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#0 Posté le par DCF__5486

...voilà comment je me sens.

combien de fois une personne peut-elle être mise en pièces?

je viens de me faire larguer deux fois d'affilée pour la même raison... trop insécure.

pourtant elles étaient toutes les deux amoureuses, dumoins au départ... mais voilà au bout de quelques mois leur amour meurt... pas d'avertissement, pas de remords, elles m'oublient...

j'ai envie de mourir, je reprends de l'héroïne... j'avais abandonné mes études pour la dernière et maintenant je n'ai plus rien...

je veux juste qqun qui m'accepte avec mes défauts

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Pour t'encourager!

#10 Posté le par DCF__4028

Voici pour toi quelques citations,de bon conseils!
Pour t'aider à repenser en fonction de la réussite, aussitôt que tu auras repris tes forces oublier par la peine de ce chagrin d'amour...

"Entreprendre est facile, c’est durer qui compte. Il est difficile de poursuivre quand la flamme retombe. Alors, remplace la flamme de ton enthousiasme par le feu de ta volonté. Et tu acquerras un certain équilibre." (Auteur inconnu)

"Dieu fait servir les vents contraires pour nous conduire jusqu'au port" (Charles de Foucault)

"Il vaut mieux attraper un torticolis en visant trop haut, que de devenir voûté en regardant trop bas..." (Jacques Chancel)

"J'aime, donc je suis. Voilà mon commencement et ma fin - tant pis pour Descartes ! - Dès que je cesse d'aimer, je cesse d'être : je parais seulement ; je deviens double ; j'en souffre, j'en suis humilié." (Gilbert Cesbron)

"L’histoire des saints, et plus généralement de tous les personnages remarquables par leur intelligence ou leur bonté, est pleine de ces cas où nous voyons l’homme sortir agrandi, trempé, renouvelé, d’une épreuve, ou même d’une chute, qui paraissaient devoir le diminuer ou l’abattre pour toujours. L’insuccès, alors, joue pour nous le rôle du gouvernail de profondeur pour l’avion, ou encore, si l’on préfère, du sécateur pour la plante. Il canalise notre sève intérieure, il dégage les composantes les plus pures de notre être, de manière à nous faire jaillir plus haut et plus droit. La déchéance, même morale, se change ainsi en une réussite." Pierre Teilhard de Chardin

Ah le sens de l'humour ça c'est bien!

#9 Posté le par DCF__4028

Joe,
Dans mon livre sur les mensonges !
Quand une personne dit Hum! euh! c'est qu'elle ment!

Bien tu es aimable et galant!Et encore !
Je suis sûre que tu peux en trouver d'autres!

Il me semble que tu étais romantique aussi !

Avec la jeune fille qui porte un nom assez rare Gaëlle ou quelques choses comme ça!

tu lui avais écris un très joli poème je crois?

bonnes qualités... hum

#8 Posté le par DCF__5486
euh, je sais être aimable et galant. parfois il m'arrive d'être très cynique et donc, drôle.
a part ca j'vois pas...

pas trop drôle tout ça!

#7 Posté le par DCF__4028

Joe,
Comme ça tu n'as pas encore gagné de l'argent et tu n'as pas encore trouvé ta profession pour obtenir du respect ...
l'amour suivra... Oui ça c'est sûr!

Quoique tu as déjà réussis à dénicher au moins deux nanas sans tout ça! C'est pas mal après tout!

Je pense en lisant tes commentaires que c'est plutôt ton pessimisme qui les décourages...

Si tu étais plus optimiste!

Bon déjà tu dis que tu étais très confiant avec elle...
Et que tu n'es jamais jaloux si il n'y a pas de preuve d' une tromperie...

Peux-tu me donner des qualités sur toi-même?

Tu sais que pour l'amour au lit tu peux toujours t'améliorer , il suffit de savoir donner ,d'être moins égoïste , d'être a l'écoute de ta partenaire ,Tu sais qu'elle est autant responsable que toi à cet échèc.elle aurait pu te le dire avant et te démontrer comment il faut faire à son avis pour être plus satisfaite et mieux faire l'amour ,le sexe....

Puisque tu dis être paresseux ,bien commence à relever tes manches et change tous ces défauts en qualités ...

Le pire est être menteur: qu'est-ce qui t'empêche de dire la vérité?

