Sevrage du Rivotril

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Sevrage au Rivotril

#82 Posté le (anonymement)
Bonjour à tous. Comme vous, je suis accro à cette saloperie PRESCRITE PAR DES MEDECINS dont on nous fait l'éloge à longueur d'année ! En mai 2008, à la suite d'un TRES lourd déménagement, je ressens de TRES vives douleurs au niveau lombaire. Je subis un scanner . . . Diagnostic : double fracture vertébrale . . . Ca jette un sacré froid, je vous l'assure ! J'avais 41 ans, flic depuis 18 années . . . et pratiquant intensif d'arts martiaux depuis l'âge de 13 ans . . . ! Et c'est parti pour la totale : Contramal et Epsipam, respectivement anti-douleur hard et décontractant musculaire (ce dernier ayant pour notable particularité de provoquer une grande faiblesse musculaire) . . . Il faut ajouter à cela l'Akton, anxiolytique également à forte dépendance, que j'ingurgite depuis 1999 suite au stress dû à mon "cher" métier. Ma vie est désormais rythmée par ces produits qui, au surplus, vous mettent perpétuellement dans le gaz ! Le problème avec toutes ces "merveilles" de l'industrie pharmaceutique, c'est que plus on en prend, moins ils font d'effet (l'organisme s'accoutume), plus on doit en prendre . . . plus on devient zombie ! En novembre 2009, soit UN AN ET DEMI PLUS TARD !!!, ces "guignols" de la médecine allopathique (on les appelle des spécialistes et seul leur diagnostic est jugé irréfutable par le système de la "justice") m'annoncent joyeusement qu'en fait, j'ai effectivement eu une double FELURE vertébrale . . . mais celle-ci remonte à plusieurs années, s'est réparée par elle-même et, en tout état de cause, je n'ai JAMAIS rien senti ! Là, mon problème est simplement dû à de l'arthrose . . . certes inconfortable mais sans aucune mesure de conséquence avec le premier diagnostic ! En parlant à mon nouveau médecin et me plaignant de la douleur perpétuelle et grandissante de mon dos, ce "cerveau" n'a rien trouvé de mieux à faire que de me prescrire du RIVOTRIL . . . en plus du reste ! En fait, j'ai fait TOUT LE CONTRAIRE de ce qui devait être fait ! J'ai mis mon corps au repos complet sportivement parlant afin d'éviter d'aggraver ma "double fracture" alors que j'aurais dû, au contraire, persister à muscler plus spécifiquement la région lombaire afin de pallier à l'arthrose ! Du fait que je me targue de savoir cogiter (eh oui, CERTAINS flics en sont capables . . .) et, SURTOUT, suis capable de me remettre en question, j'ai envisagé d'autres voies . . . notamment sur les causes de mon "mal" provoquant une douleur sans cesse grandissante, ayant évidemment des répercussions non moins évolutives sur mon humeur . . . Ma "chère" hiérarchie, du fait de mes absences à répétitions, m'a fait subir abus d'autorité (non respect de deux certificats durant HUIT mois sans la moindre contre-expertise), calomnies (insinuation que mes certificats SEMBLAIENT "de complaisance") et menaces (j'ai enfin obtenu le respect des certificats avec menace par mon syndicat d'assigner mon employeur en justice mais je devais recommencer "en me faisant oublier" ) . . . Je précise que je me flatte d'une carrière SANS LA MOINDRE TACHE . . . mais il est vrai que je suis un insoumis de naissance tout en connaissant très bien mon job . . . bref, un élément potentiellement "GÊNANT" pour les dirigeants !!! Un bon scénario pour Mulder et Scully dans X-Files mais, hélas, néanmoins on ne peut plus réel ! La VERITE est que j'en avais littéralement "PLEIN LE DOS" d'être le chien de garde d'un système pourri et manipulateur . . . Près à exploser (pas m'exploser moi mais plutôt certains de mes chefs), je suis arrivé à la seule conclusion raisonnable : avant de péter un plomb, je me suis extrait de ces circonstances nocives pour moi et suis pensionné depuis le 1er avril 2012 (et ce n'est pas un poisson !). La cause officielle est "troubles de la personnalité" . . . Du pur délire !!! Depuis, j'ai STOPPE les 400 mg par jour de Contramal auxquels j'étais arrivé, l'Epsipam et même l'Akton . . . en quelques semaines . . . et mes douleurs dorsales ont reflué de 95 % ! Restait ce "bon" RIVOTRIL . . . 6 comprimés de 0,5 mg par jour . . . Moi qui ne boit ni vin, ni bière, ni alcool et ne connait même pas le goût d'un pétard, je suis toxico à cette substance dont mon ancien toubib m'a confié que la dépendance était supérieur à celle du cannabis ! A ce jour, je suis passé de 3 mg par jour à 2 en trois semaines . . . Je "déguste" au niveau de crampes musculaire et baisses de moral, c'est sûr, mais je VEUX et je DOIS arrêter cette saloperie !!! Tout récemment, je me suis intéressé aux médecines naturelles . . . dont l'efficacité est peu crédible selon les médecins (quels cons !). Il semble que l'aloès, et en particulier l'ALOE VERA, soit une plante dont les vertus thérapeutiques sont connues depuis des siècles ! Je commence sous peu un traitement à base de cette plante, qui traite un nombre incroyable d'affections ! Je ne citerai aucune marque pour vous inciter à chercher comme je l'ai fait mais la version que je vais prendre pour une cure d'environ 3 mois est couplée à une autre plante, l'Aloé Vera étant un épurateur NATUREL de l'organisme et l'autre plante ayant un effet retardateur sur les méfaits de mon arthrose. En outre, je vais reprendre gentiment le sport, en commençant par la natation pour redémarrer en douceur et compte bien reprendre les mathématiques à l'université dès septembre 2013 ! Je trouve mes objectifs assez positifs pour quelqu'un souffrant de "troubles de la personnalité" ! En conclusion, je ne prétends pas détenir la panacée mais je SAIS que l'on nous bourre les poches (pour rester correct !) . . . Prenez-vous en main, QUEL QUE SOIT LE TEMPS QUE CA PREND ! Et méditez juste ceci : la médecine officielle a-t-elle réellement intérêt à nous guérir ??? Si vous guérissez, vous ne faites plus fonctionner l'industrie pharmaceutique . . . qui est, c'est notoire, l'un des groupes financiers les plus puissants au monde ! Si vous vous prenez en main et que vous assumez vos choix, vous devenez LIBRES dans votre tête et dans votre corps ! Tout le reste est baratin, manipulation et contrôle !!! Je vous souhaite le meilleur à tous.

