J'ai peur TRES peur de la vie!!!?? SVP aidez moi!!

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le deuil

#15 Posté le par DCF__0475

Bonjour Mario, merci pour ta compassion

C'est une revanche que tu as voulu prendre, un revanche sur la vie qui t'a tant malmené. Tu as voulu prouver à ceux qui t'ont rabaissé qu'ils se sont trompés lourdement sur ta valeur. Pour tenir, il t'a fallu te blinder contre une souffrance intolérable. Mais ce qu'au fond de toi, tu cherchais désespérément, jamais tu n'as pu le trouver. Tes parents t'ont rejeté, c'est une blessure terrible. Ta réussite aurait-elle suffi à combler ce terrible manque ? C'est bien un deuil que tu as dû vivre lorsque tu as enfin rencontré ces "véritables" parents que tu as certainement dû idéaliser. Tu n'as sans doute pas imaginé que cette rencontre se déroulerait ainsi après tant d'années. Tu rêvais de reconnaissance, d'acceptation, de réparation. Or c'est un nouveau rejet que tu as subi, un douloureux rappel du précédent, à l'aube même de ta vie. Comment surmonter cela ? Les mécanismes de défense que tu as érigés pour continuer malgré ton enfance blessée et traumatisée n'ont pas résisté à cette nouvelle rencontre manquée. Tu as dû fonder tant d'espoir sur le fait qu'unjour, tes parents te reconnaîtraient et t'aimeraient malgré tout !! Puis tu as dû continuer à vivre sans ce rêve, sans qu'il n'y ait plus aucune chance que cet espoir se réalise. C'est un deuil, terriblement traumatisant et difficile.

Tu as refoulé en toi tous ces sentiments douloureux et destructeurs car tu ne pouvais pas les affronter. Une telle douleur aurait été fatale. Mais, dans ce cas, le danger est de risquer de les retourner contre toi et de t'autodétruire, ce que tu as peut-être tenté de faire à un certain moment de ta vie. Lorsqu'on est en deuil, la vie s'arrête, c'est comme une parenthèse. On ne peut plus construire, penser à l'avenir. On est gelé, figé dans sa douleur. On ne sait pas comment faire pour "vivre sans" ce qu'on a perdu.

Tu parviens à faire face à tes émotions, c'est très positif, tu es en progression. Le deuil commence souvent par une pahse de déni, où on ne peut pas, ne veut pas comprendre et ressentir ce qui est arrivé. Tu as dépassé ce stade, et il te faut maintenant affronter des émotions très douloureuses et intenses. Mais un jour, ta souffrance va commencer à s'atténuer, et peu à peu, tu retrouveras autour de toi un peu de beauté, de bonheur.

Peut-être devrais-tu toi aussi demander à quelqu'un de t'aider à surmonter tout cela ? Tu pourras lui exprimer toute ta souffrance et ta révolte. (Je l'ai fait, et ca m'a beaucoup aidé lorsque j'allais mal.) Tu as vécu un grave traumatisme. Garder de telles émotions en soi, c'est trop douloureux...

Cléo.

Très ému!

#14 Posté le par DCF__3763

Bonjour Cloé,

J'ai lu ton message ainsi que ceux de Carl. Je suis très touché par vos témoignages.

C'est quand je lis des témoignages comme le vôtre que je réalise pleinement que je vis moi aussi un deuil. Même si c'est un deuil...un peu différent.

Abandonné à la naissance, j'ai grandi dans des familles d'accueil, dont une extrêmement violente et cruelle où, captif, j'y ai passé de nombreuses années.

Mais la violence et la cruauté endurcient les coeurs. Je me suis blindé et j'ai foncé dans la vie. J'ai réussi à faire mes études universitaires, malgré une perpétuelle insatisfaction, en dépit de mes nombreuses carences et névroses,et en cachant le plus possible mon jeu. La souffrance, c'était pour les faibles, me disais-je.

Puis,j'ai rencontré ma mère naturelle, puis mon père biologique, qui a refusé de me reconnaître comme son fils. Je ne l'ai pas pris. En dépit de tout, j'ai essayé de lutter contre ma colère et mes émotions pendant deux ans.

J'ai fini par me mettre les pieds dans les plats et dépassé mes limites, alors que j'espérais tant la gloire et la réussite. Une histoire trop longue à raconter ici mais qui m'a fait craquer.

