j ais un petit truc pour toi
Comme tu essais de pas te dir d avoir peur et tu sais tres bien que ça va pas marché et que tu va avoir le coeur qui va bidouillé alor fait le contrere t imagine le pire que ça va etre hyper dur mes hyper dur , t imagine que tu va devoir marché sur un champ mine ou ce que tu veux .
Tu n a jamais ete surpris de prendre un carton que tu croyais tres lourd et il etais hyper lége ,bien ces le meme principe .
bye
tu tiens le bon bout !
Bonjour Petit Ours,
Cette décision d'aller voir un psychiatre est terriblement difficile !! Moi aussi mon médecin l'a prise pour moi, mais il m'a laissé l'initiative de prendre rendez-vous. Je me souviens encore de la panique que je ressentais lorsque j'avais pris le téléphone et que je devais composer le numéro !!! C'est bien que tu aies obtenu un rendez-vous assez rapidement, en ce qui me concerne, j'avais dû attendre 3 mois, c'était très angoissant.
Je ne pense pas qu'il ne dira rien pendant la première séance, car il faut au moins au minimum qu'il t'interroge sur tes symptômes et sur les grands moments de ta vie, pour pouvoir commencer à cerner ta souffrance et te connaître. POur ce qui est de risquer de ne pas trouver l'entrée, j'y pensais aussi, je crois que j'ai bien dû lire 5 fois sa plaque avant d'y aller, et j'avais tout de même peur que ça arrive. C'est une bonne idée de repérer les lieux à l'avance, il vaudrait mieux que tu tentes tout de même de repérer l'entrée, car le jour "J" tu risques d'être très angoissé, ce sera un facteur de stress en moins.
Pour ce qui est du prix, pour les psychiatres, c'est un peu particulier, ils ont un tarif spécifique : la séance coûte 225 F pour 1/2 heure. Mais pour le Canada, je ne connais pas le tarif.
Seb, Petit Ours a raison, la souffrance psychique est aussi importante et légitime que la douleur physique. N'attends pas qu'elle soit devenue encore plus intolérable pour consulter, tu peux faire comme lui.
Cléo.
La vie, un suite de métamorphoses
Tu as sans doute déjà remarqué que le papillon subissait trois métamorphoses avant de devenir adulte et de revêtir ses plus beaux atours. Chaque métamorphose entraîne nécessairement la mort de l'état précédent.
Toi, selon ce que tu décris, tu es en train de vivre l'une de ses métamorphoses.Tôt ou tard cette transformation va trouver son dénouement, mais ces un processus long, parfois douloureux, surtout si l'on a à assumer, comme tu l'expliques, des deuils qui ont mal été résolus dans le passé.
Le fait de comprendre ce qui se passe et de l'accepter plutôt que de te juger sévèrement et de te déprécier va t'aider à traverser cette épreuve beaucoup plus facilement. Quand tu te verras en train de te juger, de te gronder ou de te comparer à quelqu'un d'autre, c'est le moment de te prendre, de te bercer, de te consoler comme si en toi il y avait un enfant qui n'était peut-être pas plus âgé que deux ou trois ans. Cette enfant en toi, tu dois en prendre soin, lui donner la main, non pas le dresser comme si il était une bête sauvage. C'est un long apprentissage que de se réconcilier avec soi-même, d'apprendre à redevenir le meilleur ami de soi-même.
L'enfant aime explorer, aime découvrir. Il cherche, il pose des questions, non pas pour comprendre, mais pour découvrir davantage. La poésie, le dessin, la religion, etc, il aime, il adore. Ne le prive jamais s'il s'en réclame. Dis-moi ta peur de ne pas être comme les autres t'empêcherait-il de vivre à fond, d'aller au bout de tes passions?
Le flot d'émotions que tu sembles trouver anormal, c'est cela la vie. Bien sûr, c'est inconfortable, c'est souffrant, mais ça fait parti de la métamorphose. Ce n'est pas une maladie, c'est une transformation...De bons amis, par le truchement de tes passions pourraient t'aider à traverser cette étape de ton existence. Entre l'asile psychiatrique et le repli sur soi, tu peux trouver un espace où tu pourrais vivre ce qui se vit en toi, sans nécessairement te percevoir comme malade mental.
