Phil, Tu as une maladie chronique, tu ne vois pas le bout du tunel et ne le verras peut-être jamais!
Une animatrice dans un autre forum nous a expliqué cette belle image :
Une personne qui a subi une perte, quelle qu'elle soit (un être cher, sa santé, etc.) se voit souvent comme un tableau en puzzle duquel on été retirées une ou plusieurs pièces. Or un puzzle incomplet n'étant pas digne d'être encadré et accroché au mur, elle considère que sa vie est irrémédiablement gâchée et mutilée, parce qu'elle fixe obsessionnellement son attention sur les quelques espaces vides du tableau, au lieu de considérer toutes les pièces restantes.
Il existe une façon plus positive de gérer les pertes, les échecs, et les handicaps: c'est de considérer sa vie non comme un puzzle, mais comme un jeu de Légo.
L'être humain est très souple et il a une grande capacité d'adaptation; même s'il a subi de nombreux préjudices, il peut toujours jouer le jeu de Légo, ou jeu de (l'égo) et se reconstruire avec les éléments de l'égo, du Moi, qui lui restent.
Les possibilités de re-création étant infinies, cela explique que des personnes très éprouvées moralement ou physiquement (paralysées, handicapées) parviennent à vivre avec leurs manques, une vie différente certes d'avant, mais dynamisée par un autre sens donné à l'existence.
Cette acceptation de mes nouvelles conditions de vie, de mes limites, ne peut venir du dehors: elle naît du dedans du coeur, par une lente évolution intérieure. En disant "Je vais mal, mais je vis bien", je substitue l'affrontement lucide au désespoir et j'entre dans une renaissance féconde.
Voici quelques phrases émouvantes d'une malade chronique: "La vie peut prendre toutes les formes, y compris celle de la maladie. Le malheur, quel qu'il soit, c'est toujours de l'étoffe à faire de la vie. Vivre, ce n'est pas attendre, mais faire rendre le maximum à l'heure présente."
être positive , trouver de l'agrément dans la musique comme le fait Génésis peut adoucir notre mal intérieur... On a besoin d'un tier pour nous écouter , nous donner un peu d'amour humain ,nous faire voir la vie plus belle ou nous le faire constaté car nous nous enlisons dans notre mal, cette aide est essentiel et relatif.
Essentiel, parce que personne ne naît ou ne renaît par lui-même.
"Martin Buber formule cela ainsi: "Par la grâce du toi, le JE advient."
L'amour de l'autre me nomme, me relie à la vie, me fait revivre.
Si tu vas voir un psy et qu'il t'aide à relire ta vie, il l'aidera aussi à te relier à la vie.
La guérison inclue ou entraîne toujours un rétablissement de la communication avec les autres. Celui-ci, en t'obligeant à te manifester, te redonne ta place de personne, grâce a l'écoute et la reconnaissance que tu es avant tout un être humain a part entiere malgres tous ses toc qui envahissent ta sérénité...
La bonne humeur de Génesis est essentiel, est aussi relatif comme aide, pareil pour le psy! En effet, même si tu demande de l'aide, tu dois ou as le désir de te battre par toi-même, de trouver ton identité, ta propre vérité, le sens de ta vie.
C'est la chenille elle-même qui ouvre le cocon au moment de devenir papillon. Si l'on intervient, si l'on ouvre le cocon, le papillon meurt.
C'est pourquoi le psy doit résister à la tentation de dire au client le sens de sa souffrance et de sa vie. Il n'est pas celui qui sait, face à celui qui ne sait pas. "C'est vous qui savez" est une phrase souvent prononcée par un thérapeute.
Il est aussi démuni que son interlocuteur et il partage sa recherche, sans pour cela perdre la certitude que celui-ci a en lui tout ce qu'il faut pour traverser la souffrance et renaître à une vie nouvelle.
Tu sois bien voir un psy! Mais le psy est passeur, non sauveur. Il est accoucheur, non père. C'est dans son apparente impuissance que se trouve sa force. En conclusion, il regarde le client comme un sujet qui accomplit, de manière responsable, ce travail passionnant (suscitant à la fois passion et souffrance) de réconciliation globale avec son histoire personnelle.
Une maladie chronique peut s'atténuer ...Il suffit de dire prête pas prête j'y vas ! ou j'abandonne! Tout est la!!!!Ma voisine souffre comme toi du toc, elle a subit il y a 5 ans un anévris et elle est en plus paralysée...Au début , elle voulait mourir, je la comprends bien, elle venait de réorienter sa carriere et de terminer ses études pour travailler en garderie ,elle n'avait que vingt sept ans,elle regardait l'eau noir de la psicine cet autonme la et se disais , moi qui a peur de l'eau ,si je m'y noyais , je ne souffrirais plus!
Mais, elle a survécue apres une longue dépression et son mari et elle ont faillient divorcer, car il était bien fatigué de tenir la barre tout seul depuis toutes ses années.
Mais elle a changé d'attitudes et elle a travaillé d'arrache pied, aujourd'hui elle participe aux réunions phobie zéro , chaque lundi ,elle a des amis, qui comme elle, partagent leurs problemes...Donnent des conseilles sur la façon qu'eux sont parvenuent a des résultats plus appréciables et vivre mieux.
Si on se mets tous en larmes et a dire qu'il n'y a rien a faire de cette saleté de vie!!!!Bien on va plonger au fond de la piscine!
Mais le jour ou tu accepteras tous les mauvais côtés que représentent ton identité et que tu trouveras des outil pour pallier au désagréments que cela t'inflige.
Le jour au Tu réapprendras a aimer la vie, tu la trouveras de courte durée.
Pas assez de temps , presque un simple passage pour y découvrir toutes les belles choses qu'on pourrai ressentir par nos cinq sens ...Comme par exemple la musique , les paroles de celle-ci et pour enfin l'apprécier a sa juste valeur .
Tu souffres c'est une maladie tres handicapante 15 ans c'est une éternité, et un tunel bien long j'en conviens.
Mais on ne sait pas si génesis n'a pas une maladie pire encore que la tienne et elle a décidé, comme moi d'allieur, de vivre sa vie a fond dans l'espoir d'un rétablissement et grâce a la musique et l'amour c'est cent fois plus agréable...
Pom