L'objectif est de créer des bactéries synthétiques capables de produire des molécules sur mesure.
«Les bactéries industriellement intéressantes ont des génomes qui commencent à 2 millions de caractères, explique Philippe Marlière, du Génopole d'Évry (France) dont les propos sont rapportés par La Recherche. Il ne devrait donc pas être trop difficile, à partir de la plate-forme de Venter, de pouvoir étendre ce travail à d'autres micro-organismes.»
Venter et ses collègues collaborent déjà avec des sociétés pharmaceutiques et pétrolières (BP et Exxon) pour concevoir et développer des bactéries qui pourraient produire des bio-carburants, de nouveaux vaccins, médicaments et autres molécules utiles.
Psychomédia avec sources: La Recherche, Le Figaro, BBC, Los Angeles Times
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