grosse fatigue

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c'est difficile...

#17 Posté le par DCF__5614

Salut Lynx,

Cela fait plus d'un an que je ne travaille plus. En ce moment je stagne, je rumine, je me morfonds dans mon coin. Au fonds, je ne sais plus ce que je veux faire au juste. J'ai bien une idée. J'aimerai repostuler dans la vente ou le commerce, mais c'est dure de ce remettre dans le bain du travail, surtout quand on traine une dépression et une phobie derière soi. Il y a un an et demi, j'ai justement dû quitter mon emploi de vendeuse, sur un coup de tête, car cette foutue phobie m'est tombée dessus sans crier gars, ce qui m'a entrainé direct dans la dépression. depuis, j'ai une peur bleue de la foule, des gens, des grandes surfaces, des lieux publics... et de sortir seule tout simplement. J'ai peur de ne pas pouvoir contrôler mes angoisses, de me sentir mal et de faire une crise. C'est horrible se sentiment bizarre de se sentir constament envahit par son anxiété, sans rien pouvoir faire, si ce n'est qu'affronter ses peurs en permanence.
J'aimerai tellement réprendre une activité sportive mais je manque de courage, je n'arrive pas à trouver la volonté de me consacrer au sport. Pourtant je suis de nature trés sportive et je sais pertinament que ça pourrai me faire un bien fou, que je pourrai reprendre un peu plus confiance en moi et me sentir mieux dans ma peau. Ainsi, j'arriverai plus facilement à affronter le monde extérieur et tous mes problèmes de la vie quotidienne. Cela dit, je vais y penser sérieusement. Est-ce que le sport t'as aidé dans ta dépression? Bises.

Anaîs

salut

#16 Posté le par DCF__2360

ces vraix ces pas facile .
faut travaille ,mes dans quoi ?
surtout quand on est endepression ,ces impossible .
essais de fair un peu de sport ça te feras un peu de bien de surpassé .
quand pensse tu ?

c est quoi ta phobie ?
bye

médicaments

#15 Posté le par DCF__8996

Bonjour Anais,

Oui, je prend des médicaments, Zoloft+Xanax, 1-0-1 pour le premier et 1-1-1 à 0.5 mg pour le second.
Bien entendu non, je n'ai personne à qui me confier, enfin dans la vraie vie.
Je vais bientôt partir loin de chez moi pour mes études et je ne verrai donc plus mon psy, mais j'aurai mes pillules avec moi, juste au cas où. Mon psy pense que je ne suis pas sérieux lorsque je lui ai parlé de mes pulsions morbides, il dit que si je suis allé le voir c'est que je voulais vivre, alors du coup je ne lui en parle plus.
Le problème c'est que j'ai déjà tout échafaudé, et marche toujours dans la même direction malgré la thérapie. Bien sur ça ne fait pas longtemps que je l'ai commencée mais vu que je devrai l'arrêter dans 1 ou 2 mois maximum et je ne pense pas pouvoir faire du chemin d'ici là ou du moins inverser la direction dans laquelle je vais.
Pour l'instant c'est latent mais que je ferai rien pour l'instant parceque lorsque je suis chez moi, je suis blindé contre l'extérieur.
Tu parles, de tes études que tu as arrêtée, et bien en ce qui me concerne, je ne vis qu'à travers les miennes. Je me sent inférieur alors pour gagner le respect je dois faire le maximum dans les études parcequ' on m'a élevé en me faisant comprendre que ma valeur viendrai de la hauteur de mes études. Et cette valeur est étroitement liée à l'argent qu'elle me permettrait d'engrenger. Mais au font de moi, ce qui m'interresse c'est faire ce qui me plait et pas ce qui plait à mes géniteurs.
De toutes façon je ne serai jamais satisfait, après BAc+2 il me faut +3 et +4 et après il me faudra + encore parcequ'il y aura toujours plus haut que moi et que je ne me sentirai jamais à la hauteur. Reste que mes capacités sont limités et que je n'arrive qu'extrèmement difficilement à mes fins.
Des loisirs, il ya longtemps que je 'en ai plus.
Mon anti-dépresseur n'agit que parciellement et mon psy semble déçu de ma stagnation.
Pour ton avenir professionel, je te souhaite bonne chance, tu peut toujours faire des formations complémentaires, dans certaines branches (comme l'informatique) on accèpte même les auto-didactes. Pour la phobie et la dépression aussi je te souhaite du courage. Même si pour les relations sentimentales, il me semble que les filles sont moins handicapées que les garçons par cette phobie.
Quelle dose d'antidépresseur t'as on prescrit, je me demande bien si mon psy ne m'a donné une dose homéopathique...

courage, petit ours.

