travaillera à faire avancer la compréhension du public des technologies de l'intelligence artificielle (IA) et à formuler les meilleures pratiques sur les défis et les opportunités dans le domaine».
Cette alliance intervient alors que diverses inquiétudes ont été exprimées en ce qui concerne l'intelligence artificielle en général, l'autonomisation et les emplois ainsi que des applications spécifiques telles que, récemment, les voitures autonomes.
« Les membres de l'organisation effectueront des recherches, recommanderont les meilleures pratiques, et publieront des recherches sous licence ouverte dans des domaines tels que l'éthique, l'équité et l'inclusivité ; la transparence, la confidentialité et l'interopérabilité ; la collaboration entre les personnes et les systèmes d'IA ; et la véracité, la fiabilité et la robustesse de la technologie.
» L'organisation n'a pas l'intention de faire pression sur les organismes gouvernementaux.
Le groupe a présenté 8 principes (en anglais) dont le premier est ainsi formulé : « Nous allons chercher à faire en sorte que les technologies d'IA bénéficient et donnent plus de moyens au plus grand nombre de personnes que possible
».
Les membres fondateurs « partageront le leadership avec des tierces parties indépendantes, incluant des universitaires, des groupes de défense des utilisateurs et des experts du domaine de l'industrie
».
Des discussions sont en cours pour l'inclusion d'organisations telles que l'Association for the Advancement of Artificial Intelligence (AAAI), de groupes de recherche à but non lucratif tels que l'Allen Institute for Artificial Intelligence (AI2) et d'autres grands du domaine tels que Apple.
Le « Partnership on AI » sera dirigé par Eric Horvitz (de Microsoft) et Mustafa Suleyman (co-fondateur de DeepMind, chez Google).
(1) « Partenariat pour l’intelligence artificielle au bénéfice des citoyens et de la société ».
Psychomédia avec sources : Partnership on AI, New York Times.
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