Une semaine !

Publié le

Anciens messages (page 2)

À Heidi

#4 Posté le par DCF__6320

Bonjour Heidi,

J’ai été contente que tu t’intéresses à mon histoire et m’apportes ton avis. Si je raisonne (et c’est plutôt mon point fort) tous les avis m’importent et m’intéressent. Ils m’aident à faire la part des choses et à me situer le plus objectivement possible.

Domino m’écrit exactement les mots dont j’ai besoin dans la situation actuelle, étant entendu que j’ai délibérément choisi le camp de l’optimisme et de la détermination. Il semble voir les choses à ma façon et être conscient du fait qu’on ne gagne pas ce qui nous tient à cœur en étant défaitiste et pessimiste. Mais tu n’es pas la première à me renvoyer un écho moins favorable et cela me permet aussi de ne pas me laisser entraîner (par moi-même) dans un rêve qui ne serait pas la réalité.

Alors voilà : je ne te reçois pas du tout comme la méchante. Je ressens que mon histoire t’a donné envie de réagir, que tu m’exprimes ce que tu penses ou crois.

Premièrement, ce que tu as vécu avec ton conjoint est, bien entendu, tout à fait ce que je rêvais de vivre dès le départ. J’aurais aimé que ça se passe comme ça : un amour tellement intense qu’il balaierait tout sur son passage.

Mais c’est un rêve d’adolescente qui ne tenait aucun compte des personnalités en jeu (la sienne en l’occurrence).

Ce que ton conjoint a fait lui a, d’accord, fait perdre beaucoup. Mais il faut comprendre que s’il a été capable de le faire c’est que cela correspondait à sa personnalité. Cela a forcément été moins difficile pour lui que ça ne l’est pour d’autres.

Moi j’ai un peu ce tempérament-là. Je pourrais tout plaquer du jour au lendemain par amour. Mais l’homme que j’aime est fait différemment.

Pourtant Heidi, tu sais, je ne vois pas autour de moi de relation aussi intense que la nôtre, je ne conçois pas plus fort, je n’ai jamais de ma vie été aimée avec autant de passion, il a fait pour moi des choses magnifiques. Et tout ça c’est l’homme qui me fait fondre et éveille tous mes vieux rêves.

Je ne suis pas comme lui. Je te l’écrivais plus haut. Avant de le connaître je t’aurais dit (écrit) que le simple fait qu’un homme dans sa situation ne bouge pas était suffisant pour en conclure que son amour n’était pas si fort, qu’en fait tout était simple et qu’il suffisait de s’éloigner ; que s’il était vraiment en amour il réagirait.

Cette relation-là m’a appris énormément, et en particulier qu’il ne faut pas jauger les autres à travers soi. J’ai des forces qu’il n’a pas mais il en a bien sûr que je n’ai pas. L’homme que j’aime, lui, trouverait difficile à accepter qu’un homme abandonne son enfant nouveau-né même par très grand amour. Il trouverait plus normal de sacrifier son bonheur que de sacrifier son enfant.

Vois bien que je me contente de te dire que tout est une question de perception.

Pour te répondre plus précisément, oui, j’ai été malheureuse souvent. Et j’ai aussi eu des moments de bonheur brut. J’ai fait de toute façon mes propres choix. C’est vrai, c’est très vrai que j’ai touché le fond, que j’ai parfois rêvé d’en mourir, pleuré pendant des heures… C’est vrai et je n’ai rien d’autre à dire là-dessus. Je ne peux pas le nier.

Une chose m’a un peu fait sursauter dans tes mots : non, je ne lui donne pas d’excuses. Je le regarde et le vois tel qu’il est, l’homme que j’aime, avec ses forces et ses faiblesses. Il m’est arrivé de le maudire quand j’avais trop mal. Mais on n’aime pas quelqu’un pour sa perfection n’est-ce pas ? On n’exige pas de quelqu’un qu’il réponde à tel et tel critère pour déterminer la dose d’amour qu’on lui accorde.

