Hello pour les anciens, et petit probleme a vous soumettre

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Anciens messages (page 1)

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#5 Posté le par DCF__4028

Peut-être elle a commencer un lâcher prise...

Pour ne plus retomber sous les mains d'un homme trop posséssif?...

Le détachement est un « lâcher prise par amour » ! Il s’agit de se désinvestir mentalement, affectivement, voire physiquement de la relation inextricable, malsaine et parfois pénible qu’on entretient avec la vie et les responsabilités d’autrui, et des problèmes qu’on ne saurait résoudre. Donc apprendre à :

- Vivre dans l’instant, l’ « ici et maintenant »
- Prendre de la distance par rapport aux problèmes des autres. Ne plus en entretenir ce souci.
- S’occuper de ses propres problèmes, chercher à les résoudre concrètement.
- Accepter la réalité telle qu’elle est, les faits bruts.

Le détachement est un art, un acte et un don. Cela peut devenir une réaction automatique : il suffit de le pratiquer. Détendez-vous, relâchez-vous, mettez-vous à l’aise, et maintenant respirez profondément : C’est de vous qu’il s’agit !

- Ne pas se laisser malmener par tous les vents.

Comme la marionnette, invitant tout et tout le monde à tirer sur ses ficelles…
La plupart des codépendants sont des « Réagissants » et non des Agissants.

Étude d’Action /Réaction.

Réaction par la colère, la culpabilité, la honte, la haine de soi, l’inquiétude, la souffrance, les attitudes dominatrices, les actes d’investissements en autrui, la dépression, le désespoir, la fureur, la peur, l’angoisse… Éprouver un sentiment d’urgence fait du mal.

Perte du contrôle de soi-même : Ce sont les autres qui nous dirigent indirectement par leur comportement !

La réaction est une méthode qui ne marche généralement pas. On réagit trop vite, avec trop d’intensité, trop d’urgence. Dans cet état d’esprit, on ne parvient que rarement à faire pour le mieux.

- Ne pas considérer le comportement d’autrui comme le reflet de sa propre valeur.
- Ne pas considérer le rejet d’autrui comme le reflet de sa propre valeur.
- Garder juste estime de soi.
- Ne pas « tout prendre pour nous » : Exemple : dire « Si tu m’aimais, tu ne boirais pas ! » C’est comme dire « Si tu m’aimais, tu ne tousserais pas ! » à une personne atteinte de pneumonie ! Quand on a une pneumonie, on tousse jusqu’à ce qu’on ait un traitement approprié… Quand les gens, souffrant d’un trouble obsessionnel, se livrent à leur obsession, ils ne vous disent pas qu’ils ne vous aiment pas, mais qu’ils ne s’aiment pas eux-mêmes !
- On n’est pas tenu de réagir ! Certaines personnes se comportent avec nous dans le seul but de nous faire réagir…Si nous cessons de réagir, nous leur reprenons le contrôle et le pouvoir qu’ils ont sur nous.

CONSEILS POUR SE DETACHER :

- Prise de conscience que je suis en train de « Ré-agir »
- Ralentir l’allure. Respiration, Se mettre à l’aise.
- En parler avec quelqu’un : Dire son ressenti.
- Parfois, choisir de croire que les propos ou l’insulte n’ont rien à voir avec soi.
- Garder confiance en soi.
- Comment prendre soin de soi, maintenant, dans cette réalité ?


LIBEREZ-VOUS !

- Beaucoup de codépendants sont dominateurs au nom de l’amour… dans l’intention de faire du bien…Ils sont souvent manipulateurs. Ils s’évertuent à forcer les évènements.
- D’abord employé modèle, il devient ensuite coléreux et plein de ressentiment

Le comportement de votre proche ? Tant pis ! Lâcher le contrôle ! Laissez-le libre d’être ce qu’il est !

Ce faisant, c’est vous que vous libérez !

SUPPRIMER LA VICTIME.

