Vraiment intéressant. La composition de la flore intestinale me semble un point important à prendre en compte.
Il me semble que cette flore se constitue et se consolide durant la prime enfance en fonction des aliments consommés, du mode de vie (apaisé ou stress) et peut-être encore d'autres facteurs.
Je pense au fait que les enfants n'aiment ou n'aiment pas tel ou tel aliment n'est peut-être pas seulement un caprice ou une méconnaissance, mais peut-être une réaction instinctive de rejet ou d'acceptation de tel ou tel aliment.
Je pense aussi qu'un travail de recherche concernant la consolidation et le développement de la flore durant la prime enfance (transmise par la mère) pour suivre l'impact des composants de telle ou telle flore sur l'évolution de l'individu pourrait être surprenante.
Le seul hic... il faut attendre jusqu'à la fin de vie des individus.
Donc, pas de temps à perdre ?