Les premier mois de notre relation je me demandais bien, effectivement, si je pourrais à long terme aimer quelqu’un qui n’avait pas le courage de nous. Je me voyais, sous le coup de la douleur ou du chagrin, perdre toute estime et tout respect pour lui, sans espoir de retour. J’ai saisi en bout de ligne que l’amour n’était pas un contrat, un test. J’ai saisi que si j’avais à prendre la décision de le quitter je ne cesserais pas de l’aimer pour autant.

Il n’a pas rencontré cette femme en même temps que moi. Il la connaissait depuis des années. Elle l’avait espéré longtemps, il avait cassé plusieurs fois avec elle pour différentes raisons et finalement il s’est fait à l’idée de refaire sa vie avec elle. Leurs enfants respectifs, leurs familles se connaissaient quand elle a finalement emménagé dans sa maison. Par contre on s’est connu alors qu’elle venait d’arriver chez lui.

Cet homme tel qu’il est, avec ses faiblesses, est aussi l’homme le plus délicat, le plus gentil, le plus attentionné, le plus émotif et sensible que j’aie rencontré. C’est un artiste dans toute sa force et les morceaux qu’il compose le disent si bien !

Il a été question que je parle à sa conjointe (il en est peut-être encore question) parce que nous nous aimons, que le problème qui se présente est celui de notre couple et qu’il éprouve tellement de difficultés alors que je ne serais pas arrêtée. Je vois ceci comme un arrangement entre lui et moi : il faut qu’on s’en sorte.

Tenace, oui, je le suis. Ma force jusqu’ici a été son amour, tout simplement. Et aussi le mien bien entendu. Il n’y a rien à admirer. C’est sans doute plus facile pour moi que ça ne l’aurait été pour toi et tu réussirais des choses que je ne pourrais pas envisager. Je suis combative et je ne sais pas abandonner ; comme ton conjoint peut-être.

Rassure-toi tu ne m’as pas fait mal. Pas une fois. Et depuis plus de deux ans que tout cela a commencé j’ai entendu ou lu des choses bien pires que celles que tu m’écris, comme ma meilleure amie me disant « Il faut te faire une raison, il ne la quittera pas, jamais. C’est à toi de décider si tu es prête à vivre comme ça ou si tu préfères renoncer ».

Mais le monde est plein de gens qui ont perdu leurs rêves pour avoir renoncé trop vite. Ça ne me dit rien de ne vivre que par hasard ou fatalité. Il est ce qui m’est arrivé de plus beau de toute ma vie. Fallait-il que je baisse les bras ?

Je reviens très vite pour la suite,

Amicalement,

Livie

Encore un peu de route

#3 Posté le par DCF__6320

Domino,

Tu auras fait un bon bout de chemin à mes côtés ! Merci pour ça. Je dirais qu’avec ton soutien et ma détermination le chemin paraît moins effrayant.

Dormir beaucoup, c’est effectivement à l’ordre du jour en ce moment ; quoi que le hasard s’en mêle : ma fille malade toute la nuit avant-hier, son tournoi de kin-ball en fin de semaine prochaine… Disons que j’ai tendance à penser qu’il n’y a pas de hasard et que tout est pour le mieux. Ça me fatigue mais ça me change les idées aussi.

Tu me parles de la possibilité de lui laisser quelques jours supplémentaires pour qu’il lui parle vraiment lui-même. J’y ai songé mais je ne suis pas sûre que ce soit une bonne idée. Premièrement parce que je me demande quelle différence feront quelques jours de plus quand la limite est fixée depuis un mois ; et puis, le connaissant, j’aurais trop peur qu’un recul ne lui apparaisse comme l’échappatoire idéal.

D’autre part il semble vraiment considérer cette date limite comme un soulagement, en dépit du stress qu’elle nous met à tous les deux. J’ai dans l’idée qu’en ne la respectant pas moi-même je n’irais pas dans le bon sens. Ceci dit cette date est celle jusqu’à laquelle je n’interviens pas ; ce qui ne signifie pas que le 4 décembre au matin je vais sauter sur le téléphone.

