une vie pour rien...

Frenchement la spiritualité ,tu sais ce que j en fais ;je la mes dans ce qui va dans tout a l égout pour etre polie .
Tu parle d un dieu qui viennent ici je l attend de pied ferme ,et si je le vois je lui foutrais mon point dans la gueule ,mes comme tous ça n est que foutése et conte pour grand , ça n arriveras pas .
zute alor ,on vie c est tout ce qui m importe ,de pouvoir vivre le mieu possible avec les émotions que j ais et que j ais mal comprise et mal analysé vue mon endicape .
voila

Pas facile de l'expliquer, mais ce serait encore bien plus difficile pour toi de le comprendre.
C'est un sentiment uniquement humain que l'animal ne peut concevoir.
Tu as de la haine envers moi (probablement parce que j'ai notté un message à une personne qui t'es chère et que tu en ressent de la jalousie) malgré tout je t'aime quand même.
Et cela n'a rien à voir avec la spiritualité ni la sainteté Cloé. je suis d'ailleurs athée, et même totalement persuadé que toute croyance et religion est justement le frein à l'amour fraternel entre les hommes, et source de tant de haine.
Un jour viendra peut-être Galium, où tu abandonneras toutes haines systématiques de ton voisin, je te le souhaite de tout coeur, c'est le chemin du bonheur.

Salut ,je crois que je vais arrete de venir ,je suis a cour d idée .
Moi j ais eu trois soeur ,et elle ne ce sont jamais occupé de moi voit tu ,et moi je me suis jamais comfier comme je le fait avec toi ou je le fait avec pom ,je suis pas en mesure de prendre ce que l on me donne ,je suis sens doute trop bouguon pour le fair .
Moi ça fait 8 ans que je me pose pourquoi ,pourquoi .
J en est ras le bulle pour l instant .
Allé bonne chance et pense a moi pour la carte .

J arrive pas depuis que j ais pris ce P..... d endidepresseur a revouloir ,quand je veux par exemple fair du velo ,je me bloque,mes bon peut etre que c est une époque révolu pour moi ,j ais passé un cap .

Ca a été une épreuve dur ,d allé voir un psy ,mes bon je ne pouvais pass autrement j etais completement a plat ,a cette époque j etais un zombi avec une phobie dur a suporté .

J ais entendu a la télé quelle que chose qui me fait tilte en ce moment ,ma vie avec ma chatte ,c etais ma vie j avais tout un (rituel) ,ma vie etais centré sur elle et depuis que je ne les plus ,je suis desentré ,je suis perdu bon ça va un peu mieux mes j ais pas de but presis ,je regard autour de moi et ils sont tous leur centre d interet ma chere ,leur vie de famille ,mystère .

bon j arrete la je reviendrais regardé ta reponse et apres j en sais rien .

bise

Salut Pascal,

Non, je ne pense pas que j'aurais voulu être un homme, mais comme j'ai grandi avec deux frères, j'ai sans doute pas mal pris exemple sur eux et adopté certains de leurs comportements, qui par essence étaient plutôt masculins. Et de plus, je vis depuis 7 ans avec mon père et mon frère, donc que des hommes, et j'ai la plupart du temps des amis hommes. J'ai discuté une fois avec une fille qui elle n'avait que des soeurs, et on avait trouvé qu'elle avait beaucoup plus de caractéristiques qu'on attribue généralement aux femmes que moi (douceur, diplomatie, sensualité, tendace à vouloir arrondir les angles...même si ça fait un peu "cliché"). Elle trouvait que j'étais plus "carrée", que j'avais une personnalité plus contrastée, plus affirmée, moins nuancée que la sienne. Moi, quelquefois, j'ai l'impression d'être plus ou moins "neutre". C'est peut-être une question d'hormones aussi : à l'adolescence, j'avais un déséquilibre avec trop d'hormones mâles. Bon, rassure-toi, je ne suis pas la vraie "fille-mec" non plus !!! Je ne suis pas masculine, juste pas très féminine.

Tu as peur de devenir fou ?? Alors tu ne l'es certainement pas, parce que sinon, tu n'en aurais pas conscience. Tu vivrais dans ton monde à toi, tes perceptions seraient gravement altérées. Maintenant, que tu souffres d'une névrose, c'est une possibilité, mais je ne suis pas habilitée à faire un diagnostic ! Peut-être s'agit-il d'une névrose phobique ?? Tu as déjà dit que tu avais souffert de phobies. Chacun se défend contre l'angoisse et les conflits intérieurs à sa façon. Il y a aussi ceux qui ont des pensées obsessionnelles et envahissantes, et ceux qui se sentent obligés d'accomplir des rituels interminables. Est-ce toi qui as affirmé souffrir de phobie sociale ?

