L’Automutilation est pour moi une forme échappatoire a un stress.
J’ai besoin d’écrire aussi, j’ai découverts se moyen et j’invite toute personne de faire comme moi vous aller découvrir le même sentiment et a jeun, parler sans retenu, une feuille de papier ne peux pas vous faire de male ou vous faire perdre le contrôle, et cela fait beaucoup de bien.
Je veux informer les gens sur cette réalité (l'automutilation) qui est la mienne, je n’ai pas
Je crois être une bonne référence car je le vie moi-même depuis des années. Il y a les coupures et les brûlures avant moi je me coupais avec une lame de rasoir. J’ai commencé j’avais 11ans je crois, j’étais avec une copine et on se coupait les bras. Mes parents on jamais rien vue, par la suite lorsque j’avais male et que j’étais soit gelé ou soule je me coupais, même si j’étais chez des amies, j’allais a la toilette et je me coupais. Les brûlures son venu plus tard. S’étais plus fort que moi et lorsque je sentais ma peau s’ouvrir je me sentait soulagé en contrôle…
Je vais essayer de vous d’écrire exactement comment je me sens, durant c’est instant car je crois avoir toujours les même parole dans ma tête, même aujourd’hui lorsque que je me brûle ou je me coupe. Première sensation arrive a tout moment dans un contexte sociale d’un stress a gérée, un stress familiale ou professionnel. Alors j’essaie de faire du mieux que je peux pour régler le problème, en générale tous se passe bien mais le stress réglé n’est pas évacué. Je retrouvais la même sensation lorsque je savais que mon père avait bu. Nous pouvions jouer dans notre chambre et du coup mon père montait, rentrait dans la chambre et venait nous battre parce que pour lui, on faisait soit trop de bruit ou je ne sais quoi...
Chaque jour c’étais la survie et lorsque la soirée c’étais passer sans coups tout étais réglé, pour l instant mais la peur et le stresse n’était pas évacué.
Je me souvient qu’a chaque fois j’avais peur… mais malgré tout c’est moi qui faisais rire ma sœur, je ne voulais pas qu’elle pleur, elle était plus vielle que moi mais je savais qu’elle était plus fragile aussi, alors je lui racontais des histoires pour qu’elle s’endorme. Lorsque je savais quel était bien la je pouvais dormir. J’étais tellement apeuré. Je crois qu’il n’y a pas un jour dans ma jeunesse ou je n’ai pas eu peur d’être chez moi, un stress tellement fort.
Exactement le même qu’aujourd’hui, lorsque j’ai un trop plein et bien aujourd’hui je me brûle avec un petit bâton. C’est moins voyant que mes coupures et ça ne saigne pas abondamment comme les coupures moins de pansements. Je croie que toutes personnes qui s’automutile on se même sentiment de libéré leurs corps et leurs esprits d’un passé trouble et on doit les respecter dans leurs démarche et resté respectueux et affectueux même dans le non sens que cela peux occasionner pour plusieurs, depuis que j’ai découvert la feuille blanche et que je peux exprimé sans avoir peur, cela me réconforte. J’aime mieux vivre mes sentiments même si ils sont complexent, que de prendre des pilules et endormir mon passer. Peut être un jour, je vivrai normalement, qu’avec l’ écriture
j’ espère … lolly4