Est ce que l'on s'en sort vraiment du trouble Bordeline???

Bonjour

J'ai 36 ans et j'ai toujours doutté que quelques chose n'allait pas....
Je viens d'apprendre que j'ai le trouble de la personnalité du Borderline. J'ai fais des recherches sur le net, mais j'aimerais avoir votre avis si ça se guérit vraiment à un point que l'on ne pourra plus diagnostiqué la problématique chez la personne????

Je parle d'un changement à long terme, pas seulement par moments....

Maintenant je suis en thérapie, je ne travail plus, j'étais enfoncé dans une longue et pénible dépression. Je n'accepte pas mon problème de Bordeline, parce que je n'accepte pas d'avoir manqué pendant toutes ses années. Cela aurait pus être diagnostiqué bien avant mes 36 ans.

Là je comprends le fonctionnement de la maladie et des répercussions sur mon comportement et mes penssées qui agissent sur mon humeur. J'en reviens pas de constater maintenant avec un pas de recule, comment je suis si négatif et méfiant et je juge beaucoup.

J'ai été dans une longue dépression et je le suis encore. Aujourd'hui, je pensais mourir comme les derniers matins depuis quelques jours, parce que je me dis qu'il est trop tard à mon âge. Je sais que je dois changer de profession parce qu'il y a trop de pression dans celle que je pratique. Mais retourner à l'école à mon âge quand surtout que je suis habitué à un certain train de viefinancier, etc....

Je vais bientôt commencer une médication je crois...

Mais puis-je devenir un véritable père pour mes enfants malgré cette maladie????

En tout cas

C'est pas facile

C'est vraiment ca. La guérison est d'apprendre a reconnaitre la crise qui se prépare ainsi que l'élément déclencheur. L'élément déclencheur est le ''bobo'' à travailler, pas facile, épuisant et la douleur intérieur gruge....Un bon médecin et beaucoup de recherche pour comprendre et répondre à nos questions...Ca fonctionne mais surtout il faut etre conscient que nous avons des choses qui ne fonctionnent pas bien et de VOULOIR changer et cheminer. le trouble personnalité limite (ou bordeline)appartient à des gens très intelligents. Bonne Chance et garder en vous le vouloir d'affronter ce qui nous grugent de l'intérieur, le détruire et remplacer les souffrances par la guérison.

bonjour dans se que vous appeller cette maladie ma femme etain comme sa et menteuse manipulatrise et je pense que cela peux se querire main si la personne ne veux pas il na rien a faire tu va etre dans une spirale infernale et si il ya des enfant implique cela et encore pire je peux juste vous dire que de mon cte je sais pas main mon avie a mois je ne voudrais pas revivre encore avec une femme comme sa je suis divorce et comme une personne a die se moment je ramasse les pot casser ne vous caher pas en vous dire on sa vaaller mieux si la personne ne se donne pas des outils cela sera un echecque .

Bonjour,
j'aimerais vous demander une question. Je n'ai pas de diagnostic de ce trouble, toutefois, si je recule dans mon passé de pré adolescence (jai maintenant 31ans), j'ai plusieurs éléments qui correspondent.. (dans l'ordre
chronologique ; mutilation, problemes alimentaires, (il sait passé quelque chose)relatif à un abus sexuel, j'en suis certaine,mais je n'ai pas le souvenir, suicide de ma mère, abus de substances, sentiment de perte de joie de vivre et d'indiférence vis à vis la vie.

Apres plusieurs thérapies, je suis maintenant fachée de reconnaitre qu'aujourd'hui, apres plusieurs mois de stabilité, j'ai décidé de vouloir recherché plus loin ce qui m'habitant, reprendre rendez vous avec un psychologue gouvernemental, cependant après cette courte rencontre ou on me suggere de me renseigner sur les tpl. Voilà, dossier clo et moi la tête qui tourne.

