Message modifié le 03-juil-03 à 00h54 (EST)
Bonjour,
je suis content d'avoir trouvé un endroit où m'exprimer sans crainte...
Je suis un adolescent qui se dit assez heureux de la vie en général et qui prend tout avec philosophie, cela dit je réussit assez bien...
Mon problème se situe à l'extrême opposée de ceux de mes semblables, je ne veux pas mourrir... J'ai atrocement peur de ce qui pourrait m'attendre de l'autre côté. Ceci est en fait une rechute, l'an passé j'ai vu une psychologue et j'ai eu quelques rencontres avec elle, je semblait complètement guérit. Sauf que lors de ma dernière visite, elle me dit quelque chose qui me troubla, je ne me souvient plus quoi, mais même si j'allais mieux, une profonde cicatrice fut creusée en moi, aujourd'hui, elle s'est réouverte tranquillement.
Les raisons de ma peur sont simples, je n'ai aucune croyance et j'ai un grand attachement pour la vie. Ce qui fait que de m'éteindre "chimiquement" pour me retrouver dans le néant me fait paniquer : légère hyperventilation, besoin d'arrêt complet d'activité, état d'insécurité pour quelques heures et profonde déprime pour quelques semaines.
Biensur les symptomes habituels (tremblements, avoir très forid ou très chaud, perte de conscience légère) et un peu d'anxiété chronique.
Ce qui est étrange c'est qu'à chaque fois que cela commence, tout va bien, je dirais même peut-être mieux qu'à l'habitude, mais c'est ainsi...
En visitant les messages des autres, j'ai trouvé quelques cas semblables au mien, tous de sexe féminin... Aucun homme n'a de probleme de ce genre, est-ce que tous les hommes vivent si facilement sans se poser de questions, si c'est ca (l'anxiete, l'angoisse, la panique)mon petit coté féminin, eh bien non merci :)...
Avant que cela ne commence j'étais fort d'esprit, je réglait mes problèmes moi-même, par mon deuxième coté rationnel (vous savez on arrive plus facilement a aider les autres que soit meme)
c'était comme un second moi, une deuxième pensée, celle qui rassurait avec les preuves, mais pour la mort, le néant, il n'y avait plus rien a dire, c'est l'inconnu, quelquechose en moi est mort ce jour là, je suis quelqu'un d'autre... Mais détendez-vous, pas de drogues, d'alcool et de sucide pour moi (p-e le café mais c'est un au 2 semaines)
Je ne sais pas si ce problème convient à ce thème, soit dit en passant j'écris ceci à tête reposée, car je me trouve en zone d'accalmie...
Ceux qui souhaitent m'envoyer des messages devrons les envoyer à ⋯@⋯.com, l'adresse inscrite à l'inscription ayant due être modifiée.