Après tout ce que t'as vécu???

#14 Posté le par DCF__4028
Parles-tu de la longue abcense et l'éloignement qui pèse ou autre chose de plus profond et malheureux????Pom

c'est le calme plat...

#13 Posté le par DCF__5614

Bonjour Petit Ours,

Tu sais, j'ai eu à peu prés le même parcours que le tien, à quelque chose prés. J'ai dû arreter mes études car la branche que j'avais entrepris ne me plaisait plus du tout. Je voulais être dessinatrice. Alors, tous mes rêves se sont envolés en fumée. Je suis donc arriver sur le marché du travail avec aucun diplôme en poche, si ce n'est mon BEP. Je me suis cantonnée à faire des petits boulots. En ce moment, je suis entrain de stagner, de faire du sur place. Il n'y a plus rien de trés positif, de trés paltitant dans ma vie. Et puis, desfois, j'en ai marre de devoir supporter cette foutue phobie et dépression. ça me pourrie vraiment la vie. J'en arrives même à me demander ce que je fous encore sur cette terre. Qu'est-ce qu'y peut bien me retenir ici. Parfois, j'ai l'impression de me sentir vraiment inutile, incomprise. Je n'ai plus de projets, plus d'envies, de loisirs... Je ne sors presque plus, je ne vois presque plus personne. J'ai bien pensée à faire une grosse connerie desfois, mais je me dis, non, la vie vaut quand même d'être vécue, même si il y a des obstacles, des embuches, des echecs et des déceptions. Je ne peux pas faire une chose pareille, de passer à l'acte, même si je me trouve vraiment au bout du rouleau quelquefois. Je n'ai plus de boulot, ma famille ne comprend rien à ma maladie et mes amis ont tous pris la fuite les uns aprés les autres. Alors, qu'est-ce qui me fait vivre, et bien écoute, pour te repondre franchement, je n'en sais rien. Peut-être ma forte volonté, mon courage, ma force à vouloir à tout prix m'en sortir, et heureusement que j'ai mon anti-dépresseur qui me permet de me remonter le moral et de rester debout, car sinon, je ne sais pas où je serai à l'heure actuelle. J'ai tellement de mal à me projeter dans l'avenir.
Mais toi, qu'est-ce que tu entends par :"je vais passer le cap bientôt"? tu vas tout de même pas faire une connerie,dit? Je comprends bien que tu en ais marre de trainer cette maladie et que tu
es honte de toi.Mais tu n'es pas nul! Tu es encore jeune. A 21 ans, il y a encore beaucoup de choses agréable qui t'attendent. On a chacun une vie à construire, un potentiel à développer. Et puis je suis certaine que tu es quelqu'un de trés bien, car tu essayes d'aider les autres, d'apporter des réponses à leurs problèmes et ça c'est déjà un grand pas. Alors, dis toi bien que si un jour tu arrives à t'en sortir, la victoire n'en sera que plus belle.
Est-ce que tu as des personnes à qui tu peux te confier? Prends tu des médicaments pour ta dépression?
bon courage, et donnes moi de tes nouvelles. A bientôt.

aujourd'hui c'est atténué

#12 Posté le par DCF__8996
Bonjour Anaïs,
pour ce qui est de ma phobie aujourd'hui, ell est atténué assez fortement. Je peut réaliser les actions simples pour survivre mais je manque quantité d'occasions. Par exemple, j'ai faillis arrêter mes études parceque je ne pouvais pas faire les démarches nécessaires. Ce n'est d'ailleurs pas moi qui les ai faite.
Aujourd'hui je me rend compte que j'ai 21 ans et que je n'est rien vécu, je me dis toujours que c'est la dernière année, et puis l'année suivante je suis encore là. Pourtant, cette fois ci, je vais surement partir loin et je pense que je vais passer le cap bientôt. Je ne suis plus stressé, je n'ai plus ces moments de souffrances mais, je ne vois plus d'interêt et j'en marre et honte d'être rien et nul. De toute façon ce que je n'ai pas vécu me suivra toute ma vie, alors autant faire en sorte qu'elle ne soit pas trop longue à endurer.
Et toi, comment vas-tu ? As-tu réussie à diminuer tes dodes d'anxiolytiques progressivement ?
Qu'est-ce qui te fait vivre toi ? Qu'est-ce qui te retient à la vie ?
à bientôt...

Ah! les médicaments...

