automutilation

Bonjour, je n'ai pas de méthodes de traitement.
Moi je m'en suis sortie, grâce aux antidepresseurs et anxiolitiques. Je ne suis pas dépendante des médicaments. Je prenais les anxiolitiques lorsque je sentais que je me laissais aller, que je perdais le contrôle.
Une thérapie a été essentielle dans mon cas. J,ai rencontré psychologue et psychiatre. J'en avais besoin. IL est certain que cette personne a besoin d'être aimé, pourtant il doit faire certaines démarches lui-même. je sais, nos enfants nous tiennent à coeur, nous voudrions le meilleur pour eux.
Comment as-tu découvert cette automutilation???

Nous nous mutilons parfois très durement, toute notre colère nous revient.

Pétillante......

Bonjour, mère et enseignante infirmière,peux-tu me parler des méthodes de traitement ... C'est une question de vie ou de mort.... Merci

salut,
bien moi j'ai tellementde choses a dire que je ne sais pas par ou commencer, seulement qu'en ce moment je suis en complete depression et je ne sais comment m'en sortir, mais j'en connais les raisons, d'abord mon mari est epyleptique ensuite il s'auto-mutile, le pire c'est que je n'ai decouvert ce que l'auto_mutilation existait qu'apres mon mariage et je ne vois actuellement pas le bout du tunnel, ses traitements contre l'epylipsie ne fonctionnent pas car il boit beaucoup et fume enormement , en plus il ne se rend pas compte que l'auto_mutilation est un probleme qu'il faut soigner et de ce fait il me rend responsable de ses mutilations car selon lui si je ne le mettait pas dans des coleres noires il n'aurait pas de crises, s'il vou s palit aidez moi , j'ai mon mari et ce qui me semblait etre le plus mariage et une vie sereine est devenu un cauchemar que ne peux plus endurer et je ne sais que faire, mon mari me fuit quand je suis en depression car cekla le fait souffrir de me voir malheureuse
ce message est destine a toute personne qui pourrait m'apporter un peu de reconfort , de soutien moral car je coule et l'anxiolytique que mon generaliste m'a prescrit ne sert a rien, je veux jeust rester seule le monde exterieur m'agresse, et ca me tue de voir les portes de ma maison marques de ses coups de main et mon armoir abimee

Bonjour,
je n'ai jamais souffert de TOC....
pourtant j'ai vécu la mutilation, il est vrai que c'est arrivé qqs années avant que la dépression majeure ne soit détectée. Les périodes actives n'ont pas été plus fréquentes pourtant. L'automutilation était l'expression de mon mal être. Je vis mieux maitenant et le besoin est moins fréquent. Je réussis à changer d'idées lorsque celles-ci m'effleurent.
Mais à la lueur de ce que tu dis, je me rappelle que je ne pouvais pas cesser la mutilation lorsque j'étais très dépressive. Tu suscites des quetions en moi, merci.

Pétillante........

Bonjour à tous et toutes,
Il y a bien longtemps que je ne suis pas venu ici. Je me rends compte que l'automutilation est pratiqué encore et toujours et toujours dans l'anonymat le plus total. Nous prenons toujours un temps fou à arriver à nous exprimer. La honte nous poursuit... même aujourd'hui je n'arrive pas à dire par ou j'ai passé à mes proches. Pourtant je sais bien que je ne suis pas folle, pas cinglée.
J'avais juste mal, encore aujourd'hui j'ai mal, mais la différemce est que je done à mon corps l"amour et le resect qu'il mérite pour tout ce qu'il me fait vivre. Je vis des relations sexuelles agréables, ça n'était pas le cas avant, lorsque je me mutilais. J'ai recommencé à me masturber et à aimer ce corps qui me fait jouir. La vie me l'a donné pour le plaisir pas pour la douleur. Je sais, me voilà qui parle sexualité, je me rends compte que la sexualité est une partie importante de la vie. Lorsque je fais l'amour, que l'homme avec je suis me dit que je suis belle, désirable, je sais qu'il n'est pas essentiel d'avoir un corps de déesse, mais je respire l'amour et oui, me voilà belle.
Je suis sur terre pour aimer et être aimée. L'homme avec qui j'étais ne m'aidait pas à m'aimer, au contraire..........
dans le forum relation de couple j'en parle.
Je dirais ceci à celles qui sont encore en période active....
J'ai un corps fait pour aimer, pour m'aimer en premier et pour aimer les autres autour de moi.
Je dois quitter, j'en ai assez dit... je suis encore fragile sur cette question, c'est encore présent et je me dois de me rappeller que je dois faire attention à moi, prendre soin de moi.... encore plus de moi que des autres.....

merci
j'aime aussi vous lire, espérer que nous arriverons à passer à travers cette douleur.