Que veux-tu dire par « arranger le bon moment » ? Le provoquer ?

Il y a une chose sur laquelle tu t’attardes et qui, moi, me préoccupe vraiment : s’il ne lui dit pas qu’il veut la quitter pour une autre, s’il ne mentionne pas notre histoire, ma place dans sa vie, j’ai peur qu’elle n’étire indéfiniment le moment de partir. Elle pourrait essayer de le faire changer d’avis, prétexter mille raisons et justement, en particulier, les fêtes de fin d’année pour lesquelles il lui paraîtrait préférable de laisser les enfants ensemble… Que sais-je ?

Mais… je raisonne et dans ce que tu m’en dis tu raisonnes aussi. Or lui ne fonctionne pas exactement comme ça. Il m’entendra, comprendra très bien mes arguments, pourra d’ailleurs me dresser son propre raisonnement sur le sujet, mais répondra aussi que sa réaction est imprévisible. Il est davantage gouverné par ses sens, son émotivité, que par sa raison dans des situations impliquant ses proches. Au moment précis où le sujet sera entre eux, il sera probablement plus influencé par la douleur et la déception de sa conjointe que par son désir de se libérer d’elle.

Ce qui joue en notre faveur tout de même, c’est que plus le temps passe et plus il est impatient, moins il supporte cette relation. Donc il est possible que ça lui revienne à l’esprit au bon moment… Possible

Quant aux deux ans, en ce qui me concerne, j’en vois tout à fait l’utilité. C’est vrai que c’est « cruel », mais j’ai l’intuition qu’elle saisira n’importe quel prétexte pour s’accrocher. Or si elle pense que ma relation avec lui est toute neuve, elle pensera certainement possible de le rattraper, se dira peut-être qu’il lui faut attendre un peu que la nouveauté s’estompe. Et puis je me dis aussi que si c’est humiliant c’est une raison de plus de ne pas s’éterniser pour elle.

Fêterai-je Noël avec lui ? Pas sûr du tout malgré ce que tu sembles en dire ! Si elle ne sait pas qu’il a quelqu’un d’autre, son souci sera de ne pas la blesser outre mesure. Je les imagine très très bien « officiellement » séparés, lui en attente de son départ, elle bercée de l’espoir qu’il change d’idée, réunis autour de leurs enfants respectifs dans une ambiance qu’il cherchera à rendre au moins amicale. Il pourrait être attentif à elle pour adoucir sa peine, elle pourrait prendre sa gentillesse pour une porte ouverte

Bon ! Ça c’est mon imagination. Je vais peut-être trop loin mais avec lui j’ai appris à tout envisager, tout prévoir.

Depuis peu, j’ai admis que ça pourrait arriver. Accepté même. De toute façon j’arrive au bout. Ça ne serait pas de gaieté de cœur que je le vivrais mais disons que je peux avoir pitié d’elle. Le Dalaï Lama serat fier de sa cousine. Sérénité, sagesse et patience écris-tu. Eh bien voilà : je suis sereine (l’avenir est à nous), sage et patiente (« tout vient à point à qui sait attendre »).

Non, ce n’est pas un château de cartes que je construis. Mais il y a toute une part de ce qui se passe actuellement qui me paraît tellement irréelle ! Connais-tu cette sensation ? Pendant deux ans j’ai avancé sur le même terrain, me battant sans relâche mais sans connaître autre chose que les heures volées, l’espoir que je ne voulais pas lâcher mais qui n’était toujours qu’images et rêves… Aujourd’hui, par une volonté qui est tout de même commune, nous touchons à autre chose. C’est un soulagement immense mais aussi le trac et de l’irréalité. C’est un peu ce qu’on ressent quand on monte sur scène devant un public au fond. L’as-tu déjà expérimenté ?

Bon ! Le temps passe de plus en plus vite. J’espère avoir très très bientôt des choses positives à te raconter.

Je croise les doigts.