#11 Posté le par DCF__5614

Salut Galium,

Je vois que toi aussi tu es assez réticent envers tout ce qui est médicaments. Moi aussi j'ai la même appréhension que toi en ce qui concerne tous ces trucs chimiques. J'aurai facilement tendance à arréter mon traitement sur un coup de tête, tout ça parce que je n'arrives pas à accepter les effets secondaires. Jusqu'à ce que je rechute de nouveau dans la dépression. Je sais bien que les médicaments ne sont qu'une béquille servant à soulager notre état physique et psychique et notre mal-être intérieur. C'est dûr de se faire administrer des médicaments, car on se colle une étiquette de malade alors que l'on a bien du mal, au fond de soi, à se l'admettre. On prefére plutôt se cacher cette maladie et la cacher aux autres, car on a toujours l'impression que la dépression est une maladie honteuse, qu'elle ne peut atteindre que les faibles, les personnes fragiles et sensibles, alors qu'au contraire, elle peut toucher tout un chacun.
Toi, tu arrives quand même à surmonter et à supporter ta dépression au quotidien, sans aucune aide médicamenteuse et thérapeutique. Car moi, dés que j'ai le malheur d'arréter mes anti-dépresseurs, je me sens encore plus mal qu'auparavant, et j'ai peur, quelque part, d'en être vraiment dépendante et de ne plus pouvoir m'en passer. En ce qui est de la thérapie, moi aussi j'avais bien du mal à poursuivre mes séances plus de 6 mois. Une fois que j'avais vidé mon sac, que j'avais pu évaqué ma haine, ma rancoeur, je n'avais plus rien à faire sur le divan, que de prendre mes cliques et mes claques. Mais toi, pourquoi n'as tu pas pu continuer ta thérapie? Peut-être avais-tu du mal à te confier. Et pourquoi, ne supportes-tu pas les médicaments? A bientôt. Bisous.

Anaîs.

je prend pas toujour des calments

#10 Posté le par DCF__3027

je suis toujour comme ça meme sens calment ces ça le plus dur ,et je ne me fait pas soigné ,je devrais et j y pense ,j ais deja ete voir il y a lontemp un psychiatre + 2 ans et une psychologue il m on pas dit ce que j avais et avec la psychologue c etais plus dur que j aurais crue j ais pas pue fair plus de 6 seances environs .
deja la depression que j ais ,legere angoise et ces quand je me sens angoise que je prend 1/4 d atarax ces tous .
j ais deja eu il y a 2 ans des antidepresseur un c etait le prozac mes il ma rien fait et l autre qui a ete prescris par le psychiatre de l aroxil que j ais tres mal surporté je les arrete au bout de 5 jours ,mes je pense savoir pourquoi je les pas suporte .

a oui le comerce ces tres dur mentalment ,les gens si tu les laisse faire il te marcherais dessus .

bye anais

sevrage difficile

#9 Posté le par DCF__5614

Salut Petit Ours,

Je sais bien qu'il faut que je fasse attention en diminuant mon anxiolytique car ça m'est déjà aussi arrivé de tout vouloir arréter sur un coup de tête et, résultat, je me suis sentie encore plus mal que je l'étais auparavant. J'avais des tremblement partout, des angoisses, mon coeur qui battait à 200 à l'heure, du mal à réspirer... Alors, j'ai bien dû reprendre mon anxiolytique un peu à contrecoeur. Et depuis j'ai l'impression que j'aurai bien du mal à m'en passer et que j'en suis devenue vraiment dépendante de ces trucs là.
Mon prozac, quand à lui, je me suis résolue à le prendre tous les jours, car ça reste encore le meilleur moyen de ne par retomber dans la dépression et de ne pas rebroyer du noir.
Toi aussi tu as donc connu la phobie et tous ses travers. Je me demande encore comment cette maladie a bien pu me tomber dessus. Aprés tout je n'avais rien demandé. Mais maintenant elle est belle et bien là et depuis un an et demi j'essaye de m'en dépatouiller tant bien que mal. Mais je te promets que je n'y laisserai pas mes plumes.
Toi, est-ce que tu as vraiment réussi à te débarasser de cette phobie ou est-ce qu'il tes encore résté des peurs incontrôlées?
C'est vrai que d'aller consulter un psychologue ça reste encore trés cher, mais quand le besoin de parler devient indispensable voir primordial, dans ce cas là, on ne compte pas à l'argent. tu dis avoir du mal à te confier entièrement à ton psy dû fait qu'en contrepartie de son soutient et de son écoute, tu dois lui donner de l'argent. Mais chaque échange à un prix. Je sais que c'est dur de ce dire que ces gens là se font de l'argent facile sur notre dos, qu'on se trouve dans une grande détresse, un grand désarois et qu'eux ils puissent profiter de notre malheur pour s'enrichir, s'en mettre plein les poches. Il faut bein admettre tout de même qu'ils nous sont d'une aide précieuse dans les moments où tout va mal et que l'on cherche désespérement une oreille attentive, un réconfort. Sinon, à qui pourrais-tu aller confier tes états d'âmes sans te sentir jugé, rejeté, incompris. Alors ne leur jetons pas la pierre même si certains le méritent. Bisous.
A+

