RDV chez le psy

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oui mes

#40 Posté le par DCF__3027

le volcan est pas toujour d estructeur il est aussi batisseur ,tous les continents viennent de la lave .
oui qui sais ,oui l air et la terre quelle duel .
Il n y avais pas de fumé dans ton reve ,car la fumé est sens doute le lien entre la terre et l air .
Est ce que l eau serais la communion entre ces deux symbole ?
grace a toi je comprend mieux pourquoi les personnes africainne dans les region lointaine de
cette civilisation
moderne ,essais de rentre en communication avec les (espris )en faite il prenne un compromis
de l air et la terre ,ces a dir la fumé car il fume des herbes pour rentre en transse .
et pour mario peut etre que si il n a pas eu de pere ,alor sont reve de volcan peut etre un chaudron qui cherche a formulé une hyérarchie du pere ?

Bien tu vois depuis que j ais eu cette p ....... depression j ais plus et je ne peu plus cherché en moi pourquoi je suis comme ça
je ne veux plus cherche je suis trop dessus de ce qui mes arrivé .
je veux plus savoir rien .

tu es doué tout de même !

#39 Posté le par DCF__0475

J'ai toujours admiré la pertinence de tes interprétations moi aussi, je trouve que tu es très doué pour comprendre le langage symbolique. Tu arrives à comprendre les messages que ton inconscient t'adresse.

Moi aussi lorsque j'étais petite je faisais des rêves où je devais fuir parce que j'habitais près d'un volcan et que la lave détruisait tout. Je crois que Sigmund Freud utilisait cette image d'un volcan pour évoquer la communication entre l'inconscient et le conscient, et le retour des souvenirs refoulés.

oui mes

#38 Posté le par DCF__3027
Message modifié le 31-mai-01 à 09h58  (EST)

le pere ces surtout l autorité .

oui c est vrai que aussi pour un fils ces l aprentissage de la cominiquation avec l autre et moi mon pere n est pas tres communicatif avec les autre et moi meme .

alor peut etre que ça viens d une partie de ça et que ça n a pas allumé certain génome ?

bye tu n a pas eu de pere ?

tous sa viens de la psycanalise ,je n est rien trouvé seul en fait ,j avais deux trois boucs de psyco ,et tout ça ces symboliques .

tu devrais pouvoir trouve un bouc sur la symbolique du feu ,moi j ais deja lue un bouc sur la symbolique de l eau et c est tres instructif et tellement normal .



j avais vue un jour

#37 Posté le par DCF__3027

j avais vue un jour a la tele ,une personne qui avais ecris une lettre avec tout la rencoeur qui l avais contre sont pere ,dont il n avais jamais sue ,eu le courage de lui devoilé .
peut etre que tu pourais fair cela et lui remetre sur ça tombe ,car ces toujour ta mere .
ta mere soufrais de toi tu etais une rivale ,elle qui avais une depression et qui recherche de l affection que sens doute quelle n a eu dans sont enfance .
Pourais tu lui pardonné ce manque d affection ,de sa part .
moi je t aime bien tu est la 7 eme merveille du monde ,la beauté du soleil eclaté ,sur mon ame .

Je ne veux pas que l on m aime ,mes je veux quand meme (serge gainsbour)

Petit rappel

#36 Posté le par DCF__3763

Il faut au moins que tu lises «Les mots pour le dire» de Marie Cardinal. Son histoire ressemble un peu à la tienne. Un conflit mère-fille.

Tu m'en donnes des nouvelles?

Vous m'impressionnez

#35 Posté le par DCF__3763

Le volcan, c'est le père...

Pourquoi n'y ai-je pas pensé? C'est tout à fait cela. C'est la rencontre avec mon père biologique qui a réveillé le volcan. Enfin il faut dire qu'il grondait déjà pas mal fort avant d'entrer dans sa phase éruptive.

D'ailleurs si j'avais à résumer la démarche de mes dernières années, je dirais que je vivais la métaphore paternelle. Période au cours de laquelle j'ai réalisé ce que ça signifiait que de ne pas avoir eu de père.

Nous vivons dans une époque féministe où le rôle du père a été fortement banalisé. Y'a qu'à regarder les téléromans pour s'en convaincre. Le père est devenu peu à peu seulement qu'un géniteur. On ne se rend pas compte jusqu'à quel point le père est important dans le développement de l'enfant et de l'ado. C'est grâce au père si l'enfant a accès au langage et plus largement au monde symbolique. C'est dûr de prendre conscience de ce qui nous a manqué et les mécanismes qu'on a mis en place pour compenser ce manque...