gg

#80 Posté le (anonymement) En réponse à : et quand on est schizophrene (#77)
bonjour
suite a une prescription de psy
On ma prescrit du rivotril depuis un ans environ;
je passe les pertes de memoires addiction etc ...
CELA FAIT PRESQUE 10 JOURS QUE JAI ARRETE NET SUR CONSEIL DE MON MEDECIN...
MA FAMILLE MES PROCHES MON AMIE, personne ne comprend mon enfer...
DUNE PERSONNE HYPER SPEED ET ACTIVE JE PASSE A UN LEGUME DEPUIS 10jours :
_perte dequilibre forte
_vision brouillee
_les jambes ainsi ke tous mes membres du cotton
_gros problemes psychomoteur
_en bref un enfer
_

rivotril,

#79 Posté le (anonymement) En réponse à : Sevrage du Rivotril... Tres difficile (#50 par DCF__8423)
Pourquoi aviez vous pris du rivotril, car vous parlez du remeron au lieu de cette drogue qu est le rivotril.
j EN prends depuis plus de 15ans et cela pr des problemes musculaires machoire cervicale, le seule poison qui m aide à ne ne plus avoir mal, mais si j ai tous les effets secondaires, donc j'aimerai comme vous m 'en défaire.
Merci

s'il vous plaît dites moi

#78 Posté le (anonymement) En réponse à : sevrage (#76)
s'il vous plaît dites moi comment vous faites car je sui en sevrage et depuis le passage de la 7ième à la 6ième goutte ma vie s'est bien compliquée... je suis preneuse de votre façon de faire. merci merci merci. nath'

et quand on est schizophrene

#77 Posté le (anonymement) En réponse à : arrêt rivotril (#75)

et qu'on en prends depuis sept ans on peut tuer quelqu'un pendant le sevrage...

