Comment être près d'une personne et heureux

Bonjour Seth,

Pourquoi un bourreau vivrait il en moi ?
Cette expression m'effraie!Si je vous fait part de mes difficultés sur ce forum ,n'est ce pas déja refuser une telle éventualité!

Personnellement ,je crois que seule la douceur ,le regard sur les jolies choses peuvent aider une personne a se ressourcer.

Mes parents ne me donnaient de tendresse ,ils étaient tres distants,mon pere par exemple, ne m'a jamais appelé par mon prénom.
Enfant,je me rappelles,lors des promenades avec lui,il prenait ma main ,puis l'écrasait dans la sienne!
Ces moments étaient horribles pour moi,j'avais a l'époque l'impression de devenir sourd et restais sans voix tel un muet!J'étais séparé du monde .Ma douleur était physique et morale !
Qui était mon pere?

Ce manque d'amour,éprouvé aujourd'hui,comment le trouver,je veux le chercher dans la beauté de la vie.

Un regard sur le ciel ,les vagues de la mer,l'horizon la bas...

Amicalement,Martin.

Bonjour a tous,

Le passé...
Le faire renaitre!
Il ne m'a pas plus en tout cas!
La colere est en moi!J'ai envie d'insulter ,taper ,descendre mon pere !

Pourquoi,a t'il agi comme cela?

Mais n'est ce pas une fausse interprétation de ma part?Probablement de tout associer a de la négativité!

Dois je descendre a nouveau dans la fosse aux lions?Ne fut ce qu'émotionnellement!

Pas sur,me souvenir ne sera t'il essentiellement constitué ce jour de sensualité,sensibilité et tendresse?
Mes parents ne m'ont ils offert autre chose ,meme sans le savoir!Je ne l'ai encore apprécié!

Ah,la communication!

Mes pleurs,mes rires ,des moments apréhendés!

Peut etre vais je découvrir des tons ,des couleurs éblouissantes ,l'art et la vie!

Amicalement,Martin.

Tu as raison d'être septique à l'égard du pardon, car souvent nous en avons une vision simpliste. Nous confondons pardon, réconciliation et justice. Le pardon, selon Jean Monbourquette (Comment pardonner ?, Édition Novelis), ne conduit pas automatiquement à la réconciliation avec l'offenseur; il ne signifie pas non plus qu'on efface le passé comme si rien ne s'était produit et il ne signifie pas non plus qu'il remplace le droit et la justice.

Le pardon, c'est un processus qui visent à la pacification avec son passé. Je ne crois pas que nous ayons le pouvoir de pardonner. Au départ, il y a une volonté de se libérer de la souffrance causée par les blessures du passé. Plus nous nourrissons du ressentiment, des regrets, voire de la vengeance dans certains cas, plus nous nous fixons à notre traumatisme et nous exposons à le répéter sans fin. Voilà pourquoi il faut se pacifier avec son passé. Le faire remonter, oui, mais pour le comprendre, prendre conscience de ses répercussions dans notre vie présente et s'en libérer. C'est un long travail, parfois douloureux.

Le pardon, c'est un processus de transformation intérieure. Comme toute création, il y a la volonté du créateur (le désir de pardonner) et le processus de création avec son propre dynamisme et ses lois (le pardon). Ce que j'essaie d'expliquer ici, c'est l'idée de la démarche, du processus, car le pardon n'est pas uniquement un acte volontaire, genre «va, je te pardonne tout» Le pardon, c'est un long retour vers soi-même qui implique éventuellement la prise de conscience de ses mécanismes de survie et le lâcher-prise. Tout démarche de pardon demeure inachevée tant et aussi longtemps que nous n'avons pas pris conscience de tout cela.

Il est regrettable que nous attendions bien souvent de se trouver dans des situations extrêmes avant d'entreprendre cette capitulation. Un beau jour, on se réveille, on avait cru faire parti du camp des «bons», puisque nous avions le rôle de la victime. Nous ignorions alors que le bourreau que nous avons vu dans notre père ou notre mère, nous l'avons si bien intériorisé que nous devenons éventuellement victimes de nous même. Nous nous faisons mal et par ricochet nous blessons les autres. Toujours malgré soi. C'est un engrenage terrible.

Le pardon, c'est avant tout à soi qu'on doit se l'accorder. Quand on a compris sa souffrance, on finit par comprendre la souffrance du monde. Et c'est là que naît le sentiment de la compassion, même envers ceux qui nous ont fait souffrir. Comme le disait Spinoza : «la souffrance d'être cesse d'être souffrance sitôt que l'on s'en forme une représentation nette et précise ».