J'ai beaucoup cheminer en croissance personnelle, je ne suis plus du tout au début de tout ces tracas mais je sais qu'il y a encore quelque chose,je le sens. Ce vide là, cet absence de joie profonde de l'être.

La psychologue m avais dit aujourd'hui que cet maladie mental s'éstompe avec le temps et le cheminement. Qu'elle restera présente mais de moins en moins présente.

Je la crois puisque je vois l'évolution se faire.

Mais en ce moment, je vais commencer ma lecture à ce sujet, j'aimerais bien connaîtres d'autres ressources et vos opinions.
Aujourd'hui, c'est la reconnaissance de mon irritabilité qui a ressurgit comme facteur d'alerte.

Après toutes ces annees, je me sens de nouveau laissé avec moi même, c'est correct mais en même temps, difficile..

au plaisir,
merci de votre écoute
Un soleil parmis tant d'autres :)

Bonjour, je viens juste de découvrir le TPL,en fait je suis tombée par hasard sur un article traitant de ce sujet. Je me suis reconnue dans la description de ce trouble, et par la suite je fais des recherches sur internet pour en savoir plus à ce sujet. J'ai 23 ans et, jusqu'à présent, je n'ai jamais consulté de psy malgré mes difficultés. Je pense que ça s'impose si vraiment je suis bordeline... En tout cas merci pour les infos et tes encouragements!

Bonjour, tout dépend de ce que vous entendez par guérison. Le TPL se traite, vous pourrez apprendre à mieux vivre avec ce trouble, à mieux gérer vos émotions. Des outils sont disponible pour vous aider à changer vos schèmes de pensées et vos cognitions.

Mais vous demeurerez toujours avec des tendances limites, le trouble s'efface tranquillement à mesure que vous avancez dans votre cheminement pour devenir des tendances, mieux contrôlées.

Vous demeurerez toujours un être hypersensible et votre cerveau n'apprendra pas à mieux distribuer la sérotonine.

Donc, en résumé, ça se soigne mais ne se guérit pas.

Merci ;-).... Ça annonce le début d une réelle connaissance de soi !!

Bonjour,

J'ai été diagnostigué bordeline il y a 24 ans. Au début, je m'en foutais, je ne savait pas ce que cet étiquette représentait. Puis un jour j'ai lu sur le sujet et je me reconnaissais a quelques point près. Ensuite, j'ai été très faché d'avoir ce diagnostique et j'ai chercher a prouvé le contraire. Il vint aussi un temps ou j'ai ridiculisé celui ci...ah état limite, c'est juste sur le bord de quelques chose...et aujourd'hui je réalise a quel point ce trouble de personalité me dérange. Je n'accepte pas d'être différente des autres. Cependant, je réalise aussi que j'ai au fil des ans beacoup travailler sur moi même. Avec la compréhension de ma conjointe, les encouragements des psychologues, de mes amies proches...je suis devenue beaucoup mieux qu'au premier jour du diagnostique. A vrai dire, si j'en parles pas personne le sait. Quand je ne vais pas bien, je suis capable de m'en rendre compte et de mettre en application des techinique qui m'aide a retrouver une stabilité. Certe j'ai encore des jours ou mon comportement laisse a désirer et là je me dit...franchement tu fait dure..prend sur toi. De plus, j'ai appris a reconnaitre les éléments déclencheur de mes crises. Si je suis fatigué ou stressé ou si je m'alimente mal....je sais que je suis fragile et que je dois prendre un temps d'arrêt avant d'en arriver au pire . Etre bordeline semblait pour moi la chose la plus terrible au monde mais depuis quelques années c'est beaucoup mieux. Je focus sur les bonne chose dans ma vie et avant d'agir je m'organise pour m'éloigné d'un problème, trouver quelqu'un a qui en parler, j'écrit, je me fait plaisir, j'écoute de la musique, je m'occupe...et avec le temps ca passe. J'ai été capable d'accomplir de bien belle chose, je suis capable d'etre productive, d'élever un enfant qui réussit bien, de transmettre et partager des belles valeurs, d'être a l'écoute des autres, d'être attentioné mais surtout d'arrêter de m'appitoyé sur mon sort. A bien y penser...avec le temps on pense moins souvent a ce diagnostique mais au chose courante de la vie et ca fait du bien.

