effet secondaire sevrage effexor 37.5

Après la lecture de tous les messages d'effet secondaire au sevrage d'effexor, je suis rassurée sur mon état. Depuis 1 an je prenais 225 mg/ jour d'effexor 37.5 pour le traitement d'une dépressions majeure. Ce médicament m'a vraiment aidé et je ne regrette pas de l'avoir pris. Par contre, il y a un mois et demi, mon médecin m'a recommandé de diminuer car mon état psychologique était parfait. J'étais heureuse, motivée, redevenue la femme que j'aivais toujours été et en plus j'avais eu la possibilité de faire le ménage de mes bibittes. J'ai donc diminuer à raison de 37.5 mg par semaine de 225mg/jour à 0 en six semaines comme le médecin me l'avait prescrit. Depuis le début du sevrage les symptomes ont commencé à apparaître lentement mais maintenant que je ne prends plus rien depuis 2 semaines c'est vraiment difficile. Aujourd'hui j'ai commencé à pleurer pour des riens, je suis fatiguée, impatiente. J'ai eu des nausées au début du sevrage. Je croyais que c'était une ancienne labirynthite qui revenait et je prenais des gravol !! Mon appétit est en dent de scie. Je suis angoissée et et j'ai l'impression de revenir à il y a un an. Je suis quand même rassurée qu'il faut persister et c'est ce que je vais faire. J'ai une merveilleuse famille qui me supporte et je vais y arriver. La lecture de ce site m'a vraiment aidée à mieux comprendre ce qui m'arrive. Merci! Si vous vivez la même chose que moi, n'hésitez pas à m'en faire part. C'est rassurant de savoir qu'on est pas seul dans la même galère.

>Après la lecture de tous les messages
>d'effet secondaire au sevrage d'effexor, je
>suis rassurée sur mon état. Depuis
>1 an je prenais 225 mg/
>jour d'effexor 37.5 pour le traitement
>d'une dépressions majeure. Ce médicament m'a
>vraiment aidé et je ne regrette
>pas de l'avoir pris. Par contre,
>il y a un mois et
>demi, mon médecin m'a recommandé de
>diminuer car mon état psychologique était
>parfait. J'étais heureuse, motivée, redevenue la
>femme que j'aivais toujours été et
>en plus j'avais eu la possibilité
>de faire le ménage de mes
>bibittes. J'ai donc diminuer à raison
>de 37.5 mg par semaine de
>225mg/jour à 0 en six semaines
>comme le médecin me l'avait prescrit.
>Depuis le début du sevrage les
>symptomes ont commencé à apparaître lentement
>mais maintenant que je ne prends
>plus rien depuis 2 semaines c'est
>vraiment difficile. Aujourd'hui j'ai commencé à
>pleurer pour des riens, je suis
>fatiguée, impatiente. J'ai eu des nausées
>au début du sevrage. Je croyais
>que c'était une ancienne labirynthite qui
>revenait et je prenais des gravol
>!! Mon appétit est en dent
>de scie. Je suis angoissée et
>et j'ai l'impression de revenir à
>il y a un an. Je
>suis quand même rassurée qu'il faut
>persister et c'est ce que je
>vais faire. J'ai une merveilleuse famille
>qui me supporte et je vais
>y arriver. La lecture de ce
>site m'a vraiment aidée à mieux
>comprendre ce qui m'arrive. Merci! Si
>vous vivez la même chose que
>moi, n'hésitez pas à m'en faire
>part. C'est rassurant de savoir qu'on
>est pas seul dans la même
>galère.

Merci pour tes conseils éclairés. Je crois que je vais reprendre un rendez-vous avec mon médecin. Je trouvais cela très rapide comme sevrage mais je me croyais tellement bien et mieux qu'avant que je croyais pouvoir passer au travers sans problème. Je ne vais pas trop mal 8 semaines plus tard mais je suis fragile au niveau de mon estime de moi et ce n'est pas dans mes habitudes. J'ai aussi un peu l'humeur fragile et cela faisait longtemps, depuis la prise de ces médicaments, que je n'avais pas eu ce symptome. Merci encore!

Bonjour,

Ca me semble extrêmement violent de vouloir arrêter un traitement à 225 mg d'effexor en six semaines.
A mon avis, il faut être plus prudent :
Baisser de 37.5 ou 75 mg... et attendre au moins 4 à 6 semaines pour voir si tout va toujours bien,
- si oui, on peut recommencer la suppression de 75 ou 37.5, dans les mêmes conditions,
- sinon, attendre peut-être encore un peu, et si l'humeur ne s'améliore pas , c'est qu'il est trop tôt pour diminuer, il faut alors réaugmenter, et éventuellement revenir à la dose initiale.

Le sevrage doit être extrêmement progressif, il faut savoir s'arrêter au moindre signe d'alerte, et ne pas hésiter à revenir en arrière.
Si le sevrage est lent, il ne doit pas y avoir d'effets secondaires.
Si l'humeur se détériore avec un sevrage lent, c'est que la dépression est toujours présente, et cela ne sert alors à rien d'être volontariste. Il faut continuer à se soigner et/ou envisager une thérapie.

Je ne suis ni médecin, ni thérapeuthe, c'est seulement ce que je pense en fonction d'une longue expérience.

Il faut rapidement revoir ton médecin et en parler avec lui.
Bon courage,
Mailo