« Nous faisons tellement attention à ce que personne ne souffre ! Enfin, personne, sauf nous ! » (Un membre des Al-Anon)

L’auteur développe le triangle dramatique de KARPMAN et de ses rôles correspondants de Sauveteur, Persécuteur et Victime. Jeux psychologiques, comportements et rôles tragiques.

Le codépendant joue les sauveteurs… et tombe dans le cercle infernal.

Le sauvetage, l’investissement en autrui ne sont pas des actes d’amour. Ce « jeu » entretient et nourrit l’auto-dépréciation, la haine de soi et fait obstacle à ce que nous éprouvons pour les autres. On vole au secours des autres parce que l’on est mécontent de soi-même et l’on veut se déculpabiliser…se valoriser… en les servant-utilisant, les « pauvres » ! La démarche, inconsciente bien sûr, nous détourne temporairement de la souffrance qu’il y a à être ce que nous sommes. Nous ne nous sentons pas dignes d’être aimé, nous nous contentons de nous rendre indispensables. Notre déception de soi nous pousse à agir, pour prouver qu’on est quelqu’un de bien

LA NON-DEPENDANCE.

Le codépendant est en fait un enfant craintif, vulnérable et sans cesse en demande, avec un besoin déchirant d’amour et d’attention. Cet enfant qui est en nous, ne nous juge pas susceptibles d’être aimés, ni capable de trouver le réconfort que nous cherchons. Il pense devoir mériter l’amour par son action.
Nous voulons notre part de bonnes choses, mais nous ne les trouvons pas en nous… En nous, c’est la douleur.

Bien sûr, tous les rapports entre les êtres, même les plus sains, impliquent une certaine dose de dépendance affective.

Avoir trop besoin des gens peut être source ou produit de déséquilibre.

Pourquoi nous sentons-nous indécis, vulnérables au point de ne pouvoir gérer notre propre vie, nos sentiments, nos émotions pour nous investir et nous perdre en nos proches ?

Peut-être qu’une personne importante n’a pas su nous donner l’amour, l’approbation et la sécurité affective dont nous avions besoin.

Nous voilà à penser donner aux autres ce que nous n’avons pas reçu

Comportements appris, acquis… On peut toujours re-choisir

1. Anamnèse. Réglons nos affaires d’enfance en souffrance.
2. Nourrissons, chérissons l’enfant craintif, vulnérable et constamment en demande qui vit à l’intérieur de nous.
3. Cessons de chercher le bonheur chez les autres. La source du bonheur et du bien-être est en nous.
4. Commencer à « être là » pour soi-même !
5. Compter sur sa Puissance Supérieure : quelques conseils de communication.
6. Lutter pour la non-dépendance : Passer en revue les différentes formes (affective, financière) que prend notre dépendance à l’égard de notre entourage.

Amour ou servitude ?

La véritable force vient quand on fait face à ses sentiments et non quand on leur tourne le dos.
Ne pas chercher à paraître fort, mais reconnaître ses points faibles quand ils se manifestent »
Être plus vrai. Apprendre à se laisser faire, à se laisser aimer.

VIVRE SA VIE

« Vivre et laisser vivre »

Je suis responsable de ma propre vie, de l’attention que j’accorde à mon bien-être spirituel, affectif, physique et matériel. C’est à moi de reconnaître et satisfaire mes besoins, de résoudre mes problèmes et d’apprendre à vivre avec ceux que je ne peux résoudre.

Mon envie de vivre, le plaisir que je retire de mes activités quotidiennes, j’en suis responsable. Responsable de ce que je fais aux autres et de ce que je les autorise à me faire.

Ma personne toute entière, toutes les facettes de mon être comptent. J’accorde de la valeur à mes envies, mes besoins. Je ne mérite pas la violence, les mauvais traitements perpétuels et je ne les tolèrerai plus. J’ai des droits et il m’appartient de les faire respecter.

Les décisions que je prends et la manière dont je me comporte reflètent la haute estime que je me porte. Mes décisions tiendront compte de mes responsabilités envers moi-même et envers les autres.

Le codépendant se croit abandonné de sa Puissance Supérieure, en fait, il s’est abandonné lui-même !

