je ne sais pas où on va...

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#8 Posté le par DCF__5533
Un soir où j'étais très mal, je lui ai demandé de venir immédiatement me voir, pour que l'on parle sérieusement de tout ce que je pouvais entendre ici et là sur leur compte, pour qu'il me dise une bonne fois pour toute, que oui, il ne m'aimait plus, que c'était elle qu'il avait choisi : je voulais en finir avec ses mensonges, et je ne le croyais pas quand il disait qu'il m'aimait : jelui ai dit que je voulais qu'il soit sincère, que je savais tout et qu'il ne devait pas avoir peur de me dire la vérité : que s'il ne m'aimait plus, il fallait me le dire car c'était ce qui me ferait du bine : ç'aurait été très dur bien sûr au début, j'en était consciante, mais il fallait que je puisse faire mon deuil une bonne fois pour toute, que je reparte vers l'avant : " n'aie pas peur de me dire que tu ne m'aimes plus, c'est de la cérité que j'ai besoin, même si ça fait mal, je serai forte et je m'en porterais mieux au bout du compte " Il m'a répondu que "oui, il était consciant que je ne pouvais pas rester comme ça indéfiniment, mais qu'il m'aimait encore ... mais s'il fallait pour que j'aille mieux, qu'il me dise qu'il ne m'aimait plus, alors, il le ferait..."Comment réagir à cette réponse ? C'était la vérité que je voulais et il me disait que la vérité était qu'il m'aimait encore !!! Je suis presque devenue folle pendant cette période, et mon problème était le suivant : est ce qu'il me ment, est ce qu'il ne m'aime plus, est ce qu'il me ment pour ne pas me faire de mal, comment pouvait il s'afficher avec elle en société et continuer à me dire qu'il m'aimait ? était-ce un monstre, l'homme que j'avais aimé pendant toutes ces années ? je ne pouvais pas me résigner à croire cela. L'autre solution était que, très sincèrement, il ne savait pas tout simplement, qu'il m'aimait sincèrement sans pouvoir s'empêcher de s'amuser avec elle. je le voyais il était mal dans sa peau, il ne pouvait apparemment pas s'empêcher de la voir et il ne pouvais pas s'empêcher de m'aimer encore, ? Il était disponible pour moi, il était tendre, nous faisions encore l'amour, mais il la voyait par ailleurs... Et j'ai accepté tout ça, j'ai accepté de rester encore dans sa vie au cas où..car je l'aimais. Un soir, je savais qu'ils étaient ensemble, et je suis allé chez nous/lui à l'improviste. Il m'a ouvert, et elle était chez lui : j'ai piqué une crise de larmes : en m'ouvrant il m'a dit avec un regard de chien battu : je ne suis pas seul. j'ai monté les marches quatre à quatre, j'ai trouvée E. en haut, assise sur un fauteuil, je lui ai fait face et j'ai levé la main pour lui donner une gifle ! je n'ai pas fini mon geste, mais elle a eu le temps de se protéger la face, en me disant " ça te défoulerais ?" l'horreur était à son comble, et je ne me reconnaissais pas. je me suis effrodrée en pleurant dans l'escalier, il m'a prise dans ses bras, et je lui ai dit toute ma souffrance de ne plus vivre dans notre maison, de voir qu'une autre prenait peu à peu ma place etc.. E. est ensuite partie comme une furie, et je suis restée seule avec lui. Je me souviens avoir dit d'un ton sarcastique, " je t'ai cassé ton coup n'est ce pas ?"j'étais ballotté entre la méchanceté la tristesse, la haine, les larmes. J'ai vu que sur l'écran de son ordinateur allumé, il y avait en grand le visage de E. Il faut préciser aussi, c aussi ce qui m'a fait du mal, que E. est laide et très mal foutue, ce n'est pas le sexe symbol avec qui on trompe sa femme, quand tromperie il y a habituellement !! j'ai dit en voyant l'image, " elle est belle hein ?" il a approuvé avec son aire de chien battu, puis m'a dit " tu es ironique là " j'ai ri d'un rire de dément et je lui ai dit que j'avais pitié de lui ! je lui ai demandé si sexuellment il avait pas trop de mal avec elle, et il m'a répondu : "je vais te dire la vérité,il y a une émotion qui passe entre elle et moi, une émotion qui ne passe plus entre nous" " mais sexuellement avec elle, je ne peux pas aller jusqu'au bout, elle est comme ma soeur, sexuellement, on déjà essayé, je ne peux pas" alors là ct le pompom, on était dans le morbide le plus absolu !!! j'ai ri tellemetn ri, je lui ai dit que j'avais pitié d'eux !!! ça m'a rassuré en un sens, car lui et moi sincèrement, sur le plan sexuel ça a toujours été le pied !! je me suis remise à pleurer, je l'ai supplié supplié de me revenir, que cette histoire avec E. il le savait bien ne le menerait nulle part, j'étais comme folle et je me suis dégradée à ses yeux, en me trainant à ses pieds. Il m'a ramené chez moi, en me trainant presque, moi qui ne voulait pas rentrer, j'atais en larmes, la situation était sordie : il m'a trainé devant le porte de mon immeuble et il est reparti chez lui. J'étais au trente troisième dessous, et j'ai bein cru, cette nuit là que j'allais en crever. Le lendemain, j'ai décidé de couper les ponts et de faire le silence radio : je ne voulais plus le voir, il me faisait trop de mal, et je me suis jurée que j'allais tout faire pour qu'il sorte de ma vie.