C'était le début d'une longue descente aux enfers qui commençait pour moi. Au début, incrédule, je croyais être capable de retrouver mes mécanismes de défenses qui m'avait fait passé à travers tant d'épreuves. Mais rien à faire, c'était le vide absolu, l'angoisse, la peur, la colère, et tous ces souvenirs de cruauté qui me sont remontés si brutalement de mon enfance.Un déluge d'émotions et de boues. Comment ne pas paniquer?

À mesure que les années ont passé, depuis le début de ma Katabala, comme disent les grecs pour exprimer ce moment de descente aux enfers, j'ai fini par comprendre que je vivais moi aussi le deuil de mes parents que j'avais attendus toute ma vie. Mais la déception a été très grande, car mes parents biologiques ne pouvaient être autre chose que des géniteurs qui m'ont mis au monde. Adieu le rêve de retrouver le père et la mère charmants et idéals que j'avais rêvés. C'est ce rêve, où mon père n'était rien de moins que Jupiter et ma mère, probablement plus désincarnée encore que la sainte vierge, qui m'avait permis pourtant de traverser tant de souffrances...

Après la guerre vient le temps où il faut réaliser que la sale guerre est bel et bien terminée, où il faut panser ses blessures. J'ai dû réaliser que j'avais traverser seul mon enfance sans que personne ne veille sur elle. Que mon père et ma mère m'avaient terriblement manqué. Et qu'il me manque encore terriblement aujourd'hui et qu'ils me manqueront probablement toujours. Qu'ils ne pourront jamais être mes parents, même s'ils vivent encore. Au moins aujourd'hui, je le sais et je le ressens, alors que jusqu'à tout récemment, je ne pouvais même pas ressentir ces sentiments, sauf la colère, tant j'étais gelé sur le plan émotif.

Voilà, pourquoi je disais que je vivais moi aussi un deuil...un peu différent.

C'est exténuant de se battre contre des ennemies invisibles comme la peur, le désespoir et la détresse psychologique.

J'ai gagné beaucoup de combat, mais celui-là c'est le plus difficile, celui qui me coûte le plus. Mais il paraît que ces poisons sont nécessaires à la guérison de l'âme.

D'avoir partagé mon histoire avec toi et Carl, qui lira sûrement ce message, me donne de la force et du courage pour continuer vers un chemin plus lumineux. C'est ce que je vous souhaite aussi à tous deux, d'autant qu'en raison de votre jeune âge, vous en avez besoin davantage que quiconque.

Persévérence et courage...

de l'aide ça presse!

#13 Posté le par DCF__2182
Salut à toi.
C'est la première fois que je viens sur ce site et au lieu d'exposer mon problème je préfère t'aider. toi. toi qui souffre. La souffrance peut faire faire bien des bêtises sur cette terre. L'ignorance aussi. Ce que je suis tentée de te dire c'est ceci: Va vite te chercher de l'aide: Un psychologue, une travailleuse sociale, un médecin pour avoir des anti-dépresseurs. Pour t'éclaircir les idées

Oui t'as raison cr««s que c'est dure parfois

#12 Posté le par DCF__4028
Carl, t'es pas tout seul ici nous sommes là pour te réconforter.
Nous avons vécu le deuil de nos parents tout comme toi mais c'était moins dur e parce que nous étions plus vielle.
Oui C'est très douloureux et ça cause un grand vide, une solitude difficile à combler.
Tu as des difficulté avec ton père aussi, si tu pouvais te rapprocher de lui avant qu'il parte à son tour.
Pour la drogue je crois que tu as constaté que c'est pas la meilleur chose à vivre, ça nuit et pour le plaisir si ephèmère que ça peut t'apporter , tu as surement compris tout seul.
Pour les complèxes que ta personne en générale te cause, dis-toi que tu vas apprendre à vivre avec toi-même et qu'un jour tu sauras t'apprécier à ta jeuste valeur et se jour là tu seras complètement heureux. Pom

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#11 Posté le par DCF__0086
jai vecu la meme chose aussi.
Au mois de décembre... en plein temp des fetes,
personne de ma famille m'avait rien dit de se que ma mere en était.Je savait juste qu'elle étais à l'hopital dans des traitement de chimio.
Mais ma mere la soir que jai arrivé, etait dans un coma, sous la morphine, les joue vraiment enfeller, levre bleu.. respirait avec beaucoup beaucoup de misere. J'ai eu comme un gros tire de fusil sur moi.. en plein dans ma poitrine.
J'ai tellement pleurer, je men rendais meme pu compte,
tlm essayais de me consoler, mais jetait parti, je sais pas trop ou ailleur dans un autre monde entrain de pensé à elle et de pleurer sans arret.Tellement que quelqun aurait pu me fraper et je pleurerais encore.
C'etait un cauchemard, autant pour moi que pour men mere.
Avec mon pere ont se parle pas... mon pere a toujour garder c'est émotion en dedans.. fak yer pas plus la qui faut. Jme sens seule oui.. mais le je voit un psychologue, et j'essaie le plus possible de voir du monde.
Mais la des que jai vu vos message, jme suis rendu compte que chu pas le seule, et faut que je fonce, mais cr**s que c'est toff par boute.
Sa en est découragant des fois.
Mais je me sens fort pour foncer.