Tu commence à peine ton voyage, accordes-toi tout le temps pour choisir où tu veux aller. Explore, butine, expérimente. Avec tes peurs et tes faiblesses, car c'est cela être humain. Accorde toi le droit à l'erreur.
Nous vivons dans une société de performance et de production. Une société que se soucie bien peu de la destruction qu'elle engendre. Si nous ne nous accordons pas le droit de vivre ce que nous sommes, qui nous l'accordera? La société? C'est quoi la société? toi, moi, le voisin, tout le monde, personne. Alors pourquoi ne pas être toi-même,plutôt que de t'en vouloir de ne pas être comme tous les autres?
Laisse pousser tes ailes pour pouvoir un jour voler plus haut, plus loin.
Cordialement
Mario
le psy.... le prix....
Bonjour Cléophée,
oui, je persiste toujours dans ma démarche car mon généraliste à pris le rendez-vous pour moi, e'il ne l'avait paq fait alors je suis sûr et certain que j'en serais toujours au même point. Je me connais, je n'aurrais jamais pris ce rendez-vous, lorsqu'il m'a dit "je vais te prendre rendez vous chez un psychiatre..." je me suis dit ouf ! il a ouvert la porte ! J'était content intérieurement même si je me sentais forcé.
J'ai rendez-vous le 23 mai au matin, c'est encore dans 13 jours et des fois je me dit que ça va être long. Ce matin encore j'ai eu cette irrésistible envie de mourir. Pourtant, les médcaments commencent à peine à faire leur effet, c'est pas très net pour l'instant.
Le premier rendez-vous m'intimide beaucoup car j'ai peur de tomber sur quelqu'un de froid, et j'ai peur de ces silences qu'il y aura. J'ai l'impression qu'il ne va rien dire et me laisser parler alors que je ne sait pas quoi lui dire.
Toutes ces questions me turlupinent mais je sais bien qu'elles sont légitimes. Une autre chose que seulement certaines personnes peuvent comprendre pleinement est cette appréhension que j'ai à ne pas trouver l'entrée... Je suis allé repérer les lieux à l'avance bien sûr, j'ai trouvé sa plaque mais je n'ai pas vu l'entrée et je me connais, ke ne chercherais pas beaucoup. Cette peur que j'ai d'entrer dans un magasin ou un tabac et plus l'endrois est petit plus il me rebute.
Je sne sais pas ce que je vais lui dire et pourtant je crois que c'est mieux ainsi...
Seb, pour ta question sur le prix je te dirais ceci :
Je parle pour la France parceque je ne connais pas ailleurs mais disons que seuls les psychiatres sont remboursés car ils font partie du corps médical alors que les psychologues et autres psy sont considérés comme du domaine du paramédical (au même titre que les voyants extralucides ! Et pourtant ils sont bien plus utiles à mon sens). Pour le tarif, je fais un petit calcul simple :
le tarif spécialiste c'est 150 F du 1/4 heure
une consultation dure x 1/4 d'heure donc x*150 F
soit pour une heure 600 F et 450 pour 3/4 heure.
Si quelqu'un a des chiffres concrets ils m'interressent au plus haut point !!!
pour avoir en dollars il faut diviser par 6 environ.
Seb, la première fois que j'ai posté sur un forum pour en parler j'avais 18 ans et je sortais de l'hopital, il m'a fallu 3 ans et une rencontre singulière pour entrevoir la lumière, je pense qu'il ne faut pas attendre car les choses ont gravement empirées en ce qui me concerne.
e te souhaite de faire le pas et d'en sortir le plus rapidement possible.
voilà, sur ce bonne nuit à tous et à bientôt j'espère.
bonjour Seb et Petit Ours
Seb, ton histoire a plusieurs points communs avec la mienne. Ton message a beaucoup de sens, bien au contraire. Tu penses, tu réfléchis, tu analyses beaucoup, mais tu as l'impression be tourner en rond. C'est comme un fil complètement embrouillé et plein de noeuds dont on n'arrive pas à trouver le bout. La solution paraît hors d'atteinte, mais tu continues à chercher, en te disant qu'un jour tu vas bien finir par trouver, mais rien à l'horizon.
