oui c est sur
le volcan :ces le pere ,la sexualité ,la fertilité .
la crainte ,l explotion ,le mal ,la douleure ,
la construction .
C'est vrai, lorsque je vois des personnes qui s'en sortent très bien et qui ont subi des traumatismes graves, je culpabilise, je me dis que je suis vraiment nulle de ne pas y arriver moi aussi. Pourtant, je n'ai rien subi d'aussi dramatique. M1 m'avait même dit que ça l'énervait de voir des gens se plaindre pour aussi peu comme moi, alors que d'autres vivaient des choses terribles et ne se plaignaient pas de leur sort.
Sortir de là, je ne demande que ça, mais rien ne marche, ça fait des années que j'essaie. A croire qu'ils ont raison, ceux qui me disent que je n'ai rien dans le ventre ! C'est vrai, je n'ai subi ni viol, ni abandon, ni mauvais traitements ni quoi que ce soit, et pourtant je suis mal dans ma peau quand même. J'ai toujours été fragile. Je ne sais pas vraiment quel est le problème alors je ne peux pas m'y attaquer. La vérité m'échappe depuis des années. Je n'ai pas ma place sur cette terre, c'est tout. Je suis en trop, c'est la seule explication que je vois pour l'instant. Rien qu'à l'idée de me traîner jusqu'à la fin de cette existence merdique...Il le faut car jamais je n'aurais le courage d'y mettre fin, et puis d'une certaine manière c'est sacrilège. Et puis qui sait, peut être qu'un jour j'aurai quand même droit à l'amour et au bonheur ? A 80 ans, ou après, sûrement ?
Voyez comme son discours est imprêgné de sagesse...Il a souffert et il a fait en sorte de s'en sortir...
Galium tu es trop têtu , rien a faire , c'est fataliste...Cléo vous avez tout essayés !
Si un gars comme Mario s'en est sorti et avec brio, je ne vois pas comment vous pourriez en faire de même...
Il vous donne ses trucs profitez en vous acquierez cette maturité affective avant lui...Pom
Bonjour Cléophée,
Je ne sais pas si tu as déjà lu le livre de Marie Cardinal «Les mots pour le dire». Elle y raconte son expérience avec la folie, ce malaise qu'elle appelait «La Chose» qui a pris corps dans sa psyche du fait qu'elle était indésirée de sa mère. Coincée entre la peur et le suicide, elle a mené son combat jusqu'au bout et a réussi à s'en rétablir complètement. C'est au terme d'une psychanalyse longue de sept ans qu'elle a vécu sa renaissance.
Un espoir pour tous ceux qui luttent, comme c'est le cas de Petit Ours(Salut à toi!) en ce moment. Le cheminement est long, hardu et pénible mais il est rempli de promesses. C'est tout un combat que de transformer en lumière les ténèbres qui peu à peu se sont immiscées au point de nous faire suffoquer.
Dans le cas de Marie Cardinal, sa psychanalyse l'a conduite jusqu'au ventre de sa mère. Enceinte, sa mère a tout fait, sans succès, pour l'avorter. La trame de sa vie n'en est que la suite logique.
En ce qui me concerne, cette chose que Marie Cardinal appelait «La chose», moi je l'appelle mon «volcan». L'image me vient d'un rêve récurent que je faisais à l'adolescence : je devais fuir un volcan duquel la lave risquait de me rattraper.
Mon volcan est rentré en irruption il y a quatre ans. Je suis devenu volcan; je me suis mis à cracher toute la honte, le rensentiment, la haine et la culpabilité qui avaient fini, avec le temps, par former un magma très dense. Quatre ans de détresse et de désespoir. Quatre ans où chaque jour se vit dans l'agoisse, l'anxiété et la peur, où chaque jour repousse un peu plus loin les limites de l'irréparable. J'ai enfin atteint, il y a quelques semaines, le creux de ma blessure, le mystère de ma vie, le noeud gordien de mon existence.