Tu as en toi une angoisse dont tu ressens douloureusement la présence. Quelque chose a dû te destabiliser profondément, mais tu ne t'en souviens plus forcément. Peut-être que le traumatisme suscité par la mort de ta chatte fait écho à un autre, plus ancien ? Il y a peut-être un événement que tu as refoulé ? C'est très difficile de déterminer tout seul l'origine de cette angoisse. C'est pour ça qu'il serait sans doute bon que tu rééssaies de voir un psy. Bon, c'est juste une suggestion que je te fais...

Tu dis que dès que tu as une envie, tu te demandes si c'est normal et tu te bloques. As-tu souvent été obligé de réprimer tes envies et tes désirs par le passé ? Te sens-tu coupable d'en avoir pour toi ? Est-ce de la peur que tu éprouves, de la gêne ? Un malaise indéfinissable ? Il y a peut-être un conflit entre ce que tu aimerais faire et ce qu'on t'a inculqué ?

Pour ce que tu dis concernant ta peur de mourir étouffé, je crois que c'est très pertinent. Ta peur symbolisait ton sentiment d'être étouffé et empêché de vivre par tes parents, jusqu'à ce que la mort (psychique) s'ensuive. J'avais un peu le même problème avec ma mère qui voulait toujours me contrôler. Ma seule défense a été de me rebeller inconsciemment et d'accumuler les échecs, les actes manqués, les "j'l'ai pas fait exprès !!!". Maintenant je comprends mieux pourquoi je n'ai pas pu m'empêcher de tout flanquer en l'air, même si je ne voulais pas.

Ma mère était quelqu'un de très angoissé. Lorsque je suis née, elle était déprimée, elle se posait des questions sur sa vie qui ne la satisfaisait pas. Alors elle s'est raccrochée désespérément à ce nouveau bébé, en espérant qu'il allait remplir son vide intérieur. Malheureusement, c'était impossible : il lui en fallait toujours plus...

Non, en fait, je n'ai pas encore parlé de toi à ma psy, je lui avais juste demandé conseil pour Marina1 à l'époque, parce que je me sentais dépassée avec elle. Que souhaiterais-tu que je lui dise ???

Message modifié le 05-mai-01 à 05h12  (EST)

Pourquoi tu aurais voulu etre un homme ?

Tu dis :

tu m'avais parlé de l'animus et de l'anima, en affirmant que chez moi le côté animus était le plus développé malgré le fait que je sois de sexe féminin.

Je ne tes pas affirmé juste proposé ce qu il me semblais .

Mes je te comfirme tu as un cotes femme aussi .

Salut cléo ,oui peut etre que l on a un cotes animas ou animus un peu plus d evelopé ,mes je crois que c est pas ça qui nous fou le morul a zero .

Moi en ce moment je me demande si je suis pas schyso ou nevrosé ,en plus j ais mes angoise qui revienne un petit peu ,la peur de devenir fou ,le suis je ?

J ais envie de rien et des que j ais une envie je me demande si ces normal ,et je me bloque .

En plus de ça ,je me souviens souvent de mon passé quand j etais enfant mes quand je m en souviens ça s impose a moi et avec un passé angoissent et pas agreable ,peu etre quelle chose qui veu me dir un truc ,quand j ais perdu ma chatte ,j avais perdus une partie de moi ,en faite je crois de plus en plus que j ais perdus une epoque de moi ,comme si chaque age des époques differente ,mes au lieu de ce fair en douceur ça a ete coupé d un trait .

Pour ce qu est ma peur de mourrir etoufé quand j avais 9 ans environs , en faite je devais ettouffé interieurment et maintenent je sais que je suit coinçé car je ne peu fair ma vie (normal) ma liberté propre ,coupé le (cordons parental ) et dont je pense que mes parents mon gardé pour eux pour ne pas que je devienne autonome , et peut etre que ça n a pas été consciens chez eux je pense que pour ta mère ça du etre la meme chose ,elle a voulu te gardé pour elle .

Tu parle de moi a ta psy ?

bise

Salut Pascalou

Décidément, tu n'as pas de chance, tu fais rechute sur rechute. Tu te soignes bien, j'espère ?

Chez moi le moral va un peu mieux.

Je me suis souvenue d'une chose que tu m'as dite il y a quelques temps : tu m'avais parlé de l'animus et de l'anima, en affirmant que chez moi le côté animus était le plus développé malgré le fait que je sois de sexe féminin. Eh bien j'ai fait des tests de personnalité qui m'ont donné pour résultat que je pensais et que j'aimais plutôt comme un homme que comme une femme. Que dois-je en penser ? Est-ce pour cela que je vis souvent des amitiés avec des hommes et très rarement des relations amoureuses ? Voient-ils en moi plutôt une amie qu'une partenaire potentielle ?