Première étape, Martin, c'est de reconnaître toute la colère qui est en toi et qui accentue ton sentiment d'être minable. Tu n'as plus besoin de ton père aujourd'hui pour te maudire, tu le fait toi-même. Tu te hais, tu continues à jouer la même scène que tu connais depuis toujours. Mais ton personnage de victime, tu vas devoir un jour le mettre à mort si tu veux renaìtre à toi-même et te libérer non plus du père qui t'a blessé, mais du bourreau qui vit en toi maintenant et qui ne te laisse aucun répit. Et je ne vois pas d'autres moyens d'en sortir que le pardon...

La démarche du pardon, c'est , comme le dit l'auteur du message suivant, un processus de deuil. Faire le deuil des pertes qu'on a subies. Y'a rien de très réjouissant là-dedans mais c'est néanmoins le seul chemin qui te conduira vers toi-même. Autant dire que c'est un processus qui n'est jamais achevé.

SAlut Mec,

Je crois qu'avant de pardonner, on doit dabord vivre son deuil et extérioriser tout le méchant qu'on a intériorisé et comprendre comment ca nous a affecté.

Seulement par la suite, selon moi, on peut vraiment pardonner. Je ne suis pas encore rendu à ce stage d'ailleur ! but still working on it !

bye !

Bonjour,

Pardonner,est ce le bon mot!
Si je parles de ma mere ,il y a aussi un pere violent!Ma mere ne m'a jamais défendu des lors qu'elle connaissait la violence de mon pere!

Pardonner ,cette expression me laisse perplexe,ma tristesse est terrible aujourd'hui devant ces agressions et les coups sournois !

Je ne sais que penser,je dirais plutot que je n'ai envie de pardonner ,je crois qu'a toutes les époques ,il y a eu des bons et méchants!

Aujourd'hui je suis souvent confronté a une tres forte émotivité face aux difficultés de la vie!

Celle ci est elle due a une fausse image que je me suis construite suite a toute l'agressivité recue ou suis je seul responsable de cet état?

Amicalement,Martin.

Sage ? je veux bien pourvu que tu ne me fasses pas boire la ciguë !

Le sens étymologique du mot «philosophie» signifie l'amour de la sagesse !

Plus je gagne en nombre de saisons et de rides, plus je me rends compte qu'on ne règle peut être pas grand chose. On apprend par contre à créer un modus vivandi avec soi et soi-même, avec soi et les autres. Point barre.

Le danger en voulant se connaìtre, c'est de se replier dans une représentation étroite de soi-même et du monde. Voilà pourquoi la philosophie reste fondamentale. Je m'arrête ici de peur d'être chassé car nous sommes dans un forum de psy, n'est-ce pas ?

Seth, je te lis et on dirait que je lis les phrases d'un sage homme ! Non sérieux je trouve que ca a bein du sens et je crois même que toute personne en transition vers l'âge adulte remets en doute ses parents et l'éducation qu'il en a reçu. Il fait cela afin de se libérer de certaines croyances ou comportements dont il veut comprendre. Ou encore je crois qu'on a tous des traumatismes lorsque nous sommes enfants car aucun parent n'est parfait et nous tentons de nous réconcillier lors de notre transition à l'âge adulte et pour ce faire, on étudie la façon dont nos parents on interagis avec nous-mêmes. Entk, moi c'est ca que je fais, je ne sais pas vous est-ce que vous faites cela ?? Moi c'est ca que je fais en ce moment et j'essais par la même occasion, de tenter de trouver ma vrai personnalité, de l'Accepter telle qu'elle est et de l'affirmer dans mes relations avec les autres.

Bon je vais me coucher pensez-vous qu'on va virer fou un jour avec toutes ces questions que l'on se pose ??!!! Ca pas de bon sens entk pour ma part mais je crois que ca fait seulement partie du développement de moi-même.

Bye et bonne journée

Y'a-t-il un seul être en ce bas monde qui échappe à la duplicité ? Philosophiquement, l'homme doit composer toute sa vie avec sa propre duplicité ontologique. L'homme est ainsi fait. Il y a en lui le conscient et la face obscure de son être, l'inconscient. Entre ces deux pôles l'homme cherche son équilibre, sans jamais l'atteindre complètement.

