Sevrage du Rivotril

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rivotril

#68 Posté le (anonymement) En réponse à : Rivotril (#65)
Bonjour,
Moi je prends du rivotril depuis 2000, à raison de 30 à 50g par jour, le soir, car je souffre d'acouphènes sévères. Au début j'étais un vrai zombie, ensuite les acouohènes se sont très largement calmés, supportables. Le rivotril est le seul médicaments ayant un effat sur les acouohènes, je n'ai donc pas le choix.
Là en avril , j'ai appris que mon médecin traitant ne pouvait me prescrire désormais le rivotril, je devais voir un neurologue (RV le 26 mai). J'ai donc eu un arrêt brutal : crises d'angoisse, pleurs, vomissement, perte d'appétit donc arrêt de manger , palpitations, sueur, tremblements ... je n'ai donc pas pu attendre le 26 mai, car j'allais pêter un plombs. En pleurs, j'ai contacté le neurologue le plus proche de chez moi, qui a accepté de me prendre en urgence ce mercredi. Il m'a confirmé que l'arrêt brusque provoquait un manque (je suis restée près de 3 semaines sans traitement et j'ai crû devenir folle car mes AC étaient revenus comme au début et cela je ne le supportais plus sans compter les effets de manque).
Il m'a donc represcrit le rivotril mais à 30 goutes par jour en diminuant d'une goutte par jour une fois mes acouphènes resdendus ! c'est une ordonnance sécurisée, valable pour 12 semaines et ensuite mon médecin traitant pourra me represcrir du rivotril. Il faut juster revoir le neurologue un fois par an pour renouveller l'ordonnance. Depuis la reprise 10g dans l'après -midie et 20 le soir au coucher, mes acouphènes ont vbaissé un peu, mais reviennent quand même en force de temps en temps, il faut que je me réhabitue pour qu'enfin je me retrouve aussi bien avant l'arrêt brutal du Rivotril.
Je vous souhaite bon courage et que vous pourrez reprendre le rivotril comme par le passé.

sevrage du rivotril

#67 Posté le (anonymement) En réponse à : rivotril (#57)
Bonjour,
Oui en effet mon médecin traitant ne peut plus me prescrire du Rivotril que je prends depuis 2007 pour une maladie des JSR qui a été détectée par un médecin des maladies du sommeil.
Tout au début je prenais du Rivotril 2,5 mg à raison de 13 gouttes le soir et au fil des années et ce jusqu'à ce jour je suis descendue à 5 gouttes le soir et cela me permettai d'avoir des nuits calmes et reposantes sans bouger.
Maintenant on me demande de me sevrer du Rivotril pour passer au Sifrol 0,18 mg, mais encore faut -il que j'arrive à diminuer les gouttes de Rivotril, à chaque fois que je passe de 5 gouttes à 4 gouttes mon sommeil est perturbé, et le lendemain je ne suis qu'un zombi.... mais je dois persister pour n'arriver à prendre que 3 gouttes de Rivotril et arrivée à ce stade prendre en compensation 1/2 Sifrol, puis 2 gouttes de Rivotril et toujours 1/2 Sifrol et arrivé à 1 goutte de Rivotril prendre un comprimé entier de Sifrol 0,18 mg.
Je sais que la dose de Rivotril est minime par rapport à d'autre personne, mais à mon niveau j'ai vraiment du mal à descendre, mon médecin me demande de persister, alors oui ce médecament est une vraie drogue que l'on aurait jamais dû me prescrire car j'ai vraiment du mal à m'en défaire, quand je lis qu'il y a des personnes qui se font hospitalisées pour le sevrage cela me fait peur.......
voilà tout simplement j'avais envi de vous faire partager ceci et j'espère que j'aurai des réponses d'encouragement !
merci Catherine

Arrêt du rivotril

#66 Posté le (anonymement) En réponse à : ARRET DU RIVOTRIL DEPUIS +DE 2 MOIS (#55)
Moi , on m'a prescrit du rivotril suite à une opération d'hernie discale!
En france, le rivotril va être interdit cette année 2012 et je ne sais pas trop par quoi le replacer vu que je l'ai utilisé comme antalgique.
Un neurologue a parlé de Neurontin qui doit être un anti dépresseur mais perso, je n'ai pas besoin d'antidépresseur .
En tout cas, un arrêt du jour au lendemain est impossible avec cette saleté!
Le neurologue (il n'y a plus que lui qui est apte à en délivrer actuellement, le généraliste peut juste prolonger l'ordonnance) m'a dit que vu que j'en ai pris pendant 15 ans: 2mg /jour (1cp le soir) , il me faudra 6 mois pour arrêter!
Bref, évitez cette saleté même pour de grosses douleurs!

