Bradford McFadyen de l'Université Laval (Québec) et ses collègues ont comparé la mobilité de 11 personnes ayant subi un traumatisme crânien modéré à sévère et ayant retrouvé leur capacité de marche ainsi que, pour certains, retourné à leurs activités régulières, à 7 personnes d'âge et de conditions semblables sans problèmes neurologiques.
Ces déficits persistants peuvent avoir des conséquences si les personnes travaillent dans un environnement physique complexe, dans une usine par exemple, ou exercent des activités exigeantes en terme d'habiletés locomotrices, précise Dr. McFadyen.
Les chercheurs travaillent actuellement à développer un test clinique simple qui permettrait aux professionnels de la santé de mieux évaluer la capacité des victimes de traumatisme crânien de retourner à leurs activités régulières.
Psychomédia avec source: Science Daily
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