Faire une pause et se poser la question : « Que faut-il pour que je m’occupe bien de moi-même ? »

- Tomber amoureux de soi-même

Si tu es juste avec toi-même, tu ne pourras être injuste envers quiconque !
« Aime ton prochain comme toi-même. »

Les troubles compulsifs détruisent l’estime de soi.
Commencer par se faire à soi-même, un gros câlin affectif et mental :
Je me réjouis de ce que je suis, de mes idées, mes sentiments.
J’accepte la réalité de ce que je vis.
Je ne suis pas quelqu’un de malade. Si j’ai fait des erreurs, j’ai fait de mon mieux.
« Les codépendants sont parmi les êtres les plus aimants, les plus généreux, les plus bienveillants et les plus attentifs. Juste, ils se sont laissés piéger par des comportements qui leur nuisent. »

Se pardonner. Se comporter en individu précieux.
Bien se juger.
L’estime de soi ne donne pas naissance à l’égoïsme, mais à d’authentiques actes de bonté.

APPRENEZ L’ART DE L’ACCEPTATION DE LA REALITE.

S’accepter tel qu’on est. L’acceptation n’est pas la résignation. Elle permet de réagir de manière réfléchie et responsable. On peut alors changer ce qui peut être changé.

L’acceptation passe par des étapes nécessaires.
Processus étudié par Élisabeth Kübler-Ross quand on est confronté à sa propre mort :
Stades successifs de la dénégation, la colère, du marchandage, de la dépression, de l’acceptation.

EPROUVEZ VOS PROPRES SENTIMENTS.

« Demandez-vous ce que vous ressentez ! » Les sentiments sont des signes et des moteurs.

« Quand une émotion (c’est-à-dire de l’énergie affective) se présente,

1. Il faut l’accueillir, la « gôuter ». Prendre le temps d’enregistrer sa présence. Ne pas censurer. En faire l’expérience. Ressentir n’est pas faire ! Dire tout simplement « O.K. ! »

2. Fournir aux émotions une réponse appropriée. Dialogue intérieur. Examiner les idées qui les accompagnent.

3. Qu’en faire ? Choix d’une attitude en fonction de son jugement, de son code moral pour prendre soin de soi. L’émotion est une énergie qui passe… Parfois laisser passer, s’en détacher.

La conscience de soi doit devenir une habitude. Être !

Les autres ne sont pas responsables de ce que nous éprouvons et de ce que nous ferons de cette énergie. Au lieu de : « A cause de toi, j’ai le sentiment que… » plutôt : « Quand tu fais ceci, je ressens cela, parce que

En changeant ses pensées, on change ses sentiments, ses émotions.

LA COLERE

L’auteur dénonce les fausses pensées sur la colère.
La colère provient souvent de besoins non-satisfaits.
Apprendre à composer adéquatement et immédiatement avec la colère.
Souvent refoulée, interdite chez les codépendants, elle se masque et se transforme.
Comme les mauvaises herbes, le sentiment ignoré, loin de disparaître, prolifère et envahit tout.

- Autorisez-vous à la colère et voyez… Vous apprendrez… Vous progresserez dans son expression, sachant que votre choix initial est le respect de soi et de l’autre.
- Ressentez à fond l’émotion. Ce n’est que de l’énergie affective. Ce n’est pas « bien » ou « mal » ! Ressentez toutes les émotions sous-jacentes comme la douleur, la peur…
- Admettez l’existence des pensées qui accompagnent ce sentiment. Exprimez-les à voix haute.
- Examinez la pensée qui accompagne le sentiment. Amenez-la au grand jour. Repérez ses éventuels défauts. Identifiez le message.
- Prenez une décision responsable concernant les démarches à accomplir s’il y a lieu.
- Ne pas se laisser dominer par la colère.
- Evoquez librement, honnêtement le problème de la colère en choisissant le moment.
- Assumez la responsabilité de votre colère.
- Parlez à des personnes de confiance.
- Brûlez l’énergie de la colère… (Exercice physique)
- Ne vous culpabilisez pas. Occupez-vous de cette culpabilité, libérez vous de la fausse.
- Ecrivez des lettres sans les envoyer

OUI, VOUS POUVEZ PENSER !