Surtout ne nous laissons pas duper par ceux qui affichent une identité qui apparaìt sans équivoque et sans faille aux yeux de tous . Ce ne peut-être qu'une illusion. Tout ce qui est humain ne m'est pas étrangé, a écrit Sénèque ou l'un de ses contemporains.

Ce n'est que lorsqu'on commence à accepter la partie «ombre»de son être qu'on assiste à la réconciliation entre soi et soi-même, entre soi et les autres. Avant cette étape spirituelle cruciale du développement, nous ne faisons que projeter sur les autres notre ombre, en commençant par nos parents. Nous les rendons responsables de nos faiblesses et de nos peurs. Pour la plupart d'entre nous, nous regrettons de ne pas avoir eu les parents qui correspondent à notre idéal. Combien de gens ont eu la chance d'avoir de tels parents ?

Bien sûr, il est important de revisiter son enfance afin de mieux comprendre ses fixations actuelles. Le but cependant n'est pas de trouver le ou les coupables, mais de se libérer du passé. Éventuellement d'oublier. Y'a-t-il des gens qui, même en ayant eu les meilleurs parents du monde, peuvent s'exempter d'un telle démarche ? La perfection, hélas! n'est pas de ce monde. Il faut faire avec nos limites et les contraintes que la vie nous impose. Y'a-t-il un autre chemin ?

J'ai la consolation de me dire que ce n'était pas ma mère. Mince consolation tout de même quand on pense à toutes les maltraitances dont j'ai pu être victime.

Par ailleurs, il est déconseillé de laisser à l'enfant l'envie de faire ce qu'il veut. Vient un moment où le parent doit imposer son autorité s'il veut qu'un jour l'enfant possède des limites pouvant l'aider à faire des choix.

Il faut comprende aussi qu'à l'époque l'enfant ne joussait pas de la même reconnaissance qu'aujourd'hui. Comment nos parents pouvaient-ils attendre le consentement de leur enfant à l'égard d'une décision alors qu'on leur avait toujours appris à eux, comme à l'ensemble des individus de cette génération, à se soumettre à l'autorité ?

Le danger, en se tournant vers le passé, c'est de le regarder avec la représentation de notre époque. L'autre danger, c'est de continuer à regarder notre époque avec les yeux du passé. Pas facile d'en arriver à une certaine objectivité en la matière puisque toute perception est forcément subjective.

Je te conseille, Martin, de faire le bilan des expériences que tu as vécues avec les scouts. Cela t'aidera à pardonner à ta mère pour ses excès d'autorité...

Bonjour,

Effectivement,Skarloc,aucun consentement de ma part n'a été donné,mes parents ont agi derriere mon dos!

Cette action ,peut etre était elle aussi le fait de vouloir me placer sous une autre autorité!
Nous connaissons tous le trait de caractere critique de ce type de mouvements.Je parle des "petits chefs".

D'un autre coté,je peux comprendre le point de vue de Seth .Si je ne me trompe , j'étais dans ces camps et je ne savais changer a cette instant la situation!J'aurais pu découvrir quelque chose de positif ,déja pour atténuer ma douleur d'avoir été tromper.

Cette capacité ,cette force je ne l'avais a cette époque!Aujourd'hui face a ces experiences ,en effet ,je peux y réfléchir!

Amicalement,Martin

Oui mais ni la mère de Martin, ni la tienne ont agis de manière conforme. Le but est de laisser faire à l'enfant ce qu'il à envie de faire.

En fait mon message se voulait une réponse à celui de Martin qui continue de tenir rigueur à sa mère de l'avoir forcé, à l'aide de subterfuge, à aller dans les camps de scout. Il y a toujours deux côtés à une médaille. Martin nous a présenté le côté le moins réjouissant. L'autre, c'est qu'il a pu participer à une expérience des plus formatrices.

En exprimant mon regret de n'avoir pu participer à ces camps de jeunes parce que j'étais tenu en captivité et en esclavage, j'ai voulu signifier à Martin qu'il avait eu une super belle chance d'avoir participer à ces colonies de vacances. Moi, vois-tu, je serais reconnaissant à mes parents de m'avoir permis une telle expérience.

Je suis désolé pour toi, ca n'a pas dû être facile et ca ne doit pas l'être non plus aujourd'hui. Je me plains mais c'Est certain qu'il y en qui ont eu de moins bonnes conditions que moi.

N'oublie pas une chose : C'est possible d'améliorer notre sort et notre santé psychologiue.

Bon courage.

Bonjour Skarloc,

Ton recit ,ceux des autres ,les miens font remonter a la surface de fortes emotions suite a ces tragiques expériences ,vécues comme tel en tout cas!