Maintenant, je sais que ma blessure peut se refermer. Je sens d'ailleurs un mieux être, c'est lent, c'est minuscule, c'est progressif, mais le processus de cicatrisation est à l'oeuvre. Je comprends mieux ce que j'ai vécu, j'ai conscientisé pleinement mes mécanismes de défenses.
Il me reste maintenant à accepter tout cela, à apprendre à vivre avec mes souvenirs, à me redéfinir non plus à partir des carences et des frustrations que j'ai vécues dans l'enfance, mais à partir d'objectifs sagement réfléchis. Enfin, j'ai encore beaucoup à faire pour retrouver mon équilibre, mais je commence à voir la lumière au bout du tunnel.
J'espère que mon témoignage vous insufflera à toi et à Petit Ours, le cran pour continuer à naviguer à travers les eaux troubles de vos existences. Vous accrochez même si rien ne vas plus, même si vous avez l'impression de faire du surplace. C'est un processus long, très long. Si vous en avez la chance, lisez Marie Cardinal, ça va vous redonner l'espoir.
Daniel
Moi, c'est pendant plus de 10 ans que j'ai essayé avec ma mère, elle est morte avant d'avoir compris. C'était vraiment inutile avec elle, j'ai essayé de le lui expliquer sur tous les tons, je faisais de terribles crises de larmes devant elle, rien n'y faisait. Une de mes profs lui a mâma dit qu'elle avait peur que j'essaie de me suicider, ça ne l'a pas émue outre mesure. Mon père lui n'a jamais rien dit, il a fait comme si de rien n'était. Alors si les parents de Petit Ours sont pareils, je ne sais pas...
Ah bon on peut prendre des cours pour apprendre à aimer, et où ça ? Tu penses vraiment que c'est quelque chose qui s'apprend ? Comment alors ?
Galium , c'est pas du jour au lendemain que tu vas savoir aimer, c'est en pratiquant, en prennant des cours, s'il le faut!
Quand on est jeune Marina, on a pas besoin d'un amour fixe, on a besoin de beaucoup d'affection, de compréhension, de camaraderie, d'écoute...
Les jeunes dans les écoles ça se parlent rien de sérieux, sauf dans la tête d'une petite fille qui ressent l'amour ayant eu un vécu plus mature , ou qu'on a forcée à acquérir...
Quand on est bouc, je sais de quoi je parle , j'en suis un ...C'est qu'on est trop brebi...Il faut apprendre à avoir des cornes avec des feutres pour ne pas aller à l'inverse et démolir l'autre aulieu de se faire démolir...
Pour les parents , il faut parler et parler encore, ça ne fonctionne pas toujours du premier coup, mais dans leurs têtes ça bouillonne et un jour ils finissent pas enfin comprendre leurs tords...
Es-ce facile d'amettre un tords ? Jamais facile! Pom
Pom, malheureusement, ce n'est pas aussi facile. Lorsque j'ai été rejetée durant mon adolescence, combien de fois je me suis posé cette question ! Je leur ai même demandé, parfois, pourquoi ils me traitaient ainsi alors que je ne leur avais rien fait. Ils n'ont fait que se moquer encore plus de moi. Il s'en fichaient pas mal que ce soit légitime ou pas, ce n'est pas ce qui les intéresse. Tout ce qu'ils veulent c'est un bouc émissaire pour se défouler, plus il souffre et mieux c'est pour eux, plus ils s'amusent !
Les mécanismes de défense, on ne décide pas consciemment de les utiliser. On les met en place inconsciemment lorsqu'ils sont nécessaires pour notre survie, et après on les subit, même lorsqu'ils sont dépassés, à moins de faire un travail là-dessus.
Combien de fois j'ai essayé d'exprimer ma souffrance à ma mère ? Elle n'a jamais rien fait, au contraire, elle me disait que je l'énervais avec mes pleurnicheries !