Je vais tâcher de répondre (peut-être en débordant sur demain) à Heidi qui craint que je ne réagisse mal à ses mots.

Amicalement,

Livie

Pour Livie

#2 Posté le par DCF__3793

Allo Livie,

Je tombe par hasard sur ce message, intriguée, je consulte les autres messages que tu as posté sur le sujet.....

Je ne voudrais pas avoir l'air d'apporter un jugement gratuit, ni avoir l'air de la méchante de l'histoire, mais ton histoire m'ayant un peu retourné, je voulais t'apporter un exemple, mon exemple, et mon opinion (qui ne vaux pas plus qu'un autre....)

J'ai rencontré mon conjoint actuel au mois de décembre dernier. En fait, nous travaillions ensemble et suite à une soirée en particuler ou nous avons eu plus de possibilité de fraterniser, je te dirais que quelque chose de fort s'est produit entre nous. Il était engagé avec qq depuis 5 ans, venait d'acheter une maison, venait d'avoir un bébé. Au mois de février, il venait vivre avec moi. Il a perdu beaucoup dans l'aventure, amis, crédibilité professionnelle, argent, standing etc.... Cela ne l'a pas empêché de faire ce qu'il jugeait être la bonne décision, et pour cela, je dois admettre que je l'admire énormément. Il a sacrifié beaucoup de chose pour le simple fait de vivre avec moi, pour notre amour très intense. D'ailleurs, nous nous marions l'été prochain.

Au tout début de notre relation, je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. Je sentais que je m'attachais à qq qui n'était pas libre comme je l'étais, et dans ma tête, les hommes, qu'ils soient mariés, ou engagés, ne quittaient jamais leurs conjointes pour une "maitresse". Je tentais donc de me proteger, tout en sachant très bien que je m'enfoncait de plus en plus. Je n'ai jamais pensé qu'il ferait cela, dans ma tête, cela ne se passait qu'au cinéma. Je n'ai jamais rien demandé, ou insinué en ce sens. Et dans ma tête, c'était clair que ce serait moi qui mettrait un terme à notre relation. J'avais même déja prévu que ce serait au mois de juin....

Ou je veux en venir, c'est que je lisais ton histoire, et je trouvais cela tellement triste! Comment as-tu pu vivre ainsi pendant deux ans! Comme tu as du être malheureuse! Les attentes que tu as doivent te gruger!

Toutes ces excuses que tu lui donnent pour te rassurer dans l'amour qu'il te porte doivent prendre toutes ton énergie! Je ne vois pas en quoi sa situation est tellement difficile, d'autant plus qu'il a rencontré cette femme presque en même temps que toi! Je ne veux pas être blessante d'aucune façon mais comment peut tu garder du respect pour un homme aussi lâche? Il me semble évident qu'il n'est juste pas capable d'affronter sa conjointe! Et de plus, je n'ai vraiment pas compris pourquoi il a été question entre vous que ce soit toi qui parle à cette femme! Tu n'as rien a faire la dedans.

Je n'aurais jamais été capable de vivre cette situation, je n'en aurais jamais eu la force. Pour cela, j'admire ta tenacité. J'aurais préféré sacrifier cet amour, même celui de ma vie, plutôt que de vivre cela. Enfin, je sais que chaque situation est différente et les gens aussi, mais je trouve cela très triste pour toi et je souhaites de tout coeur que ton attente si patiente ne soit pas déçue....

Je tiens a répéter que le but de mon message n'est pas de te faire mal, mais d'après ce que j'ai lu, très peu t'on apporté un autre son de cloche que celui que tu voulais sans doute entendre.

Je t'envoie plein de bonnes pensées et j'ai hâte de lire la suite.

Toujours mieux

#1 Posté le par DCF__0892

Bonsoir Livie,

Je trouve ton message très positif, bien que j’y décèle une certaine “usure” composée, comme tu le dis, de stress, de nervosité et de fatigue.