je sens que mes collegues vont beaucoup m'aprécier pendant cette periode^^

Allez essayez les vrais medicament pour les vrais hommes comme le Tercian c'est sympat vous verrez^^

sevrage

#76 Posté le (anonymement) En réponse à : sevrage rivotril (#59)

moi ausi je suis entrain de faire un sevrage du rivotril et que je prenais depuis huit ans je me fais suivre par une infirmière si jamais j'aurais des soucis ce sevrage je le fais chez moi pour l'instant çà va j'étais à 5 gtes et là je suis à 1 gte fin de traitement pas de soucis j'espère que pour vs çà vas marcher aussi

arrêt rivotril

#75 Posté le (anonymement) En réponse à : le sevrage est possible mais il faut bcp de temps et de patience (#60)
Bonjour à tous,je suis sciée de tout vos témoignages.Rivotril, évitez de commencer ,j'en prend depuis 3ans pour des crises tonicocloniques,qui m'empêchent de dormir.mais depuis un moment j 'ai tous les effets secondaires.J 'ai l'impression de devenir cardiaque.Je ne suis pas dépressive et ne prend aucun médicament à part ce rivotril.Je vais arrêter, progressivement,je n'en prend que le soir. Encore une fois 'Eviter' ce médicament.Sauf grave épilepsie. Marie

Yoyo

#74 Posté le (anonymement) En réponse à : le rivotril tue l'esprit (#42 par DCF__5527)
Je suis d'accord je suis pour un collectif des victimes du rivotril ! Il y a un vrai scandale d'autant plus kil est passe comme stupéfiant !

sevrage rivotril

#72 Posté le (anonymement)

Moi aussi j'ai besoin d'encouragement et de témoignages positifs quant à l'arrêt du rivotril. On 'a prescrit ce médicament pour des migraines de tension nerveuse, douleurs cervicales... Il y a 9 ou 10 ans. Beaucoup d'amélioration avec ce traitement. Par contre, au fil du temps, problème de concentration, irritabilité, ce qui me gênait beaucoup surtout sur mon lieu de travail. Problème de mémoire également. Je voulais arrêter ce traitement par rapport à ces effet indésirables, jusqu'au jour où une pharmacienne m'a appris qu'il ne serait plus donner par les généralistes, mais uniquement par les neurologues pour une maladie bien spécifique.
J'ai donc diminuer le traitement mais en un mois seulement. De 10 g, je suis passée à 9 pendant quelques jours, 8, 7... jusqu'à 3 et là j'ai complètement arrêté. Il m'a fallu 2 ou 3 jours pour ressentir les effets de manque : angoisses, douleurs à la tête, vue floue, déprime, l'impression de devenir folle........ J'ai consulté un médecin en urgence qui m'a prescrit du Séresta sur 12 semaines en diminuant les doses (ordonnance à suivre scurpuleusement). Il m'a proposé à l'issue de ce traitement de substitution de voir mon généraliste pour éventuellement prendre un antidépresseur et voir un psy.
Je n'aurai pas hésité à en passer par l'hôpital si je n'avais pas eu mon fils, que je veux à tout prix protéger. A noter que je suis seule avec lui. J'attends des messages d'encouragement de personne qui s'en sont sorties.
Merci de me répondre.

J'

rivotril

#71 Posté le (anonymement) En réponse à : Rivotril, Effexor etc etc... et troubles psys "complexes&q (#39 par DCF__1195)

bonjour, je suis sous rivotril depuis quelques petites années
je prends 3 gouttes pour des impatiences dans les jambes.

Ca m'aide, je m'endors mieux, je fais de meilleurs nuits, mais pas toujours.

Je suis sous anti dépresseurs depuis plus de temps pour d'autres raison, et les deux associés sont compatibles.

Depuis une semaine je suis passée à 5 gouttes parce que ça ne va pas mieux, et j'ai fini le flacon, j'ai donc décidé de stopper.

