Je me reprends donc; de la façon dont tu m'exprimes "ton état", là je suis d'accord avec toi. Tant qu'à ça, je souffre d'agoraphobie, disons passagère maintenant, et je prends des médicaments pour les "nerfs" puisque ma vie est assez dure avec des enfants "différents". Et je crois parfaitement que j'ai le droit à l'amour, de plus je l'ai trouvé.
Ce que je voulais dire, et c'est loin d'être méchant, c'est qu'une personne en pleine dépression a besoin de toutes ses énergies pour vaincre ce mal qui est si lourd à porter. Je n'ai absolument rien contre ceux qui font des dépressions voyons, j'en ai fais toute une, alors que comment voudrais-tu que je puisse penser que ces gens n'ont droit à rien ? je me suis probablement mal exprimée, et à la lecture de ton message qui suit le mien, bien non, je ne vois pas du tout pourquoi tu resterais seule, que tu te priverais d'aimer et de l'être. Je connais aussi les thérapies, et plusieurs dans la même semaine, c'est très loin d'être rigolo !
Je reprends donc la phrase à laquelle je crois; une personne qui est seule (donc pas d'amoureux dans sa vie) et qui à ce moment là se tape une dépression, bien c'est mieux pour cette période, enfin disons pendant le plus gros de son état dépressif, qu'elle mette toute son énergie, enfin le peu qu'elle a, à se restructurer, à se refaire une santé. Il me semble que ça se tient, qu'on ne plonge pas dans autre chose lorsque l'on a déjà de l'eau par-dessus la tête. Est-ce que là je me suis mieux exprimé Cléophée ? j'aimerais bien que tu me dises. Sinon je vais voir à revoir parce que j'aime bien comprendre et si j'suis pas dedans pantoute, j'aviserai.
Hélène