volà j'y vais!!! (peur)
Mais j'ai peur.
il vas falloir que je le dise à mes parents et je ne sais pas comment mis prendre. (pour les anti-dépresseur)
j'ai peur aidez moi. svp
pour moi une femme de 39ans les effets ont commencer 2 jour apres la prise du médicament ,comme la bouche sèche et se réveiller a toute hr de la nuit .j'ai dû prendre des pilules pour bien dormir ca marcher .la bouche sèche ca parti tout seule .je prennais dû 75 mg.
étant donner que la dose était pas assez forte on n,a donné dû 175 mg j ai beaucoup d effet secondaire comme plus de bilido,transpirer comme un porc toute les nuit mouiller les draps tout les matin , un manque de concentration , et une perte de mémoire a court terme je ne retenais pas ce que les autres gens me disait en conversation ou la lecture et apres 4ans je fesais des champignons partout sur mon corps .j ai prise cette sale médicament pandent 10 ans et j ai tout arreter. je suis redevenu normale .
apres 4ans arret ma depression est revenu et mon médecin ma
prescrit du Célexa et je vais en prendre pour la 1er fois on ait le 7 juin 2012 et on verra la suite que fait ce médicament pour moi j en ai aucune idée maintement j ai 50 ans alors bonne chance pour moi et les autres . signer C.D.
Merci Mailo et moi777,
c demain que j'y vais. pour répondre à Mailo.
Mailo à écrie: De quoi as-tu peur ? de prendre des médicaments , du regard des autres ? de tes parents ?
réponse: un peux de tout ce que tu a mentionner Mailo. le regard des autres et surtout celui de mes parents. eh sa coute cher des anti-dépresseur??????
Bonjour Karine3,
Personnellement, je pense que :
Déjà tu fais les pas importants pour t'aider. Je te félicite ! Tu as l'air d'avoir les bons réflexes.
Une chose que je sais, c'est que la dépression est une maladie et QUE TU N'EN ES PAS RESPONSABLE.
Tu n'es pas responsable d'être tombée en dépression et tu n'as pas la responsabilité d'en sortir seule. Au contraire, tu dois te faire aider. C'est naturel d'appeler à l'aide tout comme il est légitime de prendre des antidépresseurs.
La dépression n'est pas une maladie honteuse qui frappe les gens "qui le laissent aller, qui sont paresseux, bref qui le méritent presque".
Normalement, pour s'aider dans ce cas, on recommande les antidépresseurs (comme tu le fais), et une démarche thérapeutique (qui peut être avec certains psychiatres ou des psychologues) pour accompagner la médicamentation et se donner le plus de chance possible.
Selon ce que je connais, il y a deux écoles de pensée souvent plus ou moins exprimées : l'approche médicale classique des médicaments pour régler un débalancement chimique au cerveau et l'approche thérapeutique avec psychothérapie pour régler un problème moral lié à son propre cheminement personnel et psychologique. Mais il n'est pas nécessaire de choisir obligatoirement entre l'une ou l'autre approche. Il est tout à fait possible de faire les deux en même temps... En fait, c'est souvent ce qui est recommandé.
Bref, si tu souffres autant, il n'y a pas de honte à te faire aider comme tout ceux qui souffrent de cette maladie. Il n'y a pas de honte à prendre des médicaments. Je te conseille au minimum de lire les borchures qu'on trouve sur le sujet dans les hôpitaux et chez les médecins et surtout DE FAIRE LIRE À TES PARENTS les dépliants qui s'adressent à la famille ou aux amis des dépressifs. Ils sont bien faits et présentent clairement ce qu'est cette maladie. Avec cette information, tes parents vont pouvoir mieux comprendre ce que tu vis et surtout savoir quoi faire face à cette maladie. Pour quelqu'un qui ne connaît pas ça, c'est rassurant de pouvoir avoir des informations éclairées sur le sujet. Et puis ça permet de détruire quelques idées fausses (du type : "Pour sortir de la dépression il suffit de se donner un coup de pied au derrière et ceux qui ne le font pas sont des paresseux qui le méritent".
Je te souhaite bon courage et je souhaite que mon message puisse t'aider.
En attendant, je veux juste souligner qu'il s'agit de mon avis personnel et que je ne suis ni médecin, ni psychologue et que chaque cas est différent (même si on trouve plusieurs points communs). Je te souhaite de recevoir toute l'aide et l'appui dont tu as besoin et que tu mérites de recevoir à l'hôpital.