas folle n'est ce pas cart le plus dur dans cette situation c'est l'incompréhesion des proches et du corps medical qui t'orientes direct chez les psy.
Voila j'attends de tes nouvelles.

Accroches toi bien!

Bon courage. christophe

pour moi ca va beaucoup mieux 4 jours sans crise meme pas une pense seulement a peine croyable mais cela fait tellement de bien comment jai fait pour connaitre se grand bonheur et bien grace a tes temoignages soph le comtrole de soie meme controle sa respiration arreter de vouloir fuir ses crise plutot aprendre a les gere differaments meme auto sugestion le soir avant de sans dormirmoi je me dit que cest crise la finalement sont arriverbang comme celadans ma vie et bien ils vont repartir de la meme facon pour moi cest une nouvelle facon de vivre avecce malaise mais cest comme je le dit deja 4 jours ok ce nai pas gros seuiement voit tu je macroche a se bonheur la et en plus je vois que cela est possible car je lai fait et je peux le faire encore et encore et en pleu jai arrete de fumer et jai commence a me mettre en forme tous cela pour dire que sais possible de sans sortirmes il faut aller au bout pour en voir le jours mais non je ne par pas en peur je suis tres realiste sauf je vais tous faire pour reste dans cette idee de cette facon jai reussi a les controler et autant dans des moment plus stressant egalement alors pour linstant cela me reussi et biem bravo encore pour tes temoignages colombo et surtout donne moi suite ace message a plus mic

Comment allez vous, compagnons de route!! voici les dernières découvertes de Colombo!!

Je deviens assez spécialiste sur le sujet, je lis des livres destinés aux psychologues cognitivo-comportementals pour leur présenter les thérapies. TRES TRES enrichissant; je découvre aussi l'impacte sur le système EOS (endogenous opioid system). C'est ici que va se renforcer le comportement d'évitement ou de faire face. Plus tu évites, plus tu te programmes à éviter et vis et versa.

De plus il y a des caractéristiques récurentes chez les personnes qui dévelloppent des AP (attaque panique) et quand ça à commencé je réunissais 5 des 6 éléments. Donc pas de surprise!! et j'ai aussi compris pourquoi tant de gens font des rechutes ou n'en sorte jamais vraiment totalement. Une fois qu'il vont mieux, ils arrêtent la thérapie ou le traitement sans vraiment travailler sur les drivers de leur personnalité tel que apprendre à exprimer ses émotions, ses besoins, l'autoestime, le droit à l'erreur, réduire ce besoin de tout contrôler, choisir d'affronter toutes les situations (implique les bonnes et les moins bonnes)... Bref, le tout est de créer un climat qui nous rend moins vulnérable à réentrer dans le cercle vicieux des attaques de panique.
Ce qu’on doit avoir conscient je pense est que les attaques de panique ne sont pas comme une grippe que l’on peut soigner avec des médicaments ; on se traite avec un travail personnel qui vise des objectifs à long terme, on se renforce intérieurement. On peut s’en sortir à 200% mais il faut aussi être prêt à mettre notre impatience en veille quelque temps et vouloir vraiment suivre les étapes de la thérapie.
Je me suis fait un programme, et je pense pouvoir arriver avec déjà quelques avancées avec la psy. En tout cas je sais que c'est important pour moi d'avoir un suivi professionnel puisque c'est malgré tout une maladie. Mais maintenant j'ai compris la logique, je sais que c'est du long terme et qu'il n'y aura pas de miracle. C'est un travail sur moi, et je crois qu'il faut savoir être patient et fournir les efforts nécessaires pour récolter ensuite.
Bonne route, donnez moi des nouvelles!!
NB je suis en phase 1: je fais une relaxation quotidienne (de préférence le soir au couché); je vais lire 2 livres (l'intelligence émotionnelle et l'autoestime); j'essaye d'exprimer mes besoins naturellement, j'observe mon comportement face à mes émotions et mes pensées et je note simplement l'impact; en cas de crise je fais face et j'accepte que je vais me sentir nerveuse un moment, j'en profite pour observer toutes les pensées et les émotions.
A suivre... courage, on a vraiment du mérite, il faut se le reconnaître!! A+

salut soph encore une fois les recherche de colombo me seras tres precieuse et a tous le monde qui le lira je vais essayer de le trouver sur internet relax panique cela semble tres interressant merci de mavoir repond moi je vais voir mon doc bientot et crois moi jen nai long a lui dire pour ma part jai toujopurs les symphome de jour en jour je me dit que cela va arrete et cest certain que ca vas arreter car je suis tres determineret tu sais le soir je me repete deux a trois avant de me coucher bon cest arriver tout seul et cela va partir tout seul. a la ligne en passant je trouve que tu as une bonne philo de penser et je suis que tu va ten sortir bon courage ne lache pas a plus de micjattemps de tes nouvelles