grosse fatigue

salut à tous,

je souffre de dépression depuis un an et demi maintenant. Pour cela, on m'a prescrit un anti-dépresseur (prozac) et un anxiolytique (lysanxia). depuis, que je suis mon traitement, cela va un peu mieux, mais je me sens toujours fatiguée. Je lutte constamment contre cette immense fatigue qui me pése chaque jour, un peu plus. C'est un énorme poids que je traine toute la journée. Alors, j'aimerai savoir, celon vous, qu'est-ce qui peut être à l'origine de cette fatigue intense, soit est-ce mon anti-dépresseur ou plutôt mon anxiolytique. car je ne sais plus quoi penser.
Peut-être est-ce dû tout simplement au fait que je sois encore dépressive. Mercie de m'aider, car j'ai vraiment envie d'arréter mes médicaments.
Amitié.

Anaïs.

Ton message est perdu ici. Le mieux serait de partir ta propre discussion.

Bonne chance

bonjour , j'ai trouver cette espace pour demander un conseil pour mon problème qui dure depuis longtemps et il ne veut pas finir , je commence a etre stressé et j'ai peur que je sois depressif je ne sais pas est ce que je doit raconté mon histoire ou pas , mais je vais la raconté commeme esperons que quelqu'un me montre le bon chemin et merci . Voici mon histoire :

j'ai connu une fille serieuse et eduqué elle de bonne famille et presque de meme age qque moi elle a 28ans et moi 30ans , on s'aime depuis 3ans l'orsque je l'ai demander en mariage a 03 reprise son père a refuser a ce mement là l'ai sentais que ma vie et fini , pourtant son pere a bien reconnu que nous somme une bonne famille et que je suis l'homme ideal pour sa fille quesqu'il a trouvé comme explication a son refus que nos cotumes et differante pourtant nous somme des villages voisin . Je vous informe que sa 2ème s'esy mariée malgre le refus de son pere parcequ il est un peut solitaire il ne parle a personne il est immigré en france , maintenant je ne sais qui faire aider SVP et conseillé moi

Même pour toi, Anaîs le soleil brille!Tu connais "le fabuleux destin d'Anaîs"?Non?Et BIEN c'est une histoire qui fini bien.Bon, j'arrête et je t'écris plus serieusement maintenant. Ton message qui date d'un an m'a frappé, j'espère que tu vas mieux. Je prépare un mémoire sur l'angoisse et la phobie, ces termes te disent quelques chose je supose...Et moi même j'ai eu ces pbs qd j'étais petite, j'ai également fais une dépression il ya 5ans. Pour ce qui est de ta fatigue, tes médicaments y sont certainement pour quelques choses mais je pense que c'est le poids de ta vie et de tes soucis qui te fatigue. Lorsqu'on a le mal de vivre tout nous pèse, tout semble insurmontable, c'est normale, il n'y a que le temps et l'aide d'un psy qui peut allèger les choses. Il y avait un truc qui m'aidait quand même, je me disais : pense à demain mais pas plus sinon ça donne le vertige et chaque soir je me disais, bon, une journée de passée avec cette fichue maladie, elle n'a pas encore gagner, je peut être contente de moi.Surtout, faire ce qui nous plait, c'est tellement dur de savoir ce qu'on veut dans ces moments où on ne se reconnait même plus, alors si tu sais que quelque chose te fais plaisir, même une petite chose, fais le. Voilà, je me demande bien si tu liras un jour ce message, peut être qu'il n'interessera même pas et je l'espère parce que ça voudra dire que tu es gérrit!Bisou, MILOU

Bien-sûr que l'amour inconditionnel c'est bien et c'est normal pour un parent envers son enfant.
Lisez donc Françoise DOLTO ...

C'est important, c'est si important.
Les parents (pour la majorité) aiment leurs enfants pour ce qu'il sont. Ils ont des yeux marrons, et alors ?... Ils sont handicapés, et alors ?... Ils sont notaires, femme de ménage ? ET ALORS ?...

Chacun a sa richesse, ce que les parents souhaitent pour leurs enfants c'est leur bonheur, quel quant soit la forme.

Tu dis que tu es nulle. Quelle drôle d'idée !
Cette sensation te viens uniquement du fait que ce que tu es, ce à quoi tu aspires vraiment ne correspond pas aux désirs de ta mère.