épreuve terrible

#10 Posté le par DCF__0475

Bonjour Carl- "Floydy"

Je voulais juste intervenir pour dire que j'ai également vécu ce qui t'est arrivé, il y a 6 ans de cela, lorsque j'avais 21 ans. Ma mère est décédée d'un cancer de la plèvre après avoir terriblement souffert pendant 2 ans. A la fin de son calvaire, elle était hospitalisée aussi, sous morphine pour soulager ses souffrances. J'allais la voir tous les jours, et mon père et moi savions qu'elle était en phase terminale et qu'il n'y avait plus d'espoir. Un jour, sous l'effet de la morphine, elle ne m'a plus reconnue. Le lendemain, avant que je ne la quitte, elle m'a embrassée et elle m'a dit : "au revoir, ma fille", mais moi j'ai compris : "adieu, ma fille" et j'avais raison. Le surlendemain, après un coup de fil alarmant de l'hôpital, nous nous sommes rendus à son chevet. Je me souviendrai toujours de cette porte close que je n'osais pas pousser, bien trop certaine de ce que je verrai de l'autre côté. "Eh bien, vas-y, qu'est-ce que tu attends !". J'ai pris une grande inspiration et je l'ai ouverte...

Ma mère était dans le coma, elle avait les joues creuses et les yeux révulsés. Elle avait les lèvres bleuies et respirait avec peine. J'ai compris qu'elle était en train de mourir étouffée. Ensuite, j'ai ressenti comme un grand coup de poignard en plein coeur, le monde autour de moi est devenu tout noir. J'ai dû m'asseoir car mes jambes ne me portaient plus. Lorsque j'ai repris conscience de ce qui m'entourait, je ne ressentais plus rien, j'étais dans le brouillard. Puis brusquement elle s'est arrêtée de respirer. Plus rien. J'avais l'impression qu'une partie de moi est morte avec elle. Tout est allé très vite ensuite : dans un hôpital, la mort est un événement banal. Ce dont je me souviens le mieux, c'est que lorsque je marchais dans les couloirs, j'avais l'impression de flotter au dessus du sol et que tout me paraissait gris. La dernière image que j'ai emportée de ma mère est celui d'un corps sans vie dans une morgue.

Nous étions à 1 semaine de noël, et jamais l'hiver ne m'a paru aussi sinistre. L'enterrement a eu lieu un jour glacé de décembre, gris et venteux. Je me tenais si près de la fosse que j'ai cru y tomber. Je ne pleurais pas, j'étais hébétée.

Les jours suivants, je nageais dans une sorte de brouillard, engourdie par une sorte d'anesthésie affective, et je m'étonnais de ne rien ressentir de plus (j'ai lu plus tard qu'il s'agissait d'un mécanisme de défense tout à fait normal dans ces circonstances : j'étais en état de choc). J'étais en vacances, je dormais énormément. Puis j'ai repris les cours dans cet état second, sans réussir à m'y intéresser bien sûr. La véritable souffrance n'est venue qu'un mois plus tard, une douleur qui tord les entrailles et qui donne envie de hurler, présente même au sein du sommeil le plus profond. Je ne mangeais plus, je dormais peu et très mal, et j'ai abandonné mes études en état d'échec complet.

Avec mon père, au début, c'était difficile. Nous nous parlions très peu auparavant, et nous nous connaissions assez mal. Durant la première année, enfermés chacun dans notre douleur, nous avons peu communiqué. Mon père n'exprime jamais ses émotions en public et moi très rarement, lorsque je ne peux vraiment plus tenir. Je ne l'ai jamais vu pleurer et lui une seule fois, lorsque c'était devenu vraiment trop dur. A la suite de cela, j'ai entamé une psychothérapie, et mes relations avec lui se sont beaucoup améliorées. Nous étions presque des inconnus au départ...

Depuis, je me sens un peu perdue dans la vie. Je n'arrête pas de changer de domaine d'études ou de travail, je n'arrive pas à me fixer, j'ai l'impression de chercher quelque chose d'impossible.