Tu as l'impression d'être de plus en plus loin : des autres, de tes sentiments, de ta vie. L'existence te paraît un rituel faux, hypocrite, auquel il faut se conformer, mais le coeur n'y est pas. Tu te sens très différent, comme pris dans une bulle. Il m'est déjà souvent arrivé aussi de regarder les gens s'agiter, courir dans tous les sens, et me dire : à quoi bon tout ce remue-ménage, ne voient-ils pas que tout ce qu'ils font est vain ? Pour eux pourtant, la vie, leur vie, est chargée de sens. C'est la perception que j'en avais qui était noire et faussée, comme si j'avais porté une paire de lunettes très sombres, qui filtre la lumière et amplifie les ombres. Mais eux ne pouvaient pas comprendre. Je suis restée sans aucun ami durant des années et je n'ai jamais connu l'amour.
Tu n'as plus accès aux joies et aux bonheurs de l'existence, ils te laissent indifférents. Peut-être te dis-tu : "je devrais ressentir quelque chose, mais il n'y a rien, absolument rien ? Mon paysage intérieur est bevenu stérile comme un désert, la souffrance l'a brûlé". Tu as dû te bâtir une épaisse carapace, qui te protège mais ne laisse plus rien entrer : ni joie ni lumière, et la vie te paraît vaine ainsi. Ce qui t'est arrivé lorsque tu as fondu en larmes est positif : tu commences à retrouver le contact avec tes émotions. Maintenant, il faut continuer, mais c'est difficile d'y parvenir seul. Il faudrait que quelqu'un te guide et t'accompagne.
Ton passé t'a sans doute traumatisé. Une soeur de 7 ans qui meurt de cette sale maladie, c'est d'une injustice sans nom !! Je ne sais pas quel âge tu avais, mais tu étais sans doute bien trop jeune pour vivre cela. Tu as compris que la mort frappe au hasard, qu'elle n'épargne pas les enfants, et que donc toi aussi tu pouvais mourir demain. Lorsqu'on est enfant, on ne peut pas concevoir les choses ainsi, on pense être immortel, et que ses proches le sont aussi : la mort, c'est pour ceux qui ont atteint un âge canonique !! Eh bien non, elle emporte qui elle veut...Il t'a fallu un courage extraordinaire pour continuer malgré cela. Tu as dû te sentir très seul face à cet épreuve, tes parents étaient enfermés dans leur souffrance aussi, et dans ces cas, on ne sais pas toujours quoi dire à un enfant, lui aussi a besion de mettre des mots sur ce qu'il a vécu afin qu'il puisse évacuer son traumatisme. Ils ont eu une très bonne idée en t'emmenant voir un psychologue, mais malheureusement, ce n'était sans doute pas celui qu'il te fallait, peut-être ne savait-il pas bien travailler avec les enfants ? Ou tout simplement, ne te sentais-tu pas en confiance avec lui(elle) ? Une relation thérapeutique se fait à deux, et il y a des cas où le courant ne passe pas.
Malgré tout, je pense que tu devrais refaire une tentative, et ne pas garder en toi toute cette souffrance qui t'empêche de vivre. Le plus simple serait d'aller voir ton généraliste, de lui expliquer tout ce que tu as vécu et ce que tu ressens en ce moment, et de lui dire que tu aimerais en parler avec un spécialiste. C'est très intimidant comme démarche, c'est un moment délicat où on craint d'être jugé. Tu peux en parler avec Petit Ours, qui l'a faite et à qui ça a demandé du courage. Mais pense que tu pourras enfin commencer à déposer ton lourd fardeau...C'est peu probable qu'il parle de t'hospitaliser, sauf si tu as des idées suicidaires très affirmées et que tu risques de passer à l'acte et mettre ta vie en danger. Sinon, il te donnera probablement les coordonnées d'un psychiatre chez qui tu pourras faire une thérapie pour comprendre ce qui te fait souffrir. Je suis sûre que quelqu'un peut t'aider. Ne reste pas ainsi.