Seulement tu ne sais pas à quoi tu aspires car tu es trop occupée à essayer d'être ce que ta mère aurait voulu que tu sois (où ce que tu crois qu'elle aurait voulu).

Je comprends parfaitement ce que tu ressens, je l'ai vécue pandant longtemps.

Il faut savoir que les rasines du mot éduquer veulent dire en latin "faire sortir le meilleur", c'est à dire aider l'enfant à devenir lui-même, l'aider à dévollopper ces points positifs pour qu'il puisse s'épanouir.
L'enfant est totalement dépendant de ses parents, il ne devient adulte que lorsqu'il peut "lacher" la main de ses parents et marcher seul.

Les enfants handicapés par le trop fort désir des parents de vivre à travers eux sont nombreux.
Ce désir n'est PAS légitime.
On vit chacun sa vie, si elle ne nous conviend pas on se donne les moyens de changer ce qui ne va pas. On ne fait pas alors des enfants pour qu'ils vivent à notre place. C'est cruel !
On n'est pas des annimaux de cirque !
En plus, pour en rajouter il vous disent que c'est pour votre bien, que l'on a PAS le DROIT de leur faire çà ! Mais eux de quel droit ils se permettent de nous montrer quel DOIT être notre chemin.

DROIT DROIT DROIT...

On ne parle pas ici d'amour. Avoir des enfants c'est avant tout aimer. Tout d'abort une autre personne, et l'aimer si fort que l'on a envie de se réunir pour DONNER la vie à un enfant.

Le sang qui coule dans mes veines n'est pas celui de ma mère. Prends n'importe lequel des livres de biologie, tu verras. C'est un sang qui est UNIQUEMENT le miens. Il provient des gènes de ma mère et ceux de mon père et ont été RECOMBINES

Tu es, je suis, unique. Toute comparaisons avec autrui est sans fondement. De ce fait, tu n'est ni meilleure, ni moins bonne que n'importe qui.

La notion de force de carractère est une idiotie. Interroge n'importe quel PSY. Ca n'existe pas. Souvent on fait bien ce que l'on aime et mal se que l'on aime pas. Après, on fait avec les moyens que l'on a. Et crois moi, c'est beaucoup plus facile quand on a aimer et VALORISEE, avoir confiance en soi n'est pas seulement le résultat des réussites que l'on obtient. On s'aime d'autant plus que l'on nous a aimer pour ce que nous sommes.

Peut-être, je l'espère tu comprendras à travers mes lignes que la notion de ratée n'a de signification qu'à travers les yeux d'une personne bien précise, celle d'à côté peut la trouver géniale.
Bien-sûr, quand c'est sa propre mère c'est très dur. Je pense que ta mère a fait une grosse erreur.
Tu déprime parceque tu n'atteindras jamais son idéal, mais tu verras le jour où tu te rendra compte que ce n'est qu'une chimère et qu'atteindre les idéaux de ses parents ne serrent à rien, tu désideras alors de penser à TES désirs et tout ira mieux.

Au fait, atteindre les idéaux de ces parents ne sert pas à être plus aimer, çà sert aux parents à s'aimer eux-même plus. Ils pensent alors avoir "fait" quelque chose de bien. Seulement, nous ne sommes pas leurs construtions...

Donnes-moi de tes nouvelles, j'en serais très heureuse.

j ais inversé la phobie.
ces la pnigophobe qui est revenu sur la peur aichmophobe.

en plus je fais de faute ces affolent, a la ces pas un cerveau que j ais ces une mine de gruyere.

alor pour te repondre, oui je sais dout que ça viens.

un jour j ais avalé un gros bonbon en classe et j ais etouffé et il a falut que je le recrache et la maitresse etais la elle avais aussi peur que moi et tous les eleve etais derriere moi aussi.
voila dout quelle viens cette peur ,mes je suis hyper sensible alor ça ete un truc dur.

alor tu me dit que tes parents on divorçé a oui ça peut etre une des causes en plus, ce qui me viens tout suite a l espris ces le mariage et la marié qui s évanoui.

dans un mariage il y beaucoup de monde, les strese en plus que ça procure.
le divorce ces pas facile non plus les gosses subisse beaucoup apres un divorce, mes je crois que si on leur dirais que il aurais toujour un papa et une maman et que ça sa ne changeras jamais, sa ce passerais bien, mes commes les parents devienne des vraix fou furieux ça ne ce pas tres rarment comme ça.

la je me sens pas bien du tout, j ais mal au cranne j ais mal dormis, je suis pas bien du tout.

