Ca continue de s'améliorer, c'est comme des vagues avec ses creux et ses hauts. Ca ressemble à la vraie vie quoi. J'ai encore des accès effroyables de cafard, les boules dans la gorge lorsqu'une pression sociale deviens trop lourde. Mais une chose demeure je retrouve acdz d'avant avec son énergie mais changé en profondeur. Je n'ai plus autant besoin d'être aimé à tout prix. Je m'aime. Ca suffit le besoin d'approbation des autres...
Il m'arrive de douter concernant le lieux où j'en suis rendu. Mais oui un moment donné je me suis senti -aspiré- hors du tunnel. Comment traduire autrement une expérience, un phénomène personnel, une expérience en intériorité. Ce qui me différencie d'il y a 2 ou 3 mois c'est que je pense avec -optimisme- au retour au boulot alors qu'aux fêtes j'aurais préféré mourir que d'y retourner. On dirait que je tiens un "journal". J'ai pensé ajouter ce commentaire un mois après le premier. Comme ça vous avez une vision de ma sortie du tunnel avec la profondeur dû au temps qui passe. Je crois qu'il y a une vie après la dépression pour parodier la vieille formule : y-a t'il une vie après la mort. Dans le fond c'est un peu ça, je suis mort à certaines choses pour naître à d'autres. Je suis différent quoiqu'encore fragilissime. Je suis bien obligé de le constater avec les effets du spm de ma femme... ca brasse les humeurs!
acdz