Salut Marie,
le gros de la tristesse, je la ressents quand je vois des choses de mon passé. Je la ressents, c'est un gros mot. Disons que là que je ressents mes douleurs à l'estomac. Il m'arrive parfois d'en ressentir à d'autre moment. Comme quand j'ai lu ton message. Je suis très sensible à l'évolution. Une personne qui évolue, je trouve ça merveilleux. Une autre qui a de la difficulté a évolué, ça m'attiste. Une autre qui ne fait rien pour évoluer et qui aurait besoin, ça me dégoute et ça me met en colère.
Pour se qui est du féminisme, il y a comme deux versions en moi. La rationnel et l'émotive impulsive. Celle qui est exprimer dans d'autre discution, c'est la rationnel.
La rationnel veut avant tout que la femme soit presque l'identique de l'homme. 90% des différences perçut sont des erreurs de perçeption. Dans le contexte actuelle, comme on sort d'une époque ou les femmes se sont fait dominer. Si on regarde dans l'histoire quand une peuple soumis sort tout d'un coup de sa soumission, il devient alors dominant jusqu'à un certain point (juif, touti, etc...). Il en est de même au Québec avec le féminisme. En France, ça à l'air de se faire plus graduellement (malheureusement pour toi Marie). Mais au moins comme le but de la majorité des femmes est d'atteindre l'égalité, l'égalité au niveau des droits semble être là pour y rester. Toutefois, l'égalité au niveua des pouvoirs ne l'est pas. Les hommes ici apprennent vite qu'il n'est pas rentable de ne pas se la fermer sur certain sujet. Dans les couples, il y a déséquilibre, mais qui est en diminution chez la jeune génération. Le déséquilibre est dû au faite que les hommes qui n'ont pas appris à tenir une maison ou un appartement se font mené par le bout du nez la plupart du temps à cause de leur dépendance au niveau du ménage. Autrement dit pour eux le pouvoir dépend beaucoup de la partenaire. Chez la jeunes générations les hommes ont appris à en faire plus. Ça a pour effet que ceux qui se font dominer et qui en ont assez ont assez de dépendance pour partir. D'où le taux de divorce qui est lié à l'indépendance des partenaires selon moi. Les femmes aussi ont acquis de l'indépendance en étant plus importantes sur le marché du travail.
En tant qu'individu, pour moi une femme en très semblable à un homme. Comme chez les hommes, il faut évité les femmes qui se déresponsabilisent de leurs actes envers leurs partenaires. Chez les hommes on peut facilement voir les batteurs de femmes qui mettent la faute sur leur femme ou encore les événements extérieurs. Chez les femmes ont peu retrouver se genre de déresponsabilisation chez celles qui ont la mentalité : les gars sont épais et les femmes sont méchantes. C'est se genre de femme que je fuis à tout prix.
Bon pour le côté impulsif, se côté n'agit pas quand je suis présent comme tel. En fait se sont des situations dans lequel je me vois et sur lesquelles je rationnalise. C'est situation me semble impulsive et dans ces situations, je vois le femmes comme étant très noirs. Je me vois souvent en train de leur clouer le bec en leur disant de toute façon moi vous m'aurai pas je vais faire ma vie célibataire. Je me vois aussi leur dire que de le éménisme est en train de clouer la culture Québéquoise dans un cerqueuil car depuis 1997 le Québec se repeuple plus par l'immigration que par les naissances (taux de naissance de 1.46 enfants par famille au dernières nouvelles). Mais dans ces pultions, je ne vois pas de positifs sur les femmes. Ces pultions sont beaucoup plus présentes quand je suis en présence de femme forte de caractère ou provoquante par leur côté féministe. Quand je suis face à une femme douce, ces pultions disparaisses.
Je sais que c'est dû à mon passée parce que quand je suis présent, et que je n'ai pas à me défendre comme tel dans une argumentation ou face à une menace.
Bon pour tout de suite, ça va être assez, mais il y a de forte chance que je revienne écrire car je vais être seule dans l'appartement pour la soirée.
Je t'embrasse et dis-moi se que tu en penses même si je n'a pas été très émotifs.
À tantôt
Ano