Je ne vois guère comment tu peux supprimer la tension et le stress actuellement. Par contre, si tu en as la possibilité, essaye d’être en forme physiquement. Dors assez, fais de la relaxation, dépense-toi et élimine les toxines! En limitant la fatigue physique, tu sera en meilleure forme pour résister au stress.

C’est sympa d’avoir un échantillon de ce que votre prochaine vie pourrait être ave cette soirée que vous avez passée ensemble. Une fois de plus je constate que ta lucidité est quasi inébranlable. En effet, la situation sera un peu différente avec la famille “au complet”, mais il me semble que le contact, en tout cas avec sa fille, est déjà positif.

Je suis content de voir qu’il finit gentiment par se préparer à l’idée d’annoncer lui-même et qu’il pense que c’est important. Dans ces circonstances, si tu as l’impression qu’il va y arriver très bientôt, peut-être peux-tu aussi lui “donner” quelques jours supplémentaires et ne pas te braquer à tout prix sur le 3 décembre. C’est toi qui agis “au feeling”.

Il guette le bon moment pour lui parler. Peut-être qu’il peut aussi “arranger” ce bon moment; ça sera plus facile.

Lui dire qu’il y a une autre femme. Bonne question. Mon impression se résume à des arguments de circonstances:
Ne pas lui dire qu’il y a une autre femme seulement si
+ il est convaincu qu’il résistera à le lui dire après interrogatoire.
+ il est convaincu qu’elle n’a pas mille indices qui lui démontreront le contraire
+ il pense qu’elle partira sans avoir besoin de cet argument “béton”

Lui dire qu’il y a une autre femme si
+ les cas dessus ne sont pas garantis

De ce que j’ai compris et retenu, il me semblerait préférable qu’il lui dise qu’il y a une autre femme. Par contre, comme dit dans mon message précédent, je ne vois pas d’utilité à lui dire que ça dure quasiment depuis qu’ils sont ensembles. Parce ça, à par la furreur et/ou l’humiliation, je ne vois pas ce que cela apporte. Bien sûr, s’il est très probable qu’elle découvre toute l’histoire toute seule, ça deviendra inutile de le cacher.

Je ne la connais pas pour savoir comment elle réagira une fois mise au courant. Tu dois être prête à “tout”. Je ne connais pas la situation de l’immobilier dans votre région, mais trouver un appart en un mois, en période de Noël, n’est pas forcément facile partout. Il faut être prête à envisage qu’elle soit toujours chez lui comme “locataire” à Noël. Ca ne sera pas une catastrophe: vous irez fêter Noël ensemble ailleurs! Rappelle-toi que ce qui faisais mal pour les Noëls précédents était qu’il soit avec elle. Ca ne sera plus le cas cette fois!

“Je n'arrive pas non plus à être totalement heureuse parce que j'accumule le stress...” écris tu. Encore heureux! N’est-ce pas un brin prématuré d’être totalement heureuse en la circonstance ? Encore un peu de patience...rappelle-toi le Dalaï Lama, sérénité, sagesse et patience.

Voici environs deux mois que je suis ton histoire et je peux te promettre que les choses avancent très vite selon moi. En même temps, l’avancement s’effectue sans précipitation et sans coups de tête. Cela me donne l’image d’un processus de maturation réfléchi et par conséquent ayant des bases solides. Ce n’est donc pas un château de cartes que tu construis.

Comme tu dis, ne vendons pas la peau de l’ours...mais au moins, quoi qu’il arrive, tu auras agis avec patience et lucidité pour arriver à tes fins.

Tu dis être plus nerveuse que réfléchie. J’en doute franchement. Que tu sois nerveuse, c’est bien la moindre des choses, mais tu gardes toujours cette capacité à réfléchir en (presque) toute circonstance, c’est épatant, non ?

Pour le manque de sommeil et la boule de nerf, comme dit plus haut, autant se préserver: pour le sommeil : dormir; pour la boule de nerf : faire du sport qui défoule.

J’attends avec impatience (et confiance) la suite des événements!

Amitiés

Domino