trouble panique
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Ton message m'a beaucoup rassurée. J'ai 25 ans et suis sujette aux crises d'angoisse, même plutôt de panique depuis l'âge de 15 ans. On m'a dit que cela passerait vers 18 ans, puis vers 20 ... et puis maintenant avec le premier enfant!
Même s'il y a des périodes d'acalmie, cela me bloque dans ma vie de tous les jours car j'ai peur d'être isolée, seule, sans personne qui ne puisse me secourir si je venais à faire une crise et j'ai souvent l'impression que je vais mourir. Alors je connais malheureusement très bien ce que tu as vécu (quel plaisir de pouvoir mettre cele eu passé!).
J'ai suivi une thérapie cognitivo-comportementale qui n'a pas donné de résultats. Le médecin a essayé de me mettre sous deroxat et sous d'autres antidépresseurs mais cela n'a donné aucun résultat.
Je vais parler à mon médecin de l'association danston traitement pour savoir si cela pourrait fonctionner sur moi.
Merci de ton témoignage qui me donne l'espoir de me sortir définitivement de ce mal être sous-jacent.
Ingrid
tu doit tout d obore penser a toi a ta santer si tu voie que la crise arrive prend une bonne boufer d aire pense a tes copine elle sont bien elle s amuse profite de la vie et toi tu pense comme une femme de 50 ans qui a deja vecu mais fait comme moi j ai 24 ANS DE PUIS 7mois je soufre de crise de panique angoise mais je sui jeune toute la vie devant moi ma fille a 2ns je suie obliger de rester sur mais deux pied moi aussi je suis jeune mais je conais beaucoup de monde qui on soufer de sa et un jour il se sont lever un matin plus rien tu doit enlever la chose qui te boufe dans ta tete tu vera que sa va partir moi aussi jait comme sa sa va mieux salut nesite pas a m ecrire ok je parle avec beaucoup de gent qui soufre de sa
bissous
Caléandra,
Merci pour ton témoignage, et merci de ta suggestion de lecture ("Être bien dans sa peau" de Burns). C'est sûrement un livre que je penserai à me procurer, car depuis deux semaines, je subis une rechute de crises de panique et d'anxiété. J'ai été diagnostiqué voici maintenant 7 ans. J'ai suivi une thérapie qui m'a bien aidée. Bien entendu, on m'a mis sur le Paxil dès le début et bien que ce médicament semble avoir fait du bien, ses effets secondaires peuvent être déplaisants. Mais les crises ont disparu graduellement pour ne devenir que de mauvais souvenirs. J'ai donc été complètement foutu par terre quand j'ai eu une nouvelle crise la semaine dernière. Je me pensais sur la bonne voie et je me sentais bien dans ma peau depuis plusieurs années.
J'ai donc pris rendez-vous avec mon médecin de famille et je crois que je vais devoir recommencer une thérapie, et peut-être même les anti-dépresseurs (ça, on verra!). Présentement, je continue à fonctionner de façon à peu près normale, bien que je doive prendre du Xanax à l'occasion pour maîtriser mon anxiété, surtout le soir rendu à la maison (quand je suis "seul" avec mes pensées anxieuses; le jour, le travail me garde trop occupé pour que je me sente mal).
Le pire, c'est que les crises, même si elles sont terriblement désagréables, ne me font pas toujours si peur que ça. J'en ai eu une l'autre soir et j'ai appris à laisser monter la "vague" d'anxiété en moi sans trop y résister, sachant qu'au fond, une crise est juste des sensations physiques innofensives qui passent somme toute assez vite. Mais il doit y avoir une sorte de réflexe naturel qui nous fait redouter ces sensations, parce qu'on a beau rationaliser tant qu'on veut, on n'aime pas souffrir et se sentir mal. Des fois, donc, j'ai encore la chienne: quand je suis plus vulnérable mentalement et que je n'ai pas la force (ou le goût) de suporter la crise sans broncher, je me menace littéralement en me disant que si ça devient insuportable, je sors le rhum et je me saoule afin de ne plus rien sentir. Je ne l'ai pas encore fait, et je pense pouvoir résister à la tentation de noyer ma peur. Mais comme j'ai un jour dit à ma blonde, je comprends maintenant pourquoi certaines personnes sombrent dans l'alcoolisme. On veut oublier, ne plus être mal.
Jusqu'à maintenant, je garde courage et j'affronte la tempête. Et puis, le fait de prendre en main cette saloperie de maladie et d'aller voir un docteur bientôt me rassure. Faut rester positif! Il y a des jours meilleurs à venir!
F.