bise a toi et a cleo

Bonjour cléophée,

Je vois que ta mère exigeait et attendait énormement de toi, que tu sois au maximum de tes capacités,de tes possibilités, que tu te surpasses constament. Tu n'avais tout simplement pas le droit à l'erreur. Mais l'erreur est humaine. Je comprends que tu t'en veuilles de l'avoir déçu sur toute la ligne, car moi je vis la même chose avec ma mère. Tu as échoué à ta maitrisse et tu n'as pas pu avoir ton doctorat commme ta mère l'aurait souhaiter. tu culpabilise de ne pas lui avoir donner entière satisfaction avant qu'elle quitte ce monde. Mais saches qu'elle traversait une periode douloureuse, qu'elle était en pleine souffrance. Bien sûr, elle aurait aimé que tu lui dises :"regarde maman, j'ai réussi à avoir ma maitrisse et je vais commencer mon doctorat". bien sûr qu'elle aurait été fière de toi, qu'elle t'aurai regardé avec des yeux remplis de satisfaciton. Mais ce que tu entreprenait comme études c'était aussi et surtout pour toi, même si tu voulais quelque part absolument prouver à ta mère que tu pouvais aussi bien y arriver que tes frères. Je pense que tu as bien fait de ne pas lui dire la vérité. Elle est ainsi partie avec une bonne impression et une bonne opinion de toi, même si aujourd'hui, il en est tout autrement. Mais il faut arréter de te culpabilisé, de te morfondre parce que tu ne lui as pas dit la stricte vérité, et que tu lui asen partie cacher tes échecx. Tu ne peux plus revenir en arrière. Le passé est le passé. je sais bien qu'au fonds ta mère te manque un peu et que tu as perdu une partie de toi-même. je sais que c'est dur. Je pense que tu aurais bien voulu lui dire, avant qu'elle ne décéde, que tu tenais tout de même à elle et que tu l'aimais, malgré ses réprimandes et ses injures à ton égards. Mais maintenant, il faut essayer de voir l'avenir même si il est pas toujours rose, et essayer de penser un peu à toi, et de construire ta vie. Tu est une fille trés bien même si tu ne veux pas l'entendre et encore moins l'admettre. Alors, cesse de te sous-éstimer car tu n'ai pas nulle, ni incapable, ni ratée. Tu es cléophée qui est a connue une partie de sa vie difficile et maintenant qui en veut et qui ira jusqu'au bout de ses envies.
tu sais, il n'y a pas d'age pour rencontrer l'amour. A 28 ans tu as encore la vie devant toi, tu as encore beaucoup de choses enrichissantes à vivre. Je sais que tu te sens trés déséspérée, que tu es trés déçue par ta vie, en ce moment mais un jour,quand tu ne t'y attendras plus, ton prince charmant volera à ton secours et t'eméneras sur son beau cheval blanc... Et là tu souriras de nouveau à la vie. Bises.

Anaïs

Salut Lynx,

Et bien, c'est trés rassurant ce que tu me dis là. ça voudrait dire que si j'arrive un jour à me débarasser de cette foutue phobie sociale, je peux en déclencher une autre : phobie des avions, phobie des trains, phobie des animaux...et j'en passe. Oh! non! à bas les phobies! Une fois que j'en serai définitivement sortie, je ne veux plus en entendre parler de ma phobie sauf, bien sûr pour aider et soutenir les autres dans cette bataille incessante.
Comment peut on retrouver les peurs qui ont tous déclencher. J'ai beau chercher au plus profonds de moi, je ne trouve pas le facteur déclenchant, à pars peut-être quand mes parents ont divorcés. C'est là que le calvaire à commencer : psioriasis (plaques rouges inesthétiques sur le corps et le visage) et puis la dépression qui m'est tombée dessus.
Peut-être suis-je de nature sensible. ça je veux bien le l'admettre. Mais est-ce que systématiquement toutes les personnes dites sensibles ou vulnérables sont automatiquement sujettes à des maladies psychologiques tels que la dépression, la phobie, l'agoraphobie, les TOC... Alors, si j'ai bien compris, il faut être fort et combattif pour pouvoir passer au travers. Et bien, c'est vraiment peine perdue, enfin pour mon cas personnel. Mais toi, est-ce que tu as réussi à trouver l'origine de ta phobie...euh... pignophobe et aichnophobe? Bises.

Anaïs