Anaîs

Travail oblige

#8 Posté le par DCF__5614

Salut Galium,

Je comprends trés bien que tu puisses te sentir trés fatigué, trés lourd, trés mou quand tu prends tes calmants et que tu dois aller bosser. Moi, je me trouve actuellement au chômage depuis maintenant plus d'un an et j'ai bien l'intention de rechercher un emploi d'ici peu. Mais quand je vois dans quel état je me trouve et comment ces médicaments m'assoment, je me demande si j'aurai vraiment le courage et la force de retrouver un emploi. Car je ne peux surtout pas me permettre d'être fatiguée à longueur de journée, vue que je recherche dans la vente et le commerce, donc qui dit vente dit être toujours dynamique, souriante, disponible envers les gens, avoir la péche, rester debout toute la journée, être présente pour les clients... Alors, il me faut vraiment un moral d'acier et une péche d'enfer pour pouvoir tenir à ce rhytme, ce que j'ai loin d'avoir en ce moment. Quand j'aurai tiré un trait définitif sur cette foutue maladie, je pourrai enfin me remettre sur le marché du travail, sans devoir être obligée de prendre ces médicaments.
Et toi, qu'est-ce que tu as comme maladie?
Bisous. A+

Anaïs


ce n est pas du benevolat

#7 Posté le par DCF__3027

ce n est un benevole ton doc il a besion de vivre aussi .
il faut que tu accepte de payé et temp mieux tu n a pas a te sentir obligé de lui devoir tu paye pour une consultation .
ces une bonne question que tu pose la tout de meme .
oui il soigne l ame et il n y pasq de symptome qui ce montre ou qui aparaisse sur le corp .

bye

Fais attention tout de même...

#6 Posté le par DCF__8996
Fais attention lorsque tu diminues les doses d'anxiolitique. Sans le faire exprès, moi j'ai diminué les mienne et je l'ai sentis tout de suite. Si en plus tu dis que tu souffres de crises d'angoisses il faut que tu sois très prudente avec ça.
Pour le prozac, ne l'arrêtes pas tant que ton medecin ne t'y a pas invité (en fait c pareil pour l'anxiolytique, tu devrais en parler à ton psychiatre), il y a un risque de rebond après l'arret, je viens juste d'en faire l'expérience !
Comme je te comprend pour ta phobie, j'ai vécu la même chose mais maintenant çava un peu mieux, je dis pas que c'est formidable lorsqu'il y a du monde mais au moins ça ne se termine plus à l'hopital...
C'est bien de consulter un psychiatre plutôt qu'un psychologue, au moin il peut prescrire et puis ça revient moins cher.
D'ailleurs à ce propos, il y a quelquechose qui me gène dans ma relation avec mon psy, même si je suis remboursé à 100% j'ai l'impression lorsque je lui remert l'argent que cet homme vit de la misère des autres et ça ne m'encourage pas à avoir de l'estime pour lui et à me confier.
Quelqu'un pourrait-il éclairer ma lanterne à propos de cet état de fait ?
Tiens nous au courant Anïs... et bon courage.
bye.

bien je suis obligé

#5 Posté le par DCF__3027
je travaille a 7h du mat alor quand je les prens ces pas facile de bossé ,mes quand je les prend pas ces presque pareille ,j ais beaucoup de mal a bougé ,je suis tres fatigué et je suis lourd ,j ais les jambe lourde et en plus j ais besion de tout ma tete car je travaille dans une grande surface et je dois me rapelle de tous les produis que je met en rayons ,quelle galere et en plus les clients a qui il faut repondre .
mes tu sais j ais ete tres lontemp au chaumage et c etais pareille j etais fatigué tout la journee et j ais jamais ete voir le medecin car j avais honte car je fesais rien et que j etais fatigué pour rien .
bye