Je continue à mettre des mots à ma réalité, vous venez de m'aider à faire une association. Merci!

mauvais souvenirs

#34 Posté le par DCF__0475

Je viens de regarder un film qui relatait l'histoire d'une adolescente de 13 ans qui était rejetée de tout le monde puisqu'elle était trop ronde, et qui ne faisait qu'essuyer des moqueries. Alors elle a tenté de se suicider. Ca m'a rappelé des souvenirs franchement pas drôles puisqu'exactement au même âge, j'étais exactement dans la même situation. Ce n'était pas l'envie d'en finir qui me manquait, mais je n'ai pas trouvé le courage. On me faisait toujours comprendre que j'étais en trop. Parfois, je me dis que j'aurais dû, puisque depuis je n'ai pas vécu grand chose qui en valait la peine. J'ai perdu pas mal de choses, mais je n'en ai gagné aucune. J'ai tout raté, et ça ne s'arrange guère. Je suis coincée chez moi la plupart du temps, je ne peux pas trop sortir. J'ai un ami, mais on s'est enfermés dans une sorte de solitude à deux, lui non plus rien ne va dans sa vie, on ne s'en sort pas tous les deux. Mais il est le seul à accepter ma différence. Maintenant, la vie, je vais attendre que ça se termine, je vais prendre mon mal en patience, elle finira bien un jour. Heureusement, j'ai quand même quelques petites joies : réfléchir aux mystères de la vie et de l'univers, contempler la nature et le ciel, m'interroger sur le but de tout cela, lire, jouer avec mon chat...et venir dialoguer ici. Le reste, bof, c'est un mal nécessaire, il faut faire avec. La vie professionnelle ça m'emm..., l'amour c'est juste un beau rêve qui ne devient réalité que chez les autres, qu'on ne peut que contempler mais jamais saisir, un peu comme un beau papillon coloré qu'on ne peut qu'admirer.

Pour ma mère, je ne sais pas, elle est morte sans me révéler quoi que ce soit sur ma naissance (sauf que l'accouchement a été difficile, j'ai failli mourir car le terme était dépassé de 2 semaines), mon père ne veut pas en parler, mes tantes ne s'en souviennent plus, les autres ne savent rien. Tout ce que je sais, c'est que ma naissance n'était pas prévue au programme, d'après mon père ma mère s'est trompée dans sa période d'ovulation et n'avait pas prévu qu'elle tomberait enceinte. Comment elle se sentait durant sa grossesse je l'ignore, si elle m'a acceptée facilement ou pas je l'ignore aussi. D'après ma tante, elle n'avait pas l'air particulièrement heureuse, mais pas particulièrement affligée non plus. Elle avait sans doute l'air de quelqu'un qui se disait : "bon eh bien maintenant que le vin est tiré, il faut le boire". Je ne pense pas qu'elle ait pensé à l'avortement car elle était très catholique et mon père aussi. Mon père était content d'avoir une fille, ma mère pas tellement, elle aurait préféré un autre garçon car elle pensait que les filles apportent des tas d'ennuis et étaient plus difficiles à élever que les garçons (c'est ce qu'elle m'a dit lorsque j'avais 12 ans) elle trouvait qu'avec moi elle n'avait que des problèmes alors qu'avec mes frères tout allait super bien. Elle trouvait que j'étais trop différente, elle aurait voulu que je lui ressemble davantage. Même ma couleur de cheveux, elle ne l'aimait pas, parce que c'est celle de mon père et pas la sienne. Sur les photos, elle ne voulait pas que cela se voie que j'étais plus grande qu'elle. Et surtout, il fallait que je sois toujours sage et brillante sinon elle m'accusait de tous les défauts de la terre. Enfin bref elle était déçue, quoi. Non seulement j'étais née sans son assentiment, mais en plus je ne me montrais pas à la hauteur de ses espérances, alors c'est dire si pour elle j'avais tout faux !

Moi, pour ma part, j'entame ma 6ème année de thérapie analytique, mais de renaissance, point !! J'ai l'impression que ça ne m'aide pas beaucoup de comprendre. C'est assez abstrait. J'ai l'impression que mon intelligence se dégrade d'année en année, en plus. J'arrive de moins en moins à réfléchir à tout ça. A quoi sert-elle, cette "conscientisation" ? Comprendre, ce n'est pas résoudre, hélas...

Merci pour ton témoignage, Mario, et bravo pour ton courage. Seulement je doute de parvenir à faire de même.

Cléo.

oui je sais ce que c est

#33 Posté le par DCF__3027
j ais deja connus le goufre ,mes je suis encor la .
allé a 50 ans je ferais le grand seau .
je voudrais connetre l amour j ais pas connu de relation sexuelle ,je voudrais voir ce que ça fait .
j ais bien fahi j etais a deux doits de pouvoir connaitre un baise volé , mes ce putain d estin en a fait encor une fois a ça tete .
Je suis une combatans ,toujour ete ,a combatre les elements déchainné de cette vacherie vie ,qui na n y queue n y tete .
Tu regard les autre et moi tu me vois pas ,tu n arive pas a me definir ?
bye mario

d'accord, mais pas d'accord...