Rivotril

#65 Posté le (anonymement) En réponse à : Rivotril, Effexor etc etc... et troubles psys "complexes&q (#39 par DCF__1195)
Bonjour,
Suite à une opération de la cheville, une algodystrophie s'est développée on m'a prescrit Monocrixo + Laroxyl, soulagée que modéremment par malchance, brûlure + greffe, on m'a prescrit rivotril 15 gouttes en plus, depuis 2006. Je tiens le coup la volonté et les enfants sont un soutien moral et physique. Cependant un matin je n'ai plus de traitement, par inadvertance je n'ai pas vu que l'ordonnance était finie, vertige, maux de ventres, enfin je ne me reconnaissais plus. Le médecin est venu en urgence, en fin de soirée j'allais mieux et le lendemain toujours vaseuse mais bon, c'était du passé. Par contre ce jour j'apprend que Rivotril est interrompu donc arrêt brutal remplacé par du Valium en attendant la visite chez le neuro pas avant le 18 mai c'est pourtant une urgence, je dois faire un arrêt brutal car même le nombre des années ne comptent pas et suivant le cas sévère de ma situation, considérée invalide depuis, c'est honteux !!! J'espère que je tiendrais le coup.

Alcool + rivotril

#64 Posté le (anonymement) En réponse à : Rivotril: Quelques questions... (#40 par DCF__4063)
Salut pour faire court, les heroinoman prenent du rivo + de l'alcool comme souvent de la biere pour se shooter. Mais toi ce n'est pas pour ca. Le gros risque est la crise cardiaque.
Peace et bon courrage

Sevrage rivo

#63 Posté le (anonymement) En réponse à : sevrage rivotril (#59)
Salut j'ai effectué un sevrage de rivotril sur 3 semaine = gros echec et retour case départ avec mes phobies. Ceci ne serait pas arrivé si le psy avait adapté le seresta au bon dosage, et s'il m'avait accorder plus de temps pour l'arret. 1 chose est sur ayant pris ce produit pendant 7 ans a 2mg par jour, il faut suivre une methode de sevrage connu tel que ashton ou autre et arreter sur un longue duré. Plus long sera la duré du sevrage moins il sera physiquement indesirable voir pas du tout.
Actuellement on m'a mis sous valium ca hauteur de 3x 10mg par jour et un somnifere le soir.
D'apres les forum francais, americain, et anglais que j'ai pu lire le sevrage se fait principalement avec du valium, a savoir d'apres les medecins et psy que le rivotril est certainement la benzo la plus difficile a arreter.
Tout ceux sous rivotril qui n'auraient pas assez de medocs pour arreter, allez voir un neurologue qui vous prescrira le rivotril puis l'ordonance sera renouvlable par votre medecin ou psy pendant 1 an ce qui devrait etre assez pour l'oublier a jamais, ne plus en prendre et tout faire pour que les personne qui nous entour ne passe jamais par le meme stade que nous, car les generalistes prescrivent les benzo comme des bonbon pour une peine de coeur et ne vous informent pas des risques de dépendance et les difficulté du sevrage.
Heureusement que certaine personnes arrivent a s'en tirer rapidement mais on estime que 80% des personnes ayant pris des benzo plus d'un an mettent du temps a se sevrer.
Bonne chance a tout le monde.

sevrage du rivotril 2mg

#62 Posté le (anonymement) En réponse à : le rivotril tue l'esprit (#42 par DCF__5527)
Je trouve que tu as parfaitement raison du fait qu'il faille arrêter les prescripteurs du poison rivotril. Ce médicament n'en est pas un produit qui, pretextant vous débarrasser d'un mal, prend en réalité le contrôl de toutes les fonctions du corps et de l'esprit du patient. Moi, je suis un traitement au rivotril depuis au moins 4ans. j'ai un problème de dysarthrie depuis 20ans et le médecin m'a prescrit le rivotril. Au début, c'était miraculeux. Je pouvais maintenant parler correctement sans complexe, et c'était fini des insomnies, des cauchemars. Mais chaque nuit lorsque je devais avaler un seul comprimé pourtant, je me dis que je devais être indépendant et essayer de vivre une vie normale sans artifice.je compris très vite que ce comprimé était diaboliquement possessif. Lorsqu'on le lâche, il nous déshumanise et instaure des conflits familiaux, parce que les autres ne comprennent pas mon état. Je comprends aujourd'hui les toxicomanes.Je ferais n'importe quoi pour m'en sortir, c'est tant de souffrances. Mais je pense en même temps qu'il ne faut pas en vouloir aux médecins qui veulent tout simplement nous aider, cependant, sachant les problèmes de sevrage, ils ne devraient plus en prescrire, et le rivotril devrait être retiré des pharmacies. Celui-ci doit être remplacé par une autre molécule qui soit respectueuse de l'intégrité physique et psychique de l'être humain. BONNE CHANCE ! et je vous souhaite beaucoup de courage.