- Cessez de faire violence à votre esprit.
- Votre esprit a droit à la paix. Détachez-vous, calmez-vous
- Bien réfléchir.
- Nourrissez votre esprit. Etudiez les problèmes rencontrés, lisez des témoignages, des études sur le sujet. Documentez-vous.
- Ouvrez un livre qui vous élève l’esprit.
- Etendez la portée de votre esprit. Ouvrez-vous à la nouveauté. Multipliez et élargissez vos centres d’intérêt.
- Cessez d’insulter votre propre esprit : « Je n’y comprends rien ! »…
- Mettez votre esprit à l’œuvre. Prenez des décisions, formulez des opinions.

FIXEZ VOS PROPRES OBJECTIFS.

Quels sont mes buts ?
- Transformez toute chose en un objectif à atteindre. Si vous avez un problème, sa solution doit devenir votre but.
- Ne soyez plus velléitaire.(intention peu ferme que ne suit aucune action)
- Ne vous imposez pas de limites.
- Mettez vos objectifs par écrit et rayez au fur et à mesure.
- Lâchez prise.
- A chaque jour suffit sa peine.
- Soyez patient. L’attente est tout un art.

LA COMMUNICATION

Pouvoir dire non.
Pouvoir dire la vérité. La politesse est parfois mensonge.
Pouvoir refuser de discuter de tel sujet. « Je n’irai pas plus loin ! »
Se prendre au sérieux.
La parole est un outil. Être attentif à ce que nos mots reflètent l’estime que nous avons choisi de nous porter.

tu n'as donc pas se problème de dépendance ou de co-

#4 Posté le par DCF__4028

Hpman , j'avais pensé qu'Elle en avait soufert de la part de ses autres conjoints pour fuire ainsi...
Mais je cherche autre chose...

Mais ,c'est autres amis étaient de ce trouble
voici!

VAINCRE LA CODEPENDANCE

Comment ne plus assumer les autres et leurs problèmes, mais vivre sa vie pleinement et librement.

par Melody Beattie

Ed. J.-C. Lattès, Pocket 1991

Définition donnée par l’auteur en 1ère page :

« Codépendant : individu s’étant laissé affecter par le comportement d’autrui et se faisant une véritable obsession de contrôler le comportement des autres. » (avec la pensée de les aider, en se croyant responsable, le seul et indispensable « sauveteur » mais n’assumant pas la bonne marche de sa propre existence !)

Résumé au dos de la couverture :

« Si vous vivez avec une personne dépendante d’une drogue comme du travail, si vous êtes toujours prêt à voler au secours d’un tiers en sacrifiant votre propre épanouissement, si vous vous sentez responsable de tous et de tout parce que les autres ne se sentent responsables de rien, vous êtes codépendant.

Ce livre vous montrera comment vous affranchir des problèmes des autres et vous épanouir pour ensuite mieux les aider. Il vous rendra votre liberté. »

« Que la personne qui trouble votre vie soit ou ait été : un adolescent en révolte, un mari déprimé, un parent névrosé, un malade chronique, un obsédé du travail, de la nourriture ou du sexe, un alcoolique, un joueur invétéré, un criminel, un autre codépendant ou toute combinaison possible de ces troubles, ce livre s’adresse à vous, codépendant. »

Melody Beattie, américaine, maman de deux jeunes enfants, s’implique beaucoup dans cet ouvrage. Elle témoigne de sa prise de conscience de ce phénomène chez ses plus proches, dans sa vie privée, à partir de sa propre dépendance à l’alcool, puis professionnellement, chez elle-même, dans son travail comme conseillère dans le domaine de la dépendance chimique.

- A partir de son expérience, de son chemin personnel, de son observation,
- de son travail de thérapeute, de ses erreurs, de ses recherches,

elle essaie de définir ce concept et propose des moyens concrets, issus des groupes de soutien des dépendants de l’alcool ou de leurs cohabitants.