Petit Ours, j'espère que tu persistes dans ta démarche, même si c'est effrayant. Sais-tu déjà quand tu verras ton ou ta psy ? N'oublie pas : la première séance est très intimidante, mais ensuite, ça va mieux, des liens de confiance vont s'établir au fur et à mesure.
Bon courage à tous les deux,
Cléo.
trouver le bon
Ton problème c'est la peur de ces maladies qui accable ta famille. Va consulter souvent pour te rassurer. Le psy de ton passé , n'était peut-être pas sur la même longueur d'onde.
L'hôpital peut semblée menaçante,On peut te mettre en tutelle, tu dois arrêter ton travail, tu n'auras plus la sécurité pour le loyer à payer. Dis-toi qu'il y arrive toujours des évènements pour nous aider si on mets la confiance en la providence.
Il faut prendre soin de son corps, c'est notre véhicule pour le moment pour découvrir qui on est.
Quand on est mieux dans sa peau, ça se réflète sur notre visage et les gens aiment être en notre compagnie...Soignes-toi bien...Pom
Merci pour vos messages.
Pom, toi qui a atteind l'age "mur" ta réponse me soutient. Trop souvent, j'ai l'impression que les adultes "mur" ne comprenne pas qu'un jeune puisse etre submergé par ses tourments. Comme si par exemple, il fallait etre chargé de famille pour avoir des souscis justifiés. C'est dur aujourd'hui de trouvé des gens avec qui parlé sincèrement dans la vie réelle. Trop souvent les discutions me paraissent sans interrées. Toujours parler des derniere nouvelles, des rumeurs ou jugés les gens qui nous entourre.
Bien sur je devrait faire le premier pas et voir mon medecin mais j'ai peur que d'autres gens decide des choses pour moi.
J'ai compris qu'on pouvait vite se retrouver hospitalisé et ca me fais peur aussi. J'ai un travail. J'ai du mal a juger de mon cas, certains jours je me dis que ca vas, que les choses s'arrangent et le lendemain j'ai l'impression que je n'ai plus rien a faire ici.
petit ours, j'ai lu ton histoire aussi et je m'y retrouve par moment. Tu dis que tu aimerais que ta famille te fasse des reflexions sur ta solitude plus souvent. Moi les quelques fois ou mes parent m'ont fait la remarque, ca m'a fait mal, mais pour eux. Je me rencontre que leurs vie a déja été si dure et je suis la pour leur donner encore d'autres soucis. J'aimerai pouvoir faire semblant d'etre heureux, j'aimerais que toutes leurs douleurs puissent s'appaiser, ils ont trop souffert. Cet hiver un de mes oncles est mort d'un cancer, je n'ai pas pleurer, ni rien d'autre. Mes parents n'on pas pu voir que ca m'a fait mal a moi aussi, c'est tjrs comme ca depuis des années je suis là sans rien pouvoir exteriorisé toujours a penser encore et encore.
J'ai vu un psycologues vers mes 8 ans pendant pres de 3 ans. A cette epoque, je faisait des cauchemards beaucoup trop souvent et surtout ils boussillés toute ma nuit et pas seulement quelques heures a rester reveiller. Je n'ai jamais aimer allé chez mon psy, je n'avais jamais rien a lui dire, toujours ces silence. Et puis j'ai decidé d'arreter et mes parents on accepter.
J'ai peur de voir un psy et de rester bloqué, de ne rien pouvoir dire. Bien sur je devrais essayé... Je vais y reflechir encore quelques jours. Je crois qu'il faut que je me lance, c'est sur que c'est sans doute la solution.
Je vous quitte. Merci encore.
Ton message à du sens Seb !
Seb c'est un appel à l'aide. Tu es prisonnier par des bandelettes comme une momie. Ça sent le salon mortuaire tu nous préviens de tes intentions et tu cherche un appuis.
