Premier message
Coucou
Coucou
j'ai hyper peur.....
$czeci es un appel o secours!!!j'arrive meme plus a ecrire tellement j'ai peur qu'il arrive , k'il controle internet et me tabass........
aidez moi!
Au secours
Après cette terrible scène de violence, dont j'ai "un peu" parlé à ma soeur et une amie, on m'a conseillé de ne pas "le rappeler", de "laisser tomber", de l "larguer", "d'attendre son appel", "de sortir voir du monde", de "l'oublier" etc etc... moi, j'ai éprouvé le besoin de la rappeler. Et une amie m'a paratiquement fait la leçon en me disant : "tu le pousses au vice". Comme si j'étais un vice !
Si j'ai épouvé le besoin de l'appeler, c'était justement pour sortir de la violence et parler tranquillement. j'ai eu le "courage" de lui dire : "je t'aime très fort", mais je l'ai immédiatement regretté. Il m'a dit qu'il m'avait fait du mal pour "mon bien", qu'à présent, il avait rencontré quelqu'un, une femme "ménoposée" car elle, au moins, elle ne voudrait pas d'enfants. Il a 47 ans, moi 35, et plusieurs fois, quand on se fachait à propos de mes désirs de femmes, je lui ai dit : "t'as qu'à aller avec une femme ménoposée". Il me dit qu'à présent, c'est fait, que c'est "juste pour l'amusement" et qu'il me rappelera. Pour ma part, j'éprouve de la peur. J'ai peur effectivement qu'il me rappelle, qu'il s'en prenne à moi en me disant que je n'avais pas à le rappeler, que je le pousse au "vice", que tout est de ma faute etc... Ca me fait flipper; Je n'arrive pas à me libérer de son emprise; Je ne sais pas si je dois changer de numéro de télephone, car cette emprise est morale. J'ai perdu 7 kilos. J'ai vécu un cauchemar et j'ai encore la peur en moi. J'ai vraiment peeur que si j'arrive à me libérer de lui, il s'en prenne à moi. Il m'en veut. Il m'a dit que je n'étais qu'un "ventr". Il m'en veut de l'avoir giflé chez son ami. je lui ai fait perdre la face. Et ca, il ne supporte pas. Commennt faire pour m'en sortir en toute écurité ? S'il veut la face, qu'il l'ait, mais qu'il cesse de vouloir me détruire et me culpabiliser pour tout ce que je fais, comme le discours de ceux qui prétendent être mes amis mais qui, sans le savoir, sont de son "côté".
en sortir
voui, il n'y a pas bcp d'hommes pour intervenir ! Bcp sont calmes... et contre la violence, mais ce serait bien s'ils se mêlaient au débat, ceux-là ! Hep, Messieurs, apportez votre conseil précieux à des femmes désorientées.
Le pire, je suis d'accord, ce n'est pas cette violence physique, c'est la violence morale qui l'accompagne.
Pourquoi ? Pourquoi ?
Je vois que je croyais (dans le temps !) être la seule à subir des situations tellement incroyables que justement on n'arrive pas à y croire.
Et des FEMMES qui osent vous dire que c'est de votre faute si vous êtes battue et humiliée !!!Titouane, trouve-toi des vraies amies, qui ont du coeur, qui sont sensibles, qui t'aideront !
Bises
VIOLENCE CONJUGALE
l'enfer est ici..
chaque fois qu'il a des soucis dans sa famille c'est moi qu'il cogne contre les murs , gifle et MARTYRISE vraiment j'ai evie d'en finir. d'arreter la fac , de devenir sa CHOSE por voir si il a un coeur , cela le ferait il reflechir de me voir deperir???
QU4ATTENDS IL DE MOI?Un suicide???Je n'en peux plus les filles faut que je vive , que je sorte...ça fait des mois que je ne vois quasi pesonne a part lui...le monstre dont j'ai peur , celui qui me donne des cauchemars..
je manque de m'evanouir chaque fois que je l'entends enerve au telefone me dire "t'as interet a m'ouvrir , J'arrive!!" et la je subis..les coups...une fois il m'a deshabillé et m'a trainée nue et en larmes sur la nationale en hurlant: c'est une pute qui veux la baiser??......TOU CELA m'a MARquée ...JE N'EN DORS PLUS ? JE VIS DANS LA TERREUR QU'IL SOIT EN ETAT DE CRISE...QUAND IL EST DANS ses"bons jours" je respire...sinon je...subis
je vou embrasse
accusation violence conjugale
ses enfants
j'étais en voiture avec lui, je conduisais, quand tout à coup, il a dit : "on a oublié le pique nique". il m'a demandé de m'arrêter immédiatement, sur un ton très autoritaire, en me traitant de "pauvre fille". Je ne pouvais pas m'arrêter car la route était escarpée, limite dangeureuse. Quand je me suis arrêtée, il a cherché et trouvé le pique nique, mais ce qui m'écoeure profondemment, c'est qu'il m'accuse avant même d'avoir vérifié et qu'il me traite de "pauvre fille". Bien entendu, je faisais la tête, j'étais prête à le quitter sur le champs. Ca l'a fait rire et il donné des références au film Bagdad café où la femme s'en va seule sur la route.