Pas de « solutions » pour aider votre proche, mais un accompagnement pour vous comprendre vous-mêmes et vous changer vous-même ! Il aura alors plus de chances de s’en sortir aussi !

Apprendre à prendre soin de vous-même ! Apprendre à AGIR et anticiper, choisir son mode d’action et non plus seulement SUBIR et « REAGIR » !

Deux parties dans ce livre :

1. Qu’est-ce que la codépendance et qui en sont les victimes ?
2. Les fondements du respect de soi.

1. LA CODEPENDANCE ET SES VICTIMES.

« J’ai vu des gens qui donnaient sans compter, mais ne savaient pas recevoir.
J’ai vu des gens donner, donner jusqu’à la colère, jusqu’à l’épuisement total. J’ai vu des gens donner puis abandonner.

J’ai travaillé avec des femmes qui n’avaient pas leurs pareilles pour prendre soin de leur entourage ; pourtant, ces femmes doutaient de leur propre capacité à prendre soin d’elles-mêmes

Bonne épouse, bonne mère, bon mari, bon frère : vouer sa vie à faire le bonheur des autres, ne pas savoir dire « non » et même prendre les devants…sans retour en échange

Écoutons Marlyse : « Oui, mais quand je ne fais pas ce que l’on attend de moi, je me sens coupable… Coupable quand je ne corresponds pas aux critères que je me suis donnés, à l’idée que je me faisais d’une bonne épouse, d’une bonne mère… En fait je planifie mes journées en fonction de ma culpabilité. »

J’ai vu des gens absorbés dans les problèmes des autres au point de ne plus avoir le temps d’identifier ni de résoudre les leurs.

J’ai vu des gens qui se ruaient d’une activité à l’autre mais n’étaient plus que des coquilles vides.

Des gens qui n’avaient de cesse de faire plaisir, de plaire, mais des martyrs, des stoïques… et des tyrans, au jugement impitoyable sur les autres ! A la fois, que de dons, mais aussi que de mal-être et de souffrance ! »

« Ma famille, mes amis, me considèrent comme très forte : « On peut toujours compter sur elle ! Elle est toujours là ! Elle domine la situation ! Toujours prête à donner un coup de main ! … J’aime cette opinion de moi…mais je la paie cher, en réalité, je suis en train de me désagréger, silencieusement mais sûrement. »

C’est à la fin des années 70 que le mot « codépendance » a fait son apparition dans le langage thérapeutique, dans les centres de traitement de la dépendance chimique et des programmes en Douze Étapes traitant des troubles compulsifs : Apparition d’un état physique, mental affectif et spirituel particulier en réaction à une dépendance d’un proche. Adaptation auto-destructrice sous couvert de don de soi.

Au lieu d’une définition figée, l’auteur préfère de nombreuses « mises en images » de « cette dépendance spéciale, envers des gens spéciaux. »

La codépendance est un phénomène complexe qui « prend » sur des situations très nombreuses et très différentes, à des degrés divers, de la légère affection à l’esclavage

Le fondement de la définition et de la guérison, ce n’est pas l’autre personne…
Le fond du problème est en nous, dans la façon dont nous nous sommes laissé affecter par le comportement de l’autre et la façon dont nous l’aidons, ou pensons l’aider.

Certains codépendants veulent et doivent s’entourer de malades ou de dépendants pour chercher leur bonheur par des chemins malsains.

La seule personne que nous puissions changer, contrôler, c’est nous-même !


Le chapitre 4 définit toutes les caractéristiques de la codépendance.

Chaque sujet est éclairé d’exemples concrets :

- L’investissement personnel : Ce que croient, pensent, ressentent, disent, font les codépendants ; leurs questions.
- La mauvaise opinion de soi, et toutes les peurs.
- Le refoulement.
- Les obsessions.
- L’attitude dominatrice.
- L’attitude de dénégation « Pas de Problème ! »
- La dépendance.
- Les problèmes de communication.
- L’inconsistance des limites.
- Le manque de confiance
- La colère.
- Les problèmes sexuels.
- Quelques tendances particulières
- État des codépendants aux stades tardifs.