Pétillante...

Ca fait maintenant près de deux ans que je suis dépressive. Trois fois j'ai essayer de me reprendre en main, trois fois j'ai échouer et trois fois je suis retombée encore plus creux. L'automne dernier, j'ai commencé à m'automutiler... au début c'était juste pour voir. Le soir avant d'aller dormir, je jouais avec l'exacto, je me taillaisais la cheville, je faisais des petites formes, après, je pouvais m'endormir paisiblement. Et puis, j'ai déménagé, j'ai arrêté tout ca. Mais là, j'ai décider de parler à mes amis, d'aller voir le docteur, de ne plus rester seule avec ce que je vivais. Alors je suis partie de la maison, j'ai commencé le Paxil, et, j'ai recommencé à me couper. Une coupure sur le bras ici et là de temps en temps. La prochaine fois, c'étais plus creux, elles étaient plus nombreuses. Jamais je n'avais montré mon bras à personne, jamais personne ne se doutait de ce que faisais... Pour moi, l'automutilation c'était une façon d'extérioriser ma souffrance. Quand on est blessé, quand il y a du sang qui coule, on veut l'essuyer, s'en occuper, on reste pas comme ca... Mais quand on a mal en dedans, quand quelqu'un nous dit un gros mot, on accepte l'insulte et on continue, on ne s'arrête pas pour en prendre soin...

Il y a trois semaine, j'en avais assé... j'ai amassé tout mon courage et je suis allée au clsc chercher de l'aide. On a changé mes médic, on m'a donné une intervenante. J'ai du leur montrer mon bras, c'était la chose la plus difficile que j'ai jamais eu a faire... je me sentais à nue, exposée à leurs yeux, comme si plus rien n'était secret. Ma souffrance ne m'appartenait désormais plus, elle n'était plus qu'à moi.

Aujourd'hui-même, ca fait deux semaines que je me suis pas touchée... c'est un énorme accomplissement pour moi. Chaque jour je mets un petit collant sur mon tableau de réussites, quand ca va pas, j'évalue tout les choses que j'ai accomplies dans ma journée, ca m'encourage un peu. Un autre truc qu'on m'a donné, c'est de se mettre un gros élastique autour du poignet et shlack! Ca laisse tout de même une marque, ca fait un gros bleu sur le poignet mais c'est beaucoup moins défigurant que la lame... surtout avec l'été qui approche... C'est difficile, très difficile... mais au moins, petit à petit, les choses avancent.

Gardez courage, on va tous réussir à se sortir de ce calvaire... Comme dit La Chicane "Après la pluie le beau temps mais l'orage peut durer longtemps"

salut,
moi jai 18 ans.
Sa fais 1 mois que je ne me suis pas ouvert. Tout le monde te dit qu'il faut aller voir un psy, mais certain ne font rien.
Le vrai remède c'est de se dire que tu peux le faire et essayer de vivre comme tout le monde sans s'ouvrir les avant bras comme pour mon cas.
il faut juste être décidé a être prétte a passé a autre chose.
moi ji arrive depuis peu...

Bonjour à toi,

Je sens exactement la même chose que toi.
Je fais souvent des rechutes, de légère
à importante, et j'ai plus envie d'habriller
ca. Je l,exprime ouvertement, en espérant ne
pas trop "brusquer" l'environnement, surtout
les personnes dites saines d'esprit. Il y a
une phase d'acceptation, et ensuite de résolution
à moyen terme. On est pas des fous, il est
même dit que la dépression atteint davantage
les gens intelligents (rire).
Une bonne journée à toi. Lorraine

JE fait de lautomutilation depuis 4 ans personne arrive a me guerrir donc je comprend les depressif j ai 16 ans ca me fait peur cette maladie car on ne sait pas quand ca fini.pour guerrir il faut reglert ce qui ne va pas chez nous mais on n en sort jamais aider nous a trouver une solution

Message modifié le 07-mai-02 à 15h19  (EST)

salut,

J'ai 13 ans et moi,aussi,j'ai ce problème et mes amies ont vu ce que j'avais sur les bras ,le corps,mais j'ai pas envie qu'elles s'en occupent.Que puis-je faire?

bonjour à toi,
j'ai le gout de te demander si tu consultes...
il m'a fallu bien du temps avant d'avouer ces gestes à ma thérapeute...
je suis arrivé à me comprendre, il m'a fallu du temps, de la détermination à vouloir passer au travers chaque périodes difficiles... moi je tentais de lire un livre,
tu riras de moi.. mais je disais des notre père... je suis baptisée... même si je ne croyais pas vraiment ce que je disais...
je tentais juste de passer à trvers la crise en me faisant le moins de mal possible... aller marcher...
juste me dire... tu es une personne précieuse.... prends soin de toi...
juste me dire, non, je ne me battrai pas.. je suis en colère ou triste... mais essayer de comprndre que j'étais précieuse... je sais pas facile lorsque on est en période d'extrème angoisse....
tu peux m'écrire... encore ici ou sur mon e-mail...