Je n'ai pas d'effets secondaires, je dors moins bien, je m'endors très tard, vers 4h voir 5h, la chance que j'ai je suis au chomage en ce moment, par contre je suis réveillée tot et en forme, 7h 8h.

Je compte continue dans rivotril, je vais me réhabitue à dormir sans, je vais prendre sur moi, mais je peux assurer de mon coté que je ne ressent aucune acoutumance du tout.

malika

sevrage rivotril et effexor

#70 Posté le (anonymement) En réponse à : sevrage rivotril (#58)
Bonjour,
Il y a 11 jours, j'ai arrêté le Rivotril et l'effexor d'un seul coup; je prenais le rivotril depuis 11ans à raison de 15gttes le soir(le rivotril m'avait été donné au centre anti douleurs); mon médecin a pensé que le Lyrica et le cymbalta allait pouvoir remplacé le rivotril; je crois qu'il ne pensait pas que j'allais tout arrêter d'un coup:j'ai eu et j'ai encore presque tout les effets secondaires des deux nouveaux medocs(j'ai même du supprimer le cymbalta pour cause de gorge serrée et sensation d’étouffements)et j'élimine peu à peu le rivotril de mon organisme avec beaucoup de souffrance de perte d'équilibre, nausées, vertiges difficultés à déglutir, fourmillements mauvaise coordination de mes gestes écriture impossible, rêves qui n'étaient pas les miens, jambes en coton, extrémités froides, logorrhée, agressivité, tremblements perte du goût, et encore beaucoup d'autre effets secondaires dont je ne me souviens plus car en plus il y a aussi les mots que l'on ne trouve plus le cerveau qui fait une pause, et actuellement je crois que mon corps élimine ce produit mais je n'ai pas encore les effets bénéfique du lyrica.....heureusement que je suis en arrêt car ce serait dramatique si je devais conduire.
je me suis concentrée pour écrire ce message car je pense qu'il peut aider d'autres personnes qui sont sous rivotril, c'est dur, je ne conseille à personne de se sevrer d'un coup en tous cas pas seul mais c'est une petit victoire quand on y arrive.
Bon courage à ceux qui vont le faire

rivotril

#69 Posté le (anonymement) En réponse à : sevrage rivotril (#58)
Bonjour,
Le RIVOTRIL n'est pas un somnifère. C'est pour cette raison qu'il est maintenant réglementé. Moi j'en prends depuis 11 ans (à fortes doses) pour traiter des acouphènes sévères avec beaucoup de résultats. Suite à la nouvelle réglementation, je me suis retrouvée 2 semaines sans, et avec arrêt brutal. Effectivement j'ai eu des sympthomes de manque, mes acouphènes qui depuis étaient supportables sont revenus aussi sec. J'ai du aller voir un neurologue en urgence devenant folle, ne pouvant en trouver un qui me reçoive de suite, afin de me faire délivrer l'ordonnance sécurisée de rivotril, pour 12 semaines, ensuite mon médecin traitant peut me represcrire le rivotril. Dans un an, il faut revoir le neurologue seul habilité à prescrire le rivotril, pour une nouvelle ordonnance, et ainsi de suite. Il m'a quand même conseillé de réduire mes doses dès que mes acouphènes redeviendront supportables. Ce que je commence à faire, mais le rivotril reste le seul médicament efficace pour les acouphènes. Le neurologue a vu un défilé de personnes atteintes d'acouphènes pour la délivrance du rivotril. En tout cas, moi je le supporte très bien, il n'y qu'au début que l'on ressemble à un zombi, mais avec le temps, tout va mieux. En aucun cas le neurologue ne m'a conseillé d'arrêter, mais d'essayer de réduire de quelques jours progressivement, mais en aucun cas je n'arrêtrai d'en prendre (le moins possible si c'est faisable) car les acouphènes reviennent aussi stridents que lorsqu'ils sont arrivés en 2000.
Pour info, le rivotril est toujours remboursé par la SS. Moi je suis prise à 100% je n'ai donc rien déboursé, mais pour les autres personnes il reste remboursable - vignette blanche ...
Bon courage.