Quand vous souffrez physiquement vous n'allez pas consulter une astrologue. De la même manière, la prescription de poudres magiques sans effets réels par des scientifiques-médecins est inacceptable. S'il ne savent pas comment soigner, qu'ils refilent le dossier à un autre mais de prescrire du placebo à un patient qui a un vrai malaise c'est le mépriser.
Pendant deux ans par le passé on ne croyait pas mes douleurs lombaires jusqu'à ce qu'un médecin détecte une hernie discale complexe et coincée. Un placebo n'aurait été d'aucune utilité.
Tu dis que savoir que ton
Tu dis que savoir que ton médecin te donnerais un placebo en cachette tu n'irais plus le voir....que tu n'es pas idiote au point d'avaler des pilule factice....sauf que si cette fausse pilule réussi a t'enlever tes symptômes....en quoi ça dérange....tu préfère prendre un médicament composer de produit de synthèse plutôt que te traiter par l'auto-guérison du corps humain.....C'est a ne rien comprendre!!! Génération pilule!!!!
Placebos
"le recours au placebo, sans le consentement du patient est contraire à l'éthique et érode la relation patient-médecin."
C'est certain et si je m'apercevais que mon médecin me prescrit un placebo en douce, il ne me reverrait pas...et s'il m'en parlait je lui dirais qu'il se le garde, car je ne suis pas idiote au point d'avaler une pilule factice et de me dire qu'elle me soigne.
Si on se décidait simplement à considérer le corps et l'esprit comme ne faisant qu'un et qu'on fasse de la prévention dans ce sens, en admettant que les praticiens de médecines douces travaillent en complément des médecins allopathiques ?
C'est certain et si je m'apercevais que mon médecin me prescrit un placebo en douce, il ne me reverrait pas...et s'il m'en parlait je lui dirais qu'il se le garde, car je ne suis pas idiote au point d'avaler une pilule factice et de me dire qu'elle me soigne.
Si on se décidait simplement à considérer le corps et l'esprit comme ne faisant qu'un et qu'on fasse de la prévention dans ce sens, en admettant que les praticiens de médecines douces travaillent en complément des médecins allopathiques ?