En tout cas, il semblerait bien que tu aies eu raison sur ce plan-là...

Etrange, non ????

De retour parmis les zombis

oui ça va un peu mieu cotes morul lol .

Et toi ça va on dirais aussi ces supers ça .

N est ce pas superb créature ,bon je suis toujour malade .

bise

Ce que tu dis est fort intéressant, mais m'intrigue tout de même un peu. C'est vrai qu'on rencontre parfois des gens qui sont tenants de l'amour universel, mais je ne sais pas si c'est possible concrètement, à moins d'être un(e) saint(e), ce qui est tout de même assez rare!! Je pense qu'il s'agit plutôt d'une vue de l'esprit, fort louable, certes. C'est l'idéal que certaines personnes portent en elles, mais cela touche à l'absolu, et ne nous est sans doute pas accessible à nous, "pauvres mortels", à moins d'avoir su atteindre un niveau de spiritualité exceptionnel.(ce que je ne pense pas un jour parvenir à faire) Ce doit effectivement être fascinant de rencontrer une telle personne sur sa route, elle doit éclairer le monde entier de sa lumière intérieure.

Je suis d'accord avec toi lorsque tu dis que tout être humain a en lui quelque chose de beau, mais parfois ce quelque chose est difficilement reconnaissable, enfoui sous une masse de rancoeurs, de haines, de souffrances, de colère inassouvie. Le monde nous bouscule, ou même nous traumatise, et les défenses que nous devons ériger pour continuer notre route enferment ce quelquechose de précieux dans le plus épais et le plus inviolable des coffres-forts. Qui peut nous donner la combinaison si nous-mêmes nous l'avons oubliée ???

C'est amusant, ça !!! Bââ-nan' !!!

Tu reprends du poil de la bête, on dirait ??? Alors, comment vas-tu en ce moment ? Tu vas mieux, ou tu es toujours malade ?? En tout cas, tu m'as l'air en meilleure forme qu'hier.

Effectivement, ça doit être très difficile : lorsque l'hiver arrive, on devient un autre pour soi-même et pour son entourage : plus d'enthousiasme, plus vraiment d'envie, il faut se forcer pour ce qui avant était naturel. J'ai lu un article sur la luminothérapie, il paraît que les résultats sont bons. Les personnes qui en ont parlé dans cet article ont dit qu'elle n'éprouvaient plus, ou moins, ce grand creux en hiver. Par contre ce doit être assez contraignant comme traitement, le temps d'exposition est tout de même assez long, je crois...

Comment tu peux aimé une personne quand tu la connais pas ,banane

En cherchant bien tu découvriras peut-être que certaines personnes aimeraient aimer tous les gens de la planète, c'est une question de temps pour les connaitre...
Car tous les hommes et toutes les femmes ont en eux quelques chose de beau, c'est ce qui me fait adorer la discussion.
Dans l'attente de cette quètte, transmettre le bonheur et partager l'amour et le réconfort, donner sans compter, c'est aussi une action dans laquelle ont rencontre (presque toujours) beaucoup de bonheur.

Bon courage belle cléophée
Retrouve l'espoir et le gout de la vie, quelque part quelqu'un t'aime, j'en suis certain car moi je t'aime

J'ai pris du prozac aussi, suite au décès de ma mère, et je l'ai mal supporté aussi. Lorsque j'en prenais, je me sentais dans un état de surexcitation très pénible, j'avais l'impression de faire un peu n'importe quoi. En fait je planais complètement. Alors j'ai arrêté d'en prendre, car ça me faisait plus de mal que de bien.

Hélas, je ne crois pas que le bonheur puisse se prendre en pilules

J'ai fait aussi une dépression majeure l'an dernier, la médication ne venait pas à bout. J'ai du changé d'antidépresseur.
Prozac à serzone. Ceux qui disent que le prozac était la pilule du bonheur, il se trompe. Mais comment j'aurais aimé que ce soit ainsi.

oui, je suis très heureux quand le soleil de mars arrive. Je veux ne faire que de la luminothérapie l'an prochain. Du moins, j'essayerai. Mais je comprends le vivre au jour le jour que tu me parles, c'est un pays connu. Je fais de temps en temps un 50-70 km de vélo. Aprés 30 ans au moins dans cette pénombre, j'apprends à me connaitre, j'apprends à vivre. Ce qui a causé beaucoup de probleme à ma vie familiale, de couple, ... Je commence à penser à moi mais on ne me reconnait plus

Psycho