Suite à ces recherches, 35 % des employeurs n'auraient pas recruté un candidat; 53 % des raisons évoquées sont liées à la publication de photos ou d'informations provocantes ou déplacées, 44 % parce que l'on voit les candidats buvant ou se droguant, 35 % parce qu'ils tenaient des propos déplacés sur leurs anciens employeurs, leurs collègues ou leurs clients. Dans 24 % des cas, les candidats mentaient sur leurs diplômes, et 20 % avaient publié des informations confidentielles sur leurs anciens employeurs.
Pour 18% des sondés toutefois, ces recherches avaient déjà incité à recruter un candidat. L'employeur avait jugé qu'il avait une bonne personnalité dans 50 % des cas, de très bonnes qualifications (39 %), qu'il était créatif (38 %) ou qu'il savait communiquer (35 %).
Psychomédia avec sources:
Znet.fr
Silicon.fr