rivotril

#61 Posté le (anonymement) En réponse à : Rivotril, Effexor etc etc... et troubles psys "complexes&q (#39 par DCF__1195)

je suis epileptique depus lage de 20 ans je vais avoir 60 ans mon traitement qui n ajamais change car les autres medocs me donnaient des crises je suis epileptique haut mal on dit cela car il y a coma et perte de connaissance dans la crise assez violente donc les medoc sont les suivant depakine 500mg chrono 2 et gardenal 100mg 1 le soir et c'est tout j'ai apres beaucoup de specialistes gere mon probleme et pris le traitement jajoute dans vos commantaires les medoc suivent l e poids et le cas grave jaurais du prendre plus mais cest bien comme ca jai mene une bonne vie avec mon etat epileptique.
maintemant jen viens au sujet grave suite a un harcelement morale jai ete en AT en 2003et licencie en 2007 monpsy ma donne en 2005 divers traitements pour une depression grave eten est venu a me donner du rivotril 17 g le soir probleme jai envie de rien je peux plus men passer jai des tendances suicidaires et je ne supporte plus ma femme marie depuis 37 ans voila le constat au niveau de mon epileptie depuis 40 ans je me suis gerer avec les specialistes pour ne pas avoir trop de crises 1 par an ou alorsca peutvenir comme en 2005 2 par semaine d ou le rivotril j ai plus de crises mais jetais un bon vivant maintenant je suis rien pire un depressif gene les autres et il y a ces angoisses en journees ou le soir et rien n y fait alors je prends mon rivotril le soir et je mendors cest bete mais je vos ai tous lu et on est un peux pareil pas de trs bon specialistes comme il y a un 20 dannee et un entourage cest important.
patrick
tu peux me repondre si tu veux

le sevrage est possible mais il faut bcp de temps et de patience

#60 Posté le (anonymement) En réponse à : Sevrage Rivotril + alcool = TRÈS MAUVAISE EXPÉRIENCE (#56)

Bonjour à toutes et à tous,

je souhaite témoigner pour une patiente que je suis depuis un an pour un sevrage de Rivotril.
quand nous avons commencé ensemble elle prenait 4 gouttes ts les soirs, impossible pr elle de diminuer les doses.
elle se levait le matin avec la tête dans un étau et se sentait mal toute la matinée.

nous avons commencé en avril 2011 un rééquilibrage alimentaire, suppression du gluten et des produits laitiers, compléments alimentaires à bases de plantes, d'oligo-éléments, de fleurs de bach.

elle a pu commencer à diminuer les doses de rivotril en juillet 2011, très très progressivement, elle suivait le protocole suivant : 4 gouttes un soir, 4 gouttes le lendemain et 3 gouttes le jour suivant, et ainsi de suite.

au bout de qq semaines, elle a pu passer à 3 gouttes en continu.

La dépression s'éloignant et retrouvant des forces, de l'énergie et le moral, elle a fait ensuite 3 gouttes deux soirs de suite et 2 gouttes le soir suivants, pendant plusieurs semaines encore.

elle en est maintenant à la phase 2 gouttes 2 soirs consécutifs et une goutte un soir.

elle est prête dans son corps et dans sa tête à arrêter ; il suffit encore de qq semaines pour que tout se mette en place.

je l'ai accompagnée en tant que coach en nutrition avec une réforme alimentaire en profondeur : jus de légumes frais tous les jours, graines germées, légumes et fruits frais tous les jours, oléagineux ; très peu de sucre raffiné, etc...

tout cela pour vous dire de garder courage et de vous faire accompagner par un naturopathe qui connait bien la nutrition, et surtout de prévoir le sevrage sur une année environ (ce qui est le cas pour ma cliente qui n'en prendra plus dans qq semaines).

courage.

evelyne kasbarian

sevrage rivotril

#59 Posté le (anonymement) En réponse à : sevrage rivotril (#58)

votre message m effraie au plus haut point
je dois etre hospitalisee dans une semaine pour arreter le rivotril que je prends depuis dix ans aussi pour attaques de panique et troubles du sommeil
devient on epileptique suite a un sevrage trop rapide ???
quel enfer ce medoc je suis flippee a mort
je comprends qu il n y ait pas d autes altrenatives et un medicament relais?
aurais l espoir d avoir des informations supplementaires suite a mon commentaire

AU SECOURS LE RIVOTRIL C EST TROP DANGEREUX

sevrage rivotril

#58 Posté le (anonymement) En réponse à : rivotril (#57)
je prends rivotril depuis près de 10 ans. Ce médicament est retiré des listes de médicaments remboursés par l'A.M.
J'ai suivi le 20 janvier 2012 un programme de sevrage avec rééducation fonctionnelle en centre hospitalier pour 4 semaines. Malheureusement au bout de 9 jours, j'ai été victime de crises épileptiques avec survenance d'une blessure à l'arcade sourcilière provoquées par le sevrage de rivotril.
Si vous êtes au début de votre traitement par RIVOTRIL STOPPER RAPIDEMENT. Dans le cas de prise depuis plusieurs mois, contacter votre médecin pour arrêter progressivement sur plusieurs semaines.
RIVOTRIL EST DANGEREUX !

rivotril

#57 Posté le (anonymement)
Ouf ! le rivotril vient d'etre classé dans les "stupéfiants"! le Dr ne renouvelle plus. Mais que le sevrage est difficile, inconfortable, et sera long, me promet-on... Je croyais avoir une maladie grave, depuis ce sevrage : ce n'est QUE cela !Mais vivement la fin des deux ou trois mois prévus pour en diminuer les effets