Ne perdez pas espoir, trouvez de l'aide, apprenez a vous faire plaisir et dites vous que c'est ok et quand ca file pas et que vous ne savez pas quoi faire...faite rien a part prendre un temps de repos pour vous ressourcer. Prenez le temps de le dire a vos proches, ceux a qui vous faite confiance demander leur du support. Peu être que j'ai de la chance car ma conjointe a mis beaucoup de temps a me rassurer qu'elle n'allait pas me quitter. Au début de notre relation j'avais tellement peur de la perdre. A chaque crise, je pleurais comme un enfant perdu et elle ne réagissait presque pas...au point ou je me mettais en colère et elle me laissait chialer et écoutait sans dire un mot puis sois que je m'excussait et elle me consollait ou bien je partais en peur...mais jamais elle ne s'est mise a courrire après moi...alors je revenais à la charge me demandait pourquoi...bref, je cherchais une réaction. Heureusement, elle était là a écouter mes doléances puis elle disait vient te coucher on en reparlera demain....le lendemain, j'étais timide et nous parlions...et tout rentrait dans l'ordre. Avec le temps, les crises durent moins longtemps...je pars plus ( ca donne rien) au pire je boude dans mon coin puis on parle et ca passe assez vite. Y'a de l'espoir! Oh je me dit parfois qu'il n'y a rien d'acquis dans une relation conjugale et qu'elle pourrait me quitter mais on dirait que c'est une émotion correct qui n'est pas démesurer..n'importe qui aurait de la peine et c'est ainsi.

Ah oui, j'allais oubliez, c'est pas facile parfois pour nos proches...il faut prendre le temps de les écouter...ils doivent eux aussi apprendre a prendre soin d'eux.

Salut,

Vraiment SunnyL tu as vraiment dit ce que je voulais dire, il faut être positif et jamais lâcher.

Pour moi qui est aujourd'hui mère d'une petite fille je suis contente d'avoir enfin compris que de travailler sur moi était la meilleur chose et de laisser le négatif de côté était gagnant.

Moi je voulais savoir ce que j'avais maintenant je sais et je ne veux pas savoir si s'est mental ou comportemental. L'aide nous aide grandement à nous comprendre.

Pour ceux qui pense le contraire je suis désolé il faut continuer à comprendre son soi et vivre le plus positivement possible.

Continue s'est vraiment beau.

J'ai été diagnostiquée à 33 ans. J'étais en si mauvais état que j'ai dû placer mon fils pendant 4 longues années. On m'avais d'ailleurs dit que jamais je ne pourrais l'élever, ni travailler: je l'ai repris à l'âge de 12 ans, avec succès, d'ailleurs. J'ai aussi travaillé pendant près de 3 ans dans le cadre d'un programme gouvernemental. Je suis présentement aux études à temps partiel et ça va bien.

Cet automne, j'ai eu une période très difficile à traverser: ma mère est allée prendre soin de mon agresseur à l'hôpital pendant des semaines. Ayoye! Hé bien! même si j'ai dû voir une travailleuse sociale pour passer à travers ça, 4 rencontres m'ont suffi. D'ailleurs, cette TS dit que je n'ai plus que des traits de bordelines, sans pouvoir être étiquettée Borderline, car je n'en ai plus toutes les caractéristiques: j'ai tellement travaillé sur moi, que je vais bien mieux. La médication aussi a été très efficace.

Courage! Tu peux y arriver! Mais pour améliorer ton sort, il te faut une chose indispensable: l'espoir! Et le courage! Et...du temps! Ça va te prendre énormément de temps et de travail, mais tu vas y arriver.