Nous demandions, enfant ,a etre considéré ,entendu,écouté,nous ne recevions finalement que du mépris,le rejet,l'exclusion.

Ne te pose pas de question ,fais ceci ,fais cela ,c'est pour ton bien!

Chantage, souvent affectif!le pire selon moi!Avec des enfants...Je t'aime ,mais, fais ceci pour moi!
Ces parents ,suivent ils la stratégie des kidnappeurs,des terroristes?

Apprendre a nous soumettre!
Quelle est ma part de responsabilité?
Finalement n'ai je pas aussi jouer ce jeu?
En tout cas,je n'ai agi !Aujourd'hui,légerement vouté,craintif,et dans le doute...
Quelle force m'a t 'il manqué pour dénoncer ces comportements?
Peut etre celle de dire non, de refuser!

Essaie de t'imaginer, au contraire, que ta mère t'aurait interdit de sortir. Pas le droit d'aller avec les copains des environs, aucune activités parascolaire, aucune vie sociale extérieure. J'étais contraint des étés durant à garder les plus jeunes dans la cour à faire les tâches domestiques, y compris le lit des autres, tout ça dans l'humiliation. Les voyage de fin d'année, je devais les négocier à la dure pour qu'ils me laisse aller. «Ils», c'est la famille d'accueil où j'ai demeuré un bonne partie de mon enfance. Sans parler des sévices physiques et mentaux que j'y ai vécu. J'y ai vécu la servitude et l'esclavage.

J'ai rêvé de faire partie des scouts. Je n'ai jamais pu...

J"ai cru pendant un temps que je m'en sortirais car j'avais la volonté. Maintenant l'avenir me semble très sombre.

Yo,

Ouain bein en effet c pas facile de faire confiance aux personnes lorsque ta propre mère, je dirais LA référence de toute tes relations intimes, te compte des menteries en voulant te protéger ou encore te faire faire ce qu'elle veut. Je prends un exemple très banal, il y a des plats (nourriture) que ma mère fait qui ne coute pas cher pis tsé c moins bon que par exemple un steak. Alors la je dis à ma mère "pas ca j'aime pas ca" et la elle me dit genre "bein voyons cest très bon" et je crois qu'elle me dit ca dans le but que j'en mange et pour ainsi faire économiser de l'Argent alors qu'elle sait très bien au fond de elle que c vrai que c'Est pas excellent comme nourriture mais ca fait la job et ca coûte pas cher. Tsé je trouve que ca fait hypocrite, elle pourrait me dire la vérité en pleine face genre "c'Est pour économiser de l'Argent" j'aimerais mieux me faire dire ca que me faire compter des menteries. Ca ce n'est qu'un exemple, elle fait ca sur plusieurs fronts. Je crois que l'hypocrisie est surement le défaut que je déteste le plus.

Moi c'Est lorsqu'une relation devient sérieuse, je prends mes jambes à mon cou, ca me fait peur. Je me suis même surpris une fois à avoir des tremblements ! Ca pas d'allure..

Bon a+

Bonjour skarloc,

Des parents qui mentent aux enfants,j'ai connu ce cas.Etant enfant ,ma mere m'inscrivait dans des camps de scoutisme ,plusieurs années de suite j'y allai et ne supportais pas cette ambiance.
Chaque fois avant mon départ ma mere me promettait que ce serait le dernier,mais ,en cachette elle me reinscrivait ,faisait mes affaires la veille et je me retrouvais a nouveau dans ce milieu.
Cela me faisait tres mal ,je me sentais rejeté et trahi ,aujourd'hui et alors que je te raconte cet épisode ,je suis encore furieux contre elle a cet égard.
Mes parents se complaisaient dans ce jeu,et me faisaient aller aussi dans des mouvements de plus en plus dur sans me prévenir!
Terrible ce que j'ai vécu!
Ma mere devait prommettre a mon frere un petit chien si celui ci réussissait a l'école ,ce qu'il fit ,mais il ne put avoir le chien!Il en fut tres triste!
Difficile de vivre et de trouver sa voie ,lorsque l'on a été élevé dans le mensonge et la trahison.
Ne savaient ils prendre leurs responsabilités face a des enfants!
Quelles sont celles de la société?
Sont ils restés a un stade d'adolescent sans s'apercevoir qu'ils avaient une famille!
Il ne m'est pas facile de lier des contacts amicaux,l'amitié est une inconnue pour moi!
Souvent lors d'une heureuse rencontre ,je ne tarde pas a etre tres angoissé ,je mens aussi ,ne réponds pas aux questions ,j'attrape peur etc...
Bon,eh bien j'en prends conscience...
Puisse ce vécu t'apporter les meilleures solutions pour toi!