Pétillante......

Cette tension extrême revient toujours même lorsque je crois qu'elle m'a enfin laissée en paix. Les gestes sont de plus en plus graves: la dernière fois, il a fallu que je m'enfonce un couteau dans la cuisse pour parvenir à me calmer. Je me demande où devrais-je me rendre pour que ça cesse???

Coucou,j'ai 15 ans et je vis cette douleur incompréhensible.Nous sommes pourtant dans un monde où il y a de moins en mois de tabous,mais l'automutilation reste occulte,et cele fait peur à nombre de gens.Je ne sais pas comment reprendre goût à la vie:je n'ai aucune passion,aucune raison de vivre qui m'aide à lutter.Mon seul but dans cette vie complexe est d'avoir des enfants,mêmes adoptés,à qui je donnerai tout mon amour,et que j'élèverai mieux que mes parents ont essayé de faire.Merci d m'ecrire,de me parler.Bisous et courage à tous.PETITE PUCE

bonjour, en me relisant ici, je constate les grands pas que j'ai fais depuis le début. Depuis le moment ou j,ai accepté de parler de mon problème, de cette tortute qui me rongeais, qui me diminuait à mes yeux et à ceux de mon mari enfin ex-mari. Il m,a fallu aller bien au fond de moi-même, savoir ce que je pouvais accepter, savoir ce que je voulais et ce que je ne voulais plus. Moi qui a toujours cru que je devais accepter chaque comportement que mon mari avait à l'époque. Heureusement j,ai été capable de quitter la maison pour me rendre compte que je ne representais absolument rien d'important à ses yeux sauf l'argent qu'il risquait de devoir partager pour la pension pour ses enfants. Depuis pludieurs mois il me criait avec véhemence qu,il était amoureux d'une autre, et que c'était la premiere fois de sa vie qu'il vivait ça. Oui J'ai capoté. j'ai cru qu'il m'avait aimé toutes ces années. Je sais bien, pas toutes ces années,mais au moins certaines. NON' il me criait. je ne t,aime pas. Mon coeur est avec elle, ma raison me dit de rester avec toi,. comme des colocs.. pour les enfants, enfin jusqu'à leur majorité. Depuis septembre j'ai quitté le domicile conjugale, j'ai pu le reprendre à la mi-octobre, certains évènements tragiques ont fait que j'ai repris le domicile familiale. Maintenant je vais mieux, avec médication, encore je sais, mais maintenant je suis assez bien pour savoir que j'en ai besoin., A un certain moment je voulais tout lâcher, médication, thérapies....
Merci, j'ai continué et maintenant je suis apte à la vie. Apte pour aimer mes enfants et les gens qui m'entourent et me montrent l'amour qu'is ont pour moi. Peu connaissent la mutilation que j,ai pratiqué. Non, je ne resens pas le besoin de le dire. C'est une partie de moi, que peu de personnes peuvent comprendre, même les personnes qui le vivent ce cauchemard n'osent trop en parler. Pouratnt je leur dirais d'oser écrire ici, c'est un endroit anonyme, et des personnes nos entendent, entendent notre mal....
Bonne chance à toi qui est avec cette douleur...

Bonjour à toi,
syndi cherche des gens comme toi et moi,
j'ai répondu, je voudrais qu'elle travaille si fort qu'elle puisse aider d'autres personnes qui comme nous vivent cette grande difficulté.
l'avantage de l'anonymat nous permet de se confier ici.

Bonjour je m'appelle Delphine, j'ai 21 ans et je vis dans l'Est de la France. Je suis très intéressée par ton message car je suis élève infirmière et j'ai décidé de faire mon mémoire de dernière année sur l'automutilation. Il faut que les thérapies changent, cela ne pourra se faire que si des personnes comme toi exprime leur vécu, émotions, ... les cartes sont entre vos mains mais rien ni personne ne doit vous forcer, suiver votre feeling. Merci beaucoup de votre aide