Ce que je sais, c'est qu'un processus de deuil peut être très long et très souffrant, et différer selon les personnes. Ton père peut le vivre tout à fait différemment de toi par exemple. Si vous pouvez, parlez-en. Verbaliser les émotions, ça aide. Mais il faut du temps. Un jour, on cesse de souffrir, mais on n'oublie pas, c'est une épreuve qui te change définitivement.

Voilà pour mon histoire, j'espère que mes propos ne t'auront pas fait trop mal, telle n'est pas mon intention.

C'est dur, vraiment...quand on est adolescent, on a encore besoin de ses parents...

Cléo.

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#9 Posté le par DCF__0086
c'est sur que d'un sens, cest pas bon d'etre pres de sa maman et de mourir dans tes bras.
Je regarde sa de maintenant et pour seut qui sont fragile cest pas bon.
Mais d'un sens elle ma quitter et etant proche d'elle, d'avoir une chaleure humaine et dla raprocher proche de mes bras pour lui dire d'un sens
tien toi fort, sa fera pas mal... mais elle n'étais pas conciente.
Mais c'Est pas grave j'en suis sur quelle la senti que sont gars etait la pis il l'aimait plus que rien!
et elle ma donner une sorte de courage dans la vie et de foncer.
Mais c'est sur que jai rester marquer un peut.. peut etre je sais pas.
J'ai des images quand je pense à elle des fois que jetait à coter de sont lit dans c'Est bras.

Vivre sa mort

#8 Posté le par DCF__4028
Tu as eu cette chance d'être là, jusqu'à son dernier soupir, ça t'as rassuré ou donné plus de peur par rapport à la mort?
Tu crois quelle est restée près de toi un moment pour t'aider?
Les voyante disent ces choses là ! es-ce pour nous consoler! Ça soulage d'y croir mais toi resterais-tu si logtemps avec ta propre fille pour l'aider et arrêter ton processus? Pom

tres dure oui

#7 Posté le par DCF__0086

oui tres dure,

quand elle s'en allait s'éteindre, j'étais à coter de son lit d'hopital, et elle est morte presque dans mes bras.
C'etait un cauchemar, un vrai de vrai cauchemar.
Pire chose qui peut t'arriver ...
j'en croyait pas, jetait sur que jetait dans un reve, j'entais ma mere qui me parlais... qui me montrais des chose,
pendant que reellement ma mere etait entrain de s'éteindre.

C'est éprouvant

#6 Posté le par DCF__7186
Carl' Ça dû être dure de la voir partir à petit feu autant pour toi que pour ton père.
Même si tu t'attendais à son départ c'est éprouvant pour un ado surtout le gars sa mère.
Il faut que t'en parle à ton psy pour la drogue c'est important.
Parles-moi de la relation tumultueuse avec ton père.
Tu sais on change à tout âge car on est en évolution constante dans la vie.
On ne se transforme pas j'en conviens. Bonne soirée Carl! Pom

De tout coeur avec toi!

#5 Posté le par DCF__3763

Cher Carl,

Ce que tu traverses actuellement est l'une des pires épreuves que quelqu'un puisse vivre. Tu as perdu ta mère, tu es donc en train de vivre un deuil. Le deuil, c'est comme un immense vide qu'on vit en soi. Un peu comme si tu vivais toi-même une mort. D'ailleurs quand tu dis que tu vas mourrir, c'est ce sentiment-là qui s'exprime en toi. Un peu comme si le plancher que tu avais sous les pieds venait de disparaître. Pour remplir ce vide, souvent les gens se lance dans l'alcool, la drogue ou le sexe. Parce que ça fait trop mal. Trop de douleur, trop de souffrances. Mais cette douleur-là elle est normale, dis-toi que tu es loin d'être fou.

Il est normal que tu aies peur que personne ne te comprenne. C'est la peur qui te fait penser comme cela. Mais tu es un garçon courageux, même si tu as peur, il te faut quand même continuer à avancer.Avec ta peur, avec ta souffrance et avec tes bizzarerie. Dis toi que tout le monde vit de la peur tôt ou tard, parce que la vie, ça ne se passe pas toujours comme à la télévision. Tu dois aller chercher de l'aide, au C.L.S.C mais aussi à l'école ou dans des groupes de jeunes. S'ils ne comprennent pas, continue, tu vas vite rencontrer des gens qui vont te comprendre et qui vont t'accepter avec ce que tu vis, avec ta souffrance, avec toutes tes bizzareries, même si c'est super moche et dégeu!