Allez on recommence! décris-moi! ta personne sur ces bons côtés cette fois!

ce que je sais sur moi-même

#6 Posté le par DCF__5486

pour être plus sûr de moi? gagner de l'argent et être respecté pour ce que je fais. l'amour suivra... c'est triste mais c'est comme ça...

et oui je suis sûr de ne jamais m'être mis en colère après elle par jalousie. je ne m'en laisserai pas le droit... ou dumoins pas sans la preuve de une éventuelle tromperie...

j'ai même été confiant à plusieurs reprises alors qu'un autre aurait pu gueuler.

ce que je sais sur moi-même?

loser, lâche, peureux, paresseux, menteur, phobique social, polytoxicomane compulsif, autodestructeur, introverti, égocentrique, velléitaire, cancre, dispersé, silencieux, franchement asocial, immature, vicieux, pervers, hypocrite et pour couronner le tout, d'après mon ex je ne vaux rien au lit!


c'est de la jalousie

#5 Posté le par DCF__4028

Joe ,

Donc ! tu connais au moins ton adversaire "la jalousie"

C'est d'elle que tu dois te méfier et même apprendre a guérir ce trait de personnalité...

Tous les hommes que j'ai connus étaient jaloux!

Mais il y a jalou et maladif!
Sauf que lorsque l'on constate que notre homme est jalou ,on fait plutôt attention pour ne pas le provoquer...

Comme lui expliquer ,que nos amis ne nous attirent pas du tout ,qu'il n'y a aucun danger qu'on les apprécient pour leurs complicité ,ce sont nos meilleurs amis pont a la ligne.

Si elle était si fabuleuse...Donc c'est toi qui a exagéré!

Tu es sur que tu ne faisais que lui expliquer sans colère juste pour ne pas lui cacher ce que tu ressentais, si ça changer du début et ça ne lui plaisait plus finalement...

(l'autre raison c'est que je suis très peu sûr de moi, toujours en retrait et timide)
Ça je connais ! J'ai eu des amis comme ça!
Ils laissaient toujours passer leurs chances!

Alors tu as tout ça a guèrir pour la prochaine!
Et c'est pas avec la drogue que tu y réussiras!

Lève tes manches mon gars et essai ,de te voir tel que tu es ! tu ne peux pas être plus mal qu'un autre!

Admire tes qualités ,que pourrais-tu faire pour les mettre en valeurs?

Il n'y a pas grand chose d'autre a faire que de foncer , même si tu est timide, ça c'est l'orgueil qui te bloque...

Dis-moi se que tu peux faire pour être plus sûr de toi?

Si tu avais ton diplôme tu serais plus sûr?

dis-moi donc se que tu sais sur toi-même!


les raisons

#4 Posté le par DCF__5486

bonjour,
d'abords parce que je lui faisait part de ce qui se passait dans ma tête, c-à-d que j'étais tooujours jaloux, même de sa complicité avec mes meilleurs amis. elle était si fabuleuse...

je lui expliquais sans colère juste pour ne pas lui cacher ce que je ressentais, au début ça lui plaisait même...

l'autre raison c'est que je suis très peu sûr de moi, toujours en retrait et timide

4 mois!

#3 Posté le par DCF__4028

Joe!

Parles-moi de se qui c'est passé entre vous pendant ces 4 mois, pour qu'elle s'enfuit ainsi!

Tu la connu a l'âge de 14 ans.
Tu as été son grand amour, c'est déjà quelques choses ça!

Joe , pourquoi ça serait de ta faute au juste?

Tu l'as perdu , peut-être esse sa façon a elle de vivre les idyles , au jour le jour, sans que ça dure trop longtemps...

Tu serais bon pour la corde, comme ça !
Juste parce qu'une fille te quitte!

Je comprends que tu sois triste , tellement triste!

J'admets qu'il est possible que tu sois le genre de personne qui ne peut vivre seul,qui a absolument besoin d'aimer et de rêver au grand amour qui dure toujours...

Tu aime la magie de l'amour ,mais crois-moi ,l'amour n'est pas mort ,elle c'est endormit , tu devras ,l'éveiller encore une autre fois , et la magie recommencera comme par enchantement ,un beau jour de printemps...

Allez mon ami ! Je sais que tu es malheureux ,que ta peine est grande , donc pleure un peu ,pleur mon ami, surