Le mal de vivre.
Il est de multiples raisons d'avoir mal.
On le decouvre à l'adolescence période sans reperes, sans but, où tout est doutes et questions. On le retrouve plus tard, un peu comme un vieux copain qui nous rappelle qu'on est vivant.
Il est normal d'avoir des hauts et des bas, de se sentir perdu, incompris, mediocre, inutile, vain. Il est normal de vouloir faire part de ses douleurs, d'en vouloir à ses proches de ne pas tt comprendre, de s'en vouloir soi meme, de se sentir alors nombriliste et de vouloir jusqu'a sa propre mort.
A celui qui souhaite sa propre mort. Je dis ce que tu recherches ce n'est pas la mort, mais une solution. Une solution à la cessation de la douleur. Ne pas vouloir souffrir n'est rien d'autre que la recherche de son propre bonheur. C'est un reflexe d'abord de survie qui ne peut donc aboutir à sa propre suppression. Il te faut donc explorer d'autres pistes en toi meme.
A celui qui se sent nul et egoiste. Je dis n'abandonne pas. Il n'existe pas de barrieres autres que celles que tu créees dans ton esprit. Tu dois comprendre pourquoi tu te trouves mediocre. Dialogue avec toi meme patiemment. Apprend à appréhender tes desirs et tes peurs. Accepte toi tel quel, comme si tu parlais avec un ami sincere.
Prend toi alors par la main avec amour, comme si tu tenais la main de cet ami, et affronte tes angoisses, seul si tu le peux avec l'aide d'un specialiste si necessaire...
A tous ceux qui ont peur de ne pas trouver la force. Je dis crois en toi, garde confiance, tu es ton meilleur allié, ton meilleur compagnon jusqu'au dernier jour.
Mais je dis aussi rien n'arrivera par le ciel, il n'y a pas de bonne etoile qui veille sur toi. Car il n'est pas besoin de bonne etoile.
A tout ceux qui ont mal. Je dis tu sais ce que je sais. Rien ne viendra de l'exterieur, tout est là en toi. Positive au quotidien tes actes. Soit honnete avec toi meme, et reconnais les choses positives, celles qui se rapprochent de tes desirs. Combat tes actions negatives. Apprend à te connaitre, à te combattre, à t'apprecier.
Crois moi, Le meilleur reste à venir...