Le Nouvel Observateur retrace l'historique des prothèses mammaires, depuis leur apparition en 1962, et décrit les différents types présents sur le marché.
Il est possible d'opter "pour un gel de silicone ou du sérum physiologique dans une enveloppe en polymère, ou encore pour un gel de silicone dans une enveloppe recouverte de polyuréthane. Mais en réalité, c’est le chirurgien qui décide. Au gré de ses bonnes et mauvaises expériences, et des entreprises qui le démarchent.
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La consommatrice "n’a plus qu’à faire confiance. Avec pour seule garantie, le petit carton comportant marque, taille et numéros de lot et de série de la prothèse
", commente Morgane Bertrand qui signe l'article.
Après l'affaire des implants de la marque Poly Implant Prothèse (PIP) dont le gouvernement français vient de recommander le retrait pour les 30 000 Françaises qui les portent, plusieurs consommatrices auront le goût de s'y connaître davantage au sujet des avantages et des risques associés à chaque type afin de participer au choix. Voici un bon article par où commencer.
Lire sur le Nouvel Observateur: Les implants PIP réveillent la guerre des prothèses.
La France compte un demi-million de porteuses de prothèses mammaires, selon le Dr Bruno Alfandari, président du Syndicat national de chirurgie plastique, reconstructive et esthétique (SNCPRE) que rapporte rapporte AFP. Le nombre annuel d'implantations est évalué entre 30.000 et 50.000.
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