L'épreuve que tu vis actuellement vise non pas à faire de toi juste un homme, mais à faire de toi un héros! Un vrai héros, au contraire de ceux que tu vois dans les films. Parce que tu auras crié au monde ta souffrance. Parce que tu l'auras surmontée, alors que tu es encore tout jeune.

Crie ta souffrance, exprime-la. Libère-toi!

Si tu veux, je te laisse mon email, écrit-moi chaque fois que tu le voudras, même si c'est super bizzard dans ta tête. ⋯@⋯.com

Allez mon frère, je te serre fort!

Mario

oui

#4 Posté le par DCF__0086

Mon psychologue dis plutot que jai eu un choque envers ma mere. Pour la drogue je sais pas encore je vais y en parler plus. C'Est bizzard que sa me fasse sa. Peut-etre je fais un peut d'anémie.. en tk
Mon pere parle pas contre ma mere, mais c'est un gars bizzard, en tk je me comprend (histoire de famille)
fak je suis un facher contre lui, mais jme dit, je fais mes choses a faire et je laisse comme il est.. Il changera pas ya 48 ans. Je vais avoir mon auto bientot et je serai plus automnome.
Mais se qui est dure c'est que dans ma maison, c'est pas une grosse famille que jai.
Juste moi et mon pere et ont se parle pas vraiment plus qu'il faut.
Mais jme sens fort j'ai des haut et des bas. Et quand jai les hauts, ben j'en profite pour avancer dans la vie et m'amiliorer.Ma mere m'aide aussi la haut jen suis certain.

Ma mere est décédé du Cancer. Un Maman vraiment impécable. La meilleur au monde.
Elle etait courageuse, foncais dans la vie, pis vraiment sociable. Vraiment une cool maman.
Mais elle c'Est battu pendant 10 ans contre sont cancer et à la fin elle n'en pouvais pu et je la comprend. Etre paralisé des 2 jambes, c'Est pas une "grippe".

donc un pr de moins

#3 Posté le par DCF__4028
Tu as règlé ton problème de drogue , un psy est au courant pour tes allucinations, c'était pas une psychose?
Pour ton père , il parle en mal de ta mère?
De quoi est-elle morte?
Pom

!

#2 Posté le par DCF__0086

j'en veut à mon pere je sais pas trop pourquoi..
des fois ont dirait qui en profite que ma mere soit pu la. Et moi je suis pour ma mere.
J'aime tellement ma mere.

Et la j'ai été voir un psychologue.Et j'y en ai parler de tout sa!
Des fois sa va bien et des fois non.
J'ai vu que quand je suis seule la sa le fait.Mais avec du monde cest beaucoup moin pire!

Mes peur je sais pas cest quoi que jai peur..
Je vient stresser d'un coup pour je sais meme pas pourquoi. Je suis nerveux dans la vie, complexé un peut.. (en passant mon nom est aussi Floydy :)
Donc jai plein de chose dans la tete.
Et sa ressort en "allucination" "stresse" "peur" et fatigue.
Mais cest moin pire,
pour la drogue, j'en prend pu.. quand j'en prenais à la fin c'Etait trop "allucinant" qui en venait "paniquant". Peut-etre parce que je suis stresser en tk

panic

#1 Posté le par DCF__4028

Carl, Pourquoi dis-tu que tu en veux à ton père?
As-tu été finalement à l'hôpital?
La drogue fait pour certaine personne se genre de truc.
Si ça continue encore malgrés que tu es arrêté ça peut être un déclancheur d'une maladie latente.

Il faut consulter au plus vite si tu veux guérir.
Tu peux faire une psychose suite au traumatisme de la mort de ta mère.

Avec des médicaments ça se règle bien.
Si tu en veux à ton père es-ce parce qu'il est incapable d'exprimer tout comme toi sa peine de cette perte si grande pour vous deux?

Les angoisses sont là depuis quelle n'est plus là pour t'écouter. Alors parles-en ici et va au CLSC ou à l'hôpitale parler de se que la drogue ta déréglée.

Je crois que si tu prenais ton courage à deux mains et que tu faisais les premier pas de communication avec ton père ça t'aiderais beaucoup.

Pas grand chose quelques mots, tu peux te jeter dans ses bras et pleurer tout simplement , tu vas voir il va t'accompagner.

Si tu veux parles-moi de ses peurs , je suis une maman et je ne peux pas remplacer ta mère mais je suis compréhensive! Pom