Dans un « point d'information », daté du 30 juin 2016, l'Agence française du médicament (ANSM) met en garde contre les « risques d’abus, de mésusage et de pharmacodépendance liés à l’utilisation de la prégabaline (Lyrica et génériques)
».
« La prégabaline (Lyrica et génériques) est indiquée dans le traitement de l’épilepsie partielle et des troubles anxieux généralisés. La spécialité Lyrica est également autorisée dans la prise en charge des douleurs neuropathiques.
» (Au Canada (2009) et aux État-Unis (2007), elle est aussi autorisée pour le traitement de la fibromyalgie.)
« Ces médicaments font l’objet d’une utilisation abusive à des fins récréatives
», rapporte l'ANSM.
« Dans ce contexte, l’ANSM souhaite rappeler aux prescripteurs les précautions devant être prises chez les patients qui présentent des antécédents de toxicomanie. Les signes de mésusage, d’abus ou de dépendance à la prégabaline, tels que le développement d’une tolérance, l’augmentation des doses et un comportement de recherche du médicament doivent être surveillés chez ces patients.
»
Psychomédia avec source : ANSM.
Tous droits réservés