2. il m'a dit : "Tu m'as entrainé à m"aloigner de mes enfants"; il m'a accusé en partie de 'avoir éloigné de ses enfants; Que je ne l'ai pas fait volontairement, mais que c'était qaund même de ma "faute" même si on pouvait pasa parler de "faute", et qu'à pprésent, il se reprenait car il m'avait "trop" aimé et voila le résultat. Moi, je voudrais savoir si cette aaccusation est fondée et comment on peut me dire cela. Une après midi ou deux, qaund j'étais là, au lieu d'être avec ses enfants, il a été avec moi. Ses enfants ont 13 et 14 ans, c'était l'après midi. moi je voudrais savoir si il a le droit de me dire cela. J'ai ressenti cela comme un reproche terrible et atroce, tr§ès culpabilisant. Je vous en supplie, aidez moi. Je vous précise que par ailleurs, il n'a jamais voulu d'enfants avec moi car il a laissé entendre que je ne pensais qu'à "ca"
Je n'en peux plus
violance conjugale
Besoin d'aide à tout prix
Voila, je me pose des questions sur moi. Quand mon ami dit que c'est MOI qui le provoque, a t -il raison? est ce moi qui a engendré sa violence ? Je comprends bien qu'il est anormal de gifler un homme; ca fait deux fois que je le fais. Pourquoi est ce que j'ai fait cela? Pourquoi est ce que je réagis comme cela? Le texte ci dessous est la thèse de mon ami, et ce qu'il laisse entendre sur moi. Moi, j'ai pété les plombs depuis longtemps avec lui car dans notre couple, il ne parle jamais d'avenir, de s'installer ensemble et c'est toujours moi qui appelle, vient le voir, essaye de pardonner. Par moment, je pétais les plombs car il critiquait ma famille, me disait que ca serait bien si j'étais stérile. Je ne sais pas si c'est moi qui a commencé. Franchement, je n'ai pas compris; est ce que je peux etre violente? Ce qui m'inquiéte, c'est que ce n'est pas la première fois que je vis cela. J'ai souvent vécu des relations pénibles, toxiques, avec une fiorme de violence. celui que j'ai quitté il y a dix ans a toujours soutenu que j'étais une femme violente. Maintenant, je voudrais savoir si c'est vrai, si j'ai vraiment un problème. CAR C'est cette cullpabilité qui me fait revenir, je crois toujours que c'est de MA FAUTE. J'ai besoin d'aide à tout prix. Aujourd'hui, j'ai maigris, je suis triste, j'ai du mal à respirer. Je n'en peux plus : suis je violente?
Résumé
L'homme battu, un tabou au cœur du tabou
Auteure : Sophie Torrent, travailleuse sociale (Suisse)
...une des formes de violence psychologique des plus insidieuses consiste à manipuler l'homme en l'incitant à la violence physique. Si l'homme passe à l'acte, la loi se retourne contre lui. La femme violente possède là un atout décisif: la société la croit fondamentalement victime, qu'elle le soit réellement ou non. Et elle peut, sans trop d'ingéniosité, faire croire à son entourage que c'est son conjoint qui est violent.
Suite à ces agressions visant à éveiller sa violence, l'homme a avant tout peur de sa propre violence. Si l'homme frappe, la femme acquiert son statut de femme battue tout en pouvant continuer à violenter psychologiquement son conjoint qui, quant à lui, n'a pas d'armes juridiques immédiates pour être
protégé de cette violence psychologique. La présence de ce potentiel de violence met l'homme dans une position de tension quotidienne. Il sait qu'un seul manque de maîtrise peut avoir des conséquence très lourdes. S'il est stigmatisé comme homme violent, il n'a notamment plus aucune chance d'obtenir la garde de ses enfants. Ce mécanisme est des plus violents car il fait de l'homme battu son propre ennemi. Il se met à craindre ses propres comportements et ses moyens de défense s'inhibent des phrases comme : « Je suis le plus fort, je dois me maîtriser ».