Bon d'accord il ne faut pas posséder les gens, mais l'amour ça implique une réciprocité et une certaine exclusivité, sinon c'est inutile d'investir affectivement, ça ne peut mener qu'à la déception et la souffrance, autant se faire une raison et mettre une croix dessus tout de suite. Je trouve qu'elle a assez souffert comme ça Marie, je crains que ce garçon ne veuille que jouer avec ses sentiments, il est bien trop immature pour elle qui a dû mûrir avant l'âge. Il lui faut quelqu'un de sérieux et de fiable qui puisse la comprendre et pas un gamin qui papillonne d'une fille à l'autre et ne sait pas ce qu'il veut.
Galium , avant d'aller au extrême, il faut trouver la cause exacte, ne pas soulager que les symptômes, mais découvrir au fond des choses...
Les mécanismes de défences sont là pour ça . Mais il ne faut pas en faire un abus...Les médicaments c'est pareil, il y a des maladies qui nécessite une prise à vie, d'autre c'est temporaire ou seulement quand les symptômes reviennent.
Petit Ours a un grave problème avec ses parents , mais il fait du mutisme, c'est là son problème.
S'il creuvait l'abcès, s'il allait réclamer des expliquations à propos des comportements parentaux qu'il trouvent faible, s'il s'ouvrait , peut-être découvrirait-il de tout autres parents...
Quand on souffre , on le dit , je souoffre parce que tu me laisse jamais libre, je souffre parce que je ne me sens pas aimer par vous et que moi je vous aime mais commence à m'en lasser et devenir insensible à l'amour à force de l'attendre de vous...
Même chose pour toi, quand tu te sens rejetté par tes paires, pourquoi ne le dis-tu pas? Je vous ai rien fait pourquoi se dédain envers moi?
Et si tu aimes quelqu'un , tu peux lui écrir personnelement et lui dire , sans rire jaune de timidité, vois-tu se que je voulais expliquer à Marie... C'est ça qui te fais souffrir? l'attente de la vérité?
Elle aime steéphane et se n'est peut-être pas pour toujours, le jeune homme n'a pas a être parfait(pour soi) comme on exige trouver de l'homme avec qui on veut passer le reste de sa vie.
Mais s'il est là quand elle a besoin de lui, s'il a quelques défauts,qu'il est timide avec l'intimité et qu'il parle au autres filles , bien normal, il est jeune...Pourquoi vouloir le possèder déjà... Pom
Petit Ours, Les médicaments peuvent ne pas te faire , il peux te donner du séréquel, je crois ou plein d'autre...
Mais, si tu veux dire , que si tu garde la boite de pilules , et qu'un jour ou tu deviens plus mal, tu les reprends, c'est comme une béquille de support au cas...
Mais si tu conte les accumuler pour les prends en masse , bien tu as tord, car ça ne marche pas ...tout se que
Mais se qu'il faut faire c'est se fier au Doc! Pom
Que veux-tu dire par tout arrêter ? Te suicider ? J'espère que non. Quoi qu'il en soit, si tu crains que cela constitue un risque, tu devrais t'en débarrasser tout de même, au cas pù un jour tu aurais ce genre d'impulsion. Tu vois, finalement, tu ne souffres pas de psychose, mais tu as tout de même une dépression sévère. Au début, avec les antidépresseurs, ce n'est pas toujours évident pour les médecins, car dans un premier stade ils peuvent accroître les pulsions suicidaires et donner la force de passer à l'acte. Mais pour l'instant, tu n'as pas de telles pensées, tu as sans doute passé ce stade. Supportes-tu bien le Zoloft ?
Tu as fait le plus difficile, et tu as fait preuve d'un grand courage pour faire cette démarche. Ton psychiatre est là pour t'écouter, confies-toi à lui. Quand tu auras pu dire un peu ce qui te fait souffrir, tu te sentiras déjà un peu mieux, tu n'auras plus envie de mourir pour arrêter de souffrir. Tu en es tout au début de ta thérapie, j'espère que ça se passera bien et que tu te sentiras à l'aise avec ton psy. La mienne est comme une amie pour moi.
Cléo.