Tu cesse de vivre à chaque descès. Petit Ours est en plein dans ton cas. Les maux gastriques c'est encore de l'angoisse, prends de l'eau d'aloèse et de la Chlorophylle végétale liquide mais demande avec au médecin chaque personne est différente.
Pour ton renfermement sur ta personne et ton goût de rien, ton manque de but, une analyse poussée peut éclaircir sur tes besoins.Il y a des maladies qui commence à l'âge de l'adolescence et plus vite on le dyanostique plus vite les médicaments nous stabilisent.
Au fond c'est ça, qu'es-ce qu'on a besoin pour être heureux? Quand on trouve les personnes qui conviennent , qui deviennent la réponse à nos besoins, on arrive à trouver la vie harmonieuse.
Oui c'est facile d'aller à l'hôpital, si on est suicidaire et on optient un suivie gratuitement au Québec.
Seb. tu as vue que tu n'es pas le seul à ne pas avoir trouvé une partenaire. Ça peut être long si tu regarde par terre pour éviter les regards.
Quand on est rendu associale, pour se libérer et vaincre se malaise , il faut faire le contraire , se forcer pour vaincre cette peur de l'autre en allant vers l'autre malgrés tout.
Tu le dis j'ai tout pour être heureux mais je n'ais pas de but, ça ne rime plus à rien.
Donnes-toi un but, celui de t'en sortir et de rire de tes malheurs de 21 ans, quand tu auras 40 ans.
Les pensées positives sont une voie pour atteindre la plénétude. Les pensées négatives t'aspirent dans le tombeau un peux plus chaque jour.
Tu n'as pas fais ton deuil comme bien des gens, le cancer te hante, il vous poursuit dans votre famille, va consulter un médecin pour te rassurer sur ce point et sur tes problèmes d'angoisses.
Je sais que Petit Ours déteste quand on dit que vous êtes jeunes et que vous avez au moins cette chance mais moi qui a deux fois ton âge et quelques poussières, je sais que la vie n'est jamais facile. Mais de savoir qu'il nous reste beaucoup de temps pour régler notre problème on se sens moin à la hâte.
Ne reste pas dans ton sarcophage et va voir un médecin et demande un psy eux savent écouter et nous guider...Pom
Bonjour Seb....
Ca m'a fait du bien de te lire lorsque tu as parler des réflexions de tes proches sur ta solitude et ton célibat parceque moi ces réflexions je les ai eu aussi, mais je préfèrerais les avoir plus souvent parceque ça prouve au moins que tes parents s'apperçoivent de quelque chose. Moi je suis célibataire depuis 21 ans, donc je sais que ça fait mal d'être seul.
Ce que je peux te dire c'est que d'en parler à ton médecin ne peux que t'aider, je sais de quoi je parle, je viens juste de le faire mais ça m'a pris 8 longs mois avant d'arriver à franchir le pas.
Je ne suis pas très doué pour te redonner l'espoir que je n'ai pas moi même mais je sais que pom et cléophée sont passées maîtres dans cet art difficile.
Quand tu dis que les autres doivent penser que tu es très peu sensible et c'est probablement vrai pour les gens qui ne te connaissent pas parceque tu t'en protège de ces gens en te fermant. C'est ce que je fait quotidienement pour me protéger moi même, et hop un petit sourir pour avoir la paix, parceque les échanges me sont trop éprouvant à supporter. Le sourir est une arme redoutable tant pour éloigner les autres que pour les attirer. Si tu baisse les yeux en souriant il te ficheront la paix, si tu les regarde il essaierons de nouer contact. Voilà à peu près ce que j'ai apris durant ces années.
Moi je pense d'après ce que tu décris que tu es très sensible (trop) et que comme tous les hypersensibles tu peux réaliser de grandes choses dans les sujets pour lesquels tu te passionne, je suis que tu es un excellent programmeur ?
Trouve de l'aide, vas chez ton médecin, il t'aideras, parles en ici ou ailleurs, tu n'es plus seul....