La codépendance a de multiples visages. C’est une dépendance à l’égard des autres, de leurs humeurs, de leurs comportements, de leur maladie ou de leur bien-être, de leur amour. C’est une dépendance paradoxale. On a l’impression que les codépendants sont ceux dont on dépend mais en réalité, c’est l’inverse : Ce sont eux qui dépendent. Ils ont l’air forts, mais en fait, ils se sentent impuissants. On les juge dominateurs mais sont eux-mêmes dominés. « Ma vie m’échappe pleinement : sur le plan spirituel, affectif, mental et comportemental, j’ai totalement perdu pied... »

Les problèmes peuvent se situer au niveau de la pensée, de l’affectivité, de la spiritualité de la personne.

LE PROCESSUS DE GUERISON de la codépendance est « excitant, libérateur, nous dit Melody Beattie. Il nous permet d’enfin être ce que nous sommes. Il permet aux autres d’être ce qu’ils sont. Il nous aide à nous approprier le pouvoir de penser, de ressentir, de choisir (et non plus subir) et d’agir librement. Cela fait du bien. Cela procure la Paix. Cela nous autorise enfin à nous aimer nous-même et à aimer les autres, à recevoir de l’amour… presque toutes les bonnes choses que nous recherchions dans la vie.

Nous avons droit au respect, nous apprenons à nous respecter et à nous faire respecter.

Cela met en place un environnement optimal permettant à notre entourage de retrouver la santé et de la garder.

C’est SIMPLE. La guérison se fonde sur une affirmation souvent oubliée :

Chacun est responsable de lui-même. Invitation à prendre soin de nous-même.


Voici les concepts permettant la guérison :

2. LES FONDEMENTS DU RESPECT DE SOI.

- Le détachement.
L’auteur définit d’abord « l’attachement au dépendant » et les manières dont il peut se mettre en place.

Ben oui....

#3 Posté le par DCF__6778

>Hepman!!!
>C'est toi qui demeure à Nice et
>fais du vélo de montagne?

Vi, sauf que je vit plus a Nice, que je bosse et j'habite a Draguignan, la ou je revais d'etre, a la campagne, avec l'adsl quand meme.
Quand au VTT, je peux maintenant en faire apres le job, me faire plein de freeride, de descnetes, bref c'est le pied :)


>Elle a peur de revivre ça! être
>emprisonné!
>lis les dossiers sur dépendance et co-dépendance!

je me doute, mais bon elle a pas vecu bcp de relations non plus.

>Rassures-là!
>Dis-lui que tu n'es pas poossèssif ,
>si tu ne l'es pas!

je ne le suis pas car j'ai horreur qu'on le soit avec moi.

>Que tu n'es pas jaloux....ni contrôlant comme
>les autres...

idem, j'suis pas jaloux.

>Qu'elle a droit a sa liberté que
>vous n'êtes pas soudés...loin de
>là!
>chacun son jardin secret... Mais elle doit
>travailler sur elle! Elle doit retrouver
>sa confiance aux autres.......

Ce qui est bien c'est quelle a la volonte de changer ca, de faire des efforts, donc ca part dans le bon sens.

A+

Dossiers

#2 Posté le par DCF__6778
J'ai rien trouve dans les dossiers qui traite de dependance co dependance, t'as pas une URL directe, ou alors je dois etre assez manchot avec le moteur de recherche :(

Allo

#1 Posté le par DCF__4028

Hepman!!!

C'est toi qui demeure à Nice et fais du vélo de montagne?

Elle a peur de revivre ça! être emprisonné!

lis les dossiers sur dépendance et co-dépendance!

Rassures-là!

Dis-lui que tu n'es pas poossèssif ,
si tu ne l'es pas!

Que tu n'es pas jaloux....ni contrôlant comme les autres...

Qu'elle a droit a sa liberté que vous n'êtes pas soudés...loin de là!

chacun son jardin secret...
Mais elle doit travailler sur elle!
Elle doit retrouver sa confiance aux autres.......