Dis-moi, est-ce que tu prends des médicaments en ce moment ? Peut-être devrais-tu aller voir ton médecin et lui parler de ta fatigue et de tes maux de tête ? Ta fatigue peut être un symptôme de ta dépression.
Le feu dans ce cas peut peut-être symboliser le désir, les pulsions sexuelles. Cette personne était-elle une femme ? Etait-ce toi-même ? Brûles-tu d'amour pour quelqu'un ? As-tu peur de tes propres passions ?
Petit Ours, Comme dis Cléo c'est un médicaments pour les psychoses...Il y a beaucoup e psychose qui débute à ton âge...
Plus vite on bloque la maladie , plus vite on a de résultat...
Si tu n'as pas la maladie , ça ne pe pas faire grand dommage à court terme...
Mais si tu as un début de cette maladie et que tu négliges de prendre cette médication , tu aggrave ton cas et se dans un aller non retour...
Quand les maladies sont pris à temps , les dommages sont moins considérables...
Ce médicament donne les réactions , des tremblements des yeux, des mains etc.Il faut un anti convultif pour stoper les éffets secondaires...le xanax en plus d'être bon médicament pour dormir en est surement un ...
C'est pourquoi , si tu avais été à l'hôpital , personne ne t'aurait vu dans cet état, il aurait pu constater mieux si tu avais vraiment cette maladie et cesser le traitement , si se n'était pas ton cas...
Avant de cesser quoi que se soit, penses-y bien et surtout aucun médicaments ne s'arrête en un seul jour, car tu vas avoir encore plus de tremblement comme un manque e drogue...Pom
J'ai fait des recherches sur le Zyprexa, et comme le dit Pom en détail, il s'agit d'un neuroleptique (ou antipsychotique) prescrit pour les symptômes schizophréniques. Donc c'est un médicament très puissant avec de gros effets secondaires (ceux qui prennent ce genre de médicaments doivent souvent en prendre plusieurs autres rien que pour compenser les effets indésirables), je suis étonnée qu'il t'ait prescrit cela d'emblée. Bon, bien sûr, comme tu as des pulsions suicidaires, il ne veut pas prendre de risques, mais il me semble aussi qu'il ait attribué ton discours un peu décousu lorsque tu es allé le voir à un état confusionnel, voire à un début de schizophrénie, alors que tu étais peut-être tout simplement paniqué et que tu avais du mal à rassembler tes idées. En dehors de cette séance, as-tu souvent ce genre de symptômes ? Les psychotiques, eux, ont des idées délirantes, mais ils y croient et les considèrent comme la réalité. Leur perception est altérée. Est-ce ton cas ? (bon, bien sûr je ne suis pas médecin ! je te fais juste part de ce que ça m'inspire...)
Je pense qu'il faudra que tu lui dises, lorsque tu le reverras, que ce médicament t'a rendu très malade. Et peut-être aussi que tu te sentais très confus et bizarre la première fois, mais que ces symptômes ne sont pas habituels chez toi, il reverra sans doute sa médication. Ces neuroleptiques existent aussi en plusieurs dosages. Ma psy a voulu m'en prescrire une fois car je souffrais d'un certain état d'inhibition. Or il y avait un dosage fort pour les états psychotiques et un dosage faible pour les symptômes névrotiques. La différence entre les deux est l'intensité, et surtout le fait que dans le second cas on soit parfaitement conscient du caractère anormal de ses troubles. Lorsque tu te sens déconnecté, tu sembles savoir que ce n'est pas ton état normal, ta conscience de la réalité est intacte. Ton médicament est peut-être trop dosé ? Peut-être est-ce une bombe atomique pour tuer une mouche, si je peux m'exprimer ainsi ? (je ne dis pas que ce que tu as n'est pas sérieux, mais tout de même pas aussi grave, il ne te faut peut-être pas une médication aussi intense ?...) Souvent il faut essayer plusieurs médicaments avant de trouver celui qui convient.