Amicalement,Martin.

Salut

Le problème pour moi c'Est que j'ai peur d'être moi-même et de me faire rejeter. Quand j'étais adolescent, ma mère et mon grand frère (5 ans de + que moi) se mettait de conivence contre moi et m'attaquait personnellement. Ils me détruisaient en quelque sorte en m'attaquand psychologiquement. Ce qui a fait que j'ai vécu une dépression, je n'avais que peu d'ami. Je ne m'acceptais pas comme j'étais et cela dû au fait que ma mère et mon frère me voyait aller et avait peur que je devienne plus tard, en vieillissant, comme mon père. J'étais comme mon père et cela effrayait ma mère. Logiquement, si une mère aime son mari, elle serait portée à aimer son fils qui est comme son père. Cela me semble logique. Je crois sincèrement que la relation qu'un enfant vit avec sa mère est une chose très importante pour l'intimité que cette personne pourra développer avec d'autre plus tard. Tout ca n'a aucun bon sens, que ma mère ait si peur de ce que j'allais devenir !! Une mère devrait accepter ses enfants tels qu'ils sont ou que au moins, si elles veulenet changer certaine facette de leurs personnalités, s'arranger pour ne pas qu'ils s'en rendent compte ! Tsé pas leurs dire ca ouvertement... Voyons siboire ca pas d'allure.

Une autre chose aussi que je me suis rendu compte est que lorsque j'étais jeune, ma mère me protégeait en ne me disant pas toujours la vérité sur ce qui se passe autour de moi. Autrement dit, elle me mentait. Ce qui fait en sorte que maintenant, j'ai de la misère à croire les autres lorsqu'ils me disent quelque chose, je pense toujours qu'ils ne me disent pas la vérité et qu'il y a toujours une arrière pensée. Entk au moins je m'en rends compte, ce qui aide à passer par-dessus tout ca.

bye

⋯@⋯.com

Bonjour Skarloc,

Un contact intime avec certaines personnes que je cotois n'est pas aisé pour moi non plus!
Il n' y a pas tres longtemps une relation m'avait invitée chez elle dans le but de me faire découvrir sa famille!Il devra insister pendant 3 mois !
Chez lui ,j'etais encore mal a l'aise,je devais culpabiliser de l'avoir fait attendre si longtemps!
Apres sa femme devait me dire timide !Je ne l'ai réinvité a mon tour!
Oui,difficile également pour moi les relations ou je dois quelque peu me découvrir...
Peur du jugement des autres ,certainement!
Mais en prendre conscience est une bonne chose!

Amicalement,Martin!

Bonjour à toi,

je n'ai pas les informations que tu recherches a savoir si tu as une maladie psychologique et si ça porte un nom particulier. Je crois cependant qu'il y a des raisons qui font qu'on agit ainsi et que ce que tu fais, c une façon de te protèger. As-tu parlé avec ton psy de ta peur ou plutôt ton envie d'éloignement lorsque quelqu'un savait trop de choses sur toi? Juste pour me donner quelques pistes...TA relation avec tes parents, elle est comment?? Sont-ils toujours ensemble? Comment te perçois-tu? Que penses-tu des gens qui veulent poursuivre une relation avec toi après avoir connu ton vécu ou ta façon de voir les choses?

Je te pose ses questions car j'ai déjà fait ça et parfois je le fais encore. Je ne veux pas que les gens me connaissent trop, de peur de ce qu'ils vont penser de moi ou de me faire rejetter, donc je prends les devants...je flush avant de me faire flusher...(façon de parler) Je me juge énormément et j'ai longtemps eu peur de l'opinion des gens sur moi, donc le mieux était de ne pas trop m,approcher d'eux. Aujourd'hui, j'ai 28 ans, je n'ai pas énormément d'amis, mais celles que j'ai, ce sont des vraies. Je pense qu'il y a un gros travail sur notre façon de nous percevoir et aussi faire la paix avec le passé...avoir confiance en sois est la clé de bien des choses.

Peut-être que je suis dans le champs pour toi...si c'est le cas eh bien désolée, si j'ai pût au contraire mettre le doigt sur quelque chose et que tu as envie d'en jaser...bien je suis là!

Annxavier