L'homme dans son rôle de père
Aborder la dimension du père chez l'homme violenté est primordial, car bien souvent l'homme reste dans cet univers conjugal parce qu'il est père. L'enjeu de la relation de violence est complexifié par la présence des
enfants.
...
La femme violente peut utiliser ce pouvoir sur deux pôles: celui des enfants et celui de l'homme-père.
D'une part, elle peut violenter l'enfant dans l'intention de blesser le père.
D'autre part, elle peut détruire la relation père-enfant. Elle fait en sorte de réduire les temps de partage familial. Certaines femmes interdisent à leur conjoint de manger avec le reste de la famille.
Auprès des enfants, la femme-mère violente pourra briser l'image du père, monter les enfants contre le père.
Face à son conjoint, père des enfants, elle pourra critiquer ses compétences parentales, en le traitant comme « un gadget, un géniteur au rôle limité » (Frisher). Ce comportement à l'égard du père renforce ce présupposé « naturel » bien connu mis en exergue par De Fontenay : « La présence et l'amour d'un père ne peut en aucun cas remplacer ce qu'apporte la mère ; celle-ci est indispensable aux premier âges de la vie, alors que le père est un "en plus" dont on peur à la rigueur se passer ». Tout comme dans la sphère publique, la femme violente coupe les liens affectifs de l'homme.
En outre, sur le plan du partenariat et de la paternité comme sur le plan sexuel, la plupart des conjointes des hommes interviewés ne regardent plus ces derniers lorsqu'elles deviennent mères.
La violence de la femme contamine les sphères publiques et privées de l'homme battu. Au plan public, l'homme est agressé dans son rôle professionnel et sa vie sociale est limitée. Au plan privé, l'homme n'est
plus amant ni mari, mais un homme à tout faire piégé par son propre potentiel de violence, ayant perdu la majeure partie de son autorité et gardant une place de père mitigée.
Titre : L'homme battu, un tabou au coeur du tabou
Auteur: Sophie Torrent, travailleuse sociale
Sujet : Le vécu de l'homme battu par sa conjointe
Divers : 1re édition 2002, 5,000 copies.
AIDEZ MOI
violence conjugale
qu'en penses-tu ?
Dans un premier temps on se tait par honte, on se tait parce qu'on croit que c'est un accident, on a envie de croire à autre chose.
Dans mon mariage j'ai connu la violence physique, morale et verbale de mon conjoint.
Je n'ai jamais rien dit à personne sauf :
une fois à une amie (son invitation avait été fixée avant la scène de violence, dont j'y suis allée ; je sais que sinon, j'aurais refusé et n'aurais rien dit, car je me serais sentie coupable, jugée etc). Cette amie m'a fait parler (j'avais un genoux en sang et un bleu sur le visage), mais, avec du recul, je trouve qu'elle n'a pas été très sympa, sans tout à fait se moquer de moi, elle était assez ironique, finalement ;
une autre fois, j'avais des amis à dîner le soir où ça s'était produit, j'étais épuisée, défaite, j'ai vu la femme de ce couple à part et je lui ai un peu dit les choses, bon, elle était plutôt gentille, mais par la suite elle a fait comme si de rien n'était.
Après mon divorce, la petite amie de mon ex-mari m'a téléphoné pour me demander de me rencontrer car "elle se posait bcp de questions", elle le trouvait étrange et avait des reproches à son égard.
Elle a essayé de me faire parler, pour moi la situation était vraiment délicate, j'en ai dit le moins possible, mais lui ai quand même dit que ça arrivait qu'il soit violent, qu'il avait pu changer, etc..
Cette personne ne m'a jamais crue, elle aussi a été ironique, genre : elle ment pour se justifier.
Eh bien, voilà je crois, ce qui a été le plus difficile pour moi, c'est que je n'ai jamais vraiment pu parler en toute confiance, car bcp de personnes refusent de croire cela, quand ils ne l'excusent pas.
Bon courage
Les filles
violence conjugale
Je comprends et je suis comme toi
Est-tu celle que je pense
Es tu la fille que je pense dis-moi????
Il va te falloir du courage ma belle. Ne laisse personne mettre ta vie en danger. Va voir les policiers et porte plainte. On peu s'en sortir tu sais. J'en suis une preuve. Moi aussi ma vie a été en danger, les coups affluaient de partout, j'avais peur et je n'avait aucun moyen. Regarde aujourd'hui je m'en suis sortie. Aller garde courage et pense à toi.. Donne moi des nouvelles.