Quoi qu'il en soit, j'espère que ta psychothérapie se déroulera bien, et que tu te sentiras en confiance avec lui. Ca fait du bien de pouvoir exprimer enfin cette souffrance qu'on porte en soi depuis des années, n'est-ce pas ? Au fur et à mesure que tu déposeras ce fardeau, tu te sentiras mieux.
Bonjour Cléophée,
En fait, le Zoloft la première fois que j'en ai pris j'ai eu degrosses bouffées d'angoisse et paradoxalement je les ai mise sur le dos du Xanax (anxiolitique), mais c'est passé par la suite et dès le 2ème jour je n'en avait plus.
Quand j'ai écrit que je me sentais déconnecté c'est je venais de prendre le Zyprexa et je commençais à planner. Après c'est devenu un cauchemar, bien que comme me l'ayant indiqué mon psy, je n'en ai pris qu'un demi comprimé j'ai commencé à avoir des étourdissements,, j'ai perdu l'équilibre et je me sentais partir (somenolence mais puissance 10). Je me disait que ce n'était pas grave, que j'allais aller me coucher, et que je dormirais bien, mais non, je me sentait mal, je ne trouvais aucune position qui me mettais à l'aise alors j'ai du me relever et m'agiter un peu pour reprendre les espris. Je n'ai pas l'intention de le reprendre ce soir parceque ça a été un calvaire plus qu'autre chose et en plus j'ai passé toute la journée du lendemain au lit pasque j'était encore assomé par le médicament. Là je commence juste à retrouver un peu de punch.
Le rendez-vous s'est plutôt pas trop mal passé mis à part l'avant rendez-vous. C'est la chose la plus difficile qu'il m'ai été donné de faire.
Il a reconnu mes souffrances et ça m'a fait du bien parceque personne ne l'avait reconnu jusqu'à maintnenant sauf peut-ête mon généraliste mais à demi mot. Il m'a posé des questions sur ma famille et j'ai eu un peu de mal à lui répondre parceque je ne sait pas ce que ma famille pense.
Il m'a demandé si je voulais me faire hospitalisé mais j'ai refusé parceque ce n'est pas comme ça que je voyais les choses et puis je n'ai pas envie que ça se sache dans la famille et parmis les quelques amis que j'ai.
J'espère que j'arriverai à parler avec lui, il m'a demandé si je pensais que ça pouvais marcher avec lui, parcequ'il fallait que "le courant passe" ppour que ça marche. Je lui ai répondu que oui car je n'ai pas envie de recommencer toute ma démarche et puis il à l'air assez sympatique comme ça, on verra bien.
D'une manière générale je suis content de mon investissement et j'espère que j'aurrai ma chance. Il y a trois ans je savais que j'allais mourir, aujourd'hui je réfléchis.
P.S.: Merci pour ton soutien galium.
Bonjour Petit Ours,
J'attendais de tes nouvelles, et que tu me relates ton rendez-vous chez ton psychiatre. La première seance est atroce, c'est vrai, enfin surtout les moments qu'on vit avant ! Je me souviens que j'avais horriblement mal au ventre, et une terrible envie de m'enfuir. Te sens-tu à l'aise avec lui, parviens-tu à lui parler, ou te sens-tu bloqué ?
J'ai pris du Zoloft moi aussi, et je ne le supporte pas très bien, ma psy m'a fait passer d'une gélule par jour à deux, et depuis j'ai des bouffées d'angoisse. Elle compte me faire arrêter le traitement et m'en prescrire un autre, plus anxiolytique, car le Zoloft, je crois, est efficace contre les symptômes obsessionnels, mais moins contre les manifestations anxieuses, chez moi il les augmente même. Se pourrait-il que tu ressentes les mêmes effets secondaires ? Peut-être que cette impression de te sentir bizarre provient de là ? Il faudra que tu lui en parles la prochaine fois que tu le vois. Ce qui te fait te sentir déconnecté, je pense, c'est l'extrême angoisse que tu ressens. Tout te paraît irréel, tu es comme paralysé.
Je ne connais pas le Zyprexa, mais je vais essayer de me renseigner là-dessus...
Tiens le coup !
Cléo.