#32 Posté le par DCF__8996

- Pas d'accord sur le fait qu'il soit très rare de réussir un suicide, et ce parcequ'en l'occurence je suis un garçon et que "selon les statisques" (même si je ne suis pas un chiffre), les hommes meurent 3 fois plus par suicide que les femmes, ce qui veut dire que les hommes "se loupe" moins (dommage). Mais ne t'inquietes pas de toute façon j'ai d'autre solutions de rechange si je trouve pas les médicaments que je veux.

>>Mais ce qu'il faut faire c'est se fier au Doc!
là d'accord.
c'était juste une mise au point en passant.
tchao et courage.

Salut tête de mule!

#31 Posté le par DCF__3763

J'admire ta franchise. Sans blague!

Au moins, toi tu te connais et tu ne t'en fais pas accroire.Comme on dit en bon Québécois, c'est net,fret, sec!

Mais attention qu'il ne t'arrive la même chose que ce qui m'est arrivé. Vient un jour où on frappe un mur. Alors là, je t'assure que la tête de mule en prend pour son rhume s'en trouve quitte pour une bonne commotion...C'est allors qu'elle devient, malgré elle, plus flexible.

Attention aux comparaisons!

#30 Posté le par DCF__3763

Wow, je n'ai pas dit que j'en étais sorti mais que j'étais en voie d'y arriver. Nuance!Que le processus de cicatrisation ne faisait à peine que commencer, après un long combat de quatre ans pour maintenir ma tête hors de l'eau. Cela dit, je suis encore loin de la coupe aux lèvres. Seulement j'arrive maintenant à mettre des mots sur ce que j'ai vécu et même à l'expliquer. Ça fait au moins dix ans que je suis en cheminement, un cheminement qui a été ponctué d'espoir et de rechutes. C'est la dernière rechute qui m'a plongé dans le deuil. Comme on le voit, tout est une question de nuance.

Aussi je ne veux pas que les autres se servent de mon témoignage pour se décourager mais pour s'encourager. Autre nuauce importante.

J'ai voulu dire à Cléo et à Petit ours de ne pas désespérer, que le processus est extrêmement long et que cela n'a rien à voir avec le nombre ni la qualité des sévices vécus.La souffrance, c'est comme un gaz, un peu plus concentré dans la vie de certains, et un peu moins dense dans la vie des autres, mais tout aussi létal.

Il arrive aussi que les clefs pour s'en sortir, indépendamment de ce qu'on a vécu, soient plus difficile à découvrir. J'ai eu la chance de lire beaucoup; des gens m'ont supporté et continuent de le faire; et j'ai été chanceux dans ma recherche personnel, mes recherches se sont avérées fructueuses. Ce n'est pas une question de volonté personnelle(enfin un petit peu quand même!) mais de chance et de hasard. Je connais des gens qui ne pourront jamais vraiment aller au bout d'eux-mêmes parce qu'on leur a refusé, par exemple, leur accès au dossier de leurs parents d'origine. D'autres resteront bloqués au même point pendant des années parce qu'ils leur manque des pièces dans leur casse-tête. Toute situation est unique en soi.

C'est un peu ce que je soupçonne dans le cas de Cléo. Je pense, Cléo, que ta mère est partie avec une pièce de ton histoire et que tu ne sais pas comment la retrouver. Ne désespère pas, le destin est parfois très étonnant. Je ne connais pas le genre de relation que tu entretiens avec les membres de la famille étendue(oncles, tantes, cousins, etc), mais, si tu le peux, je t'encourage à poursuivre ton investigation en ce sens. Au fur et à mesure que les langues se délieront, tu arriveras mieux à connaître ta mère et la relation que tu as vécue avec elle.

Pour t'encourager, je te suggère fortement de lire «Les mots pour le dire» de Marie Cardinal. Je suis sûr que tu vas t'y reconnaître à plusieurs égards.

Je termine en vous disant, à toi et à Petit Ours, que je vous trouve courageux de mener le combat que vous poursuivez. C'est difficile. Chaque souffrance, chaque vécu est une expérience en soi que ne peut jamais être comparer à celle des autres. Seulement pour avoir mener le même combat, je sais qu'il faut se chauffer avec le bois du guerrier pour s'en sortir.

Encore une fois, attention aux comparaisons, cela peut être un jeu très dangereux! Chaque combat est unique. Le témoignage des autres est intéressant dans la mesure où il nous aide à avancer, non à reculer ou à se diminuer.

Solidarité!