A cette fatigue

#4 Posté le par DCF__5614

Salut Galium,

Merci pour ta réponse.
Je prends des médicaments depuis que cette dépression m'est tombée dessus. Au début c'etait trés difficile car j'avais du mal à supporter et à accepter les effets secondaires (somnolence, sécheresse de la peau, perte de mémoire...). D'ailleurs, j'ai fait plusieurs rechutes dû aux arréts fréquents de mon traitements mais depuis 2 mois je prends régulièrement mes médicaments, et parfois c'est vraiment dur car je me sens toujours vasseuse le matin, et la journée j'ai l'impression d'être un zombie, une automate. Mais bon, c'est vrai que je pense beaucoup moins, et que je rumine moins. Et ça c'est déjà trés positif.
Arrives-tu à faire des activités, des loisirs malgré la somnolence dû à tes calmants?
Parfois, je dors trés mal, en effet. Je redoute enormement la nuit. Je crains de me laisser submerger par mes angoisses, mes peurs. Et finalement je me reveilles au beau milieu de la nuit et impossible de retrouver le sommeil.
C'est vrai qu'on a beaucoup de mal à parler de la fatigue que l'on peut ressentir. On nous considére souvent comme des paresseux, des fainéants, des inactifs, et cela est vraiment dur à accepter. Car quand la fatigue nous tient, on
ne peut que dormir, dormir et dormir. Alors, esperont qu'avec le temps, la fatigue s'atténuera d'elle même. A bientôt. Amitié.

Anaïs

re.fatigue

#3 Posté le par DCF__5614

salut Petit Ours,

Merci pour ta réponse, ça m'a un peu éclairé sur ma question.
Moi aussi je pense que c'est mon anxilolytique qui est à l'origine de cette intense fatigue, mais c'est aussi peut-être dû au fait que je soit encore dépressive. Aprés mûr réflexion, j'ai donc décidé de diminuer progressivement mon Lysanxia à 1 tous les 2 jours, car je ne peux pas l'arréter brutalement, en raison des risques de sevrage.
C'est vrai qu'en ce moment c'est pas la grande forme. Je me sens trés enervée, fatiguée, à fleurs de peau. J'ai bien sur, été consulter un psychiatre pour me faire préscire des médicaments. Par contre je ne consulte ni psychologue, ni thérapeute.
Je prends des anxiolytiques depuis un an et demi car en plus de ma dépression, je souffre de phobie sociale (crise de panique, anxiété, angoisses...), et ça me calme quand même bien malgré la somnolence que cela occasionne. J'ai donc finalement décidé de ne pas arréter mon Prozac et de diminuer mon anxiolytique.
J'espere pouvoir surmonter cette immense fatigue. A bientôt. Amitié.

Anaïs

a cette fatigue

#2 Posté le par DCF__3027

moi je les et je prend rien du tout ,est ce que tu l avais deja avans d etre soigne cette saloperie fatigue .

moi je suis fatigué le matin , l apres midi un peu moin le soir ,elle m empeche de tout fair d etre bien dans ma tete moi je la traine depuis longtemps .

je pense que ça ne vienne pas de tes medicaments ,je pense que ça viens de la depression ou alor d une maldie soujassante qui pourait epuisé .

ou alor tu dors mal et tu ne recupairs pas la nuit .

j ais dit que je me soigne pas mes ces un peu faut desfoit je prens des calment de l atarax a 25ml mes la je suis tres fatigue le matin et j ais pas de memoire mes l apres je suis moin fatuigué ,je crois que le faite d etre endormie le matin sous atarax doit me fair recuperé car je pense beaucoup moin .

tu devrais le dir a ton psychiatre ou ton doc meme si sais pas facile pour toi de le dire car quand on est fatigue sens raison ces pris pour de la feignantise .

bye et @+

fatigue...

#1 Posté le par DCF__8996
Bonjour anaïs;
moi je penserais plutôt à l'anxiolytique pour la fatigue plutôt que le prozac.
Mais en faite je crois que c'est plutôt parceque tu es toujours dépressive que tu te sens fatguée.
Mais peut-être es-tu tout simplement malade en ce moment ? As-tu consultée un médecin pour cela ?
Peut-être devrais-tu en parler à ton/ta thérapeute ?
Tu manques peut-être de vitamines, tu devrais consulter ton médecin et faire un bilan.
Pour ce qui est d'arreter les médicaments, là, il faut que tu vois ça avec ton psychiatre ou ton médecin, lui seul saura te conseiller.
Ca m'étonne un peu que tu prennes des anxiolytiques depuis 1 an et demi, tu les prends depuis tout ce temps ? Quand même, ça assome un peu ces médicaments, ça vient peut-être de là mais d'ici c'est vraiment évident de te conseiller sur set état de fait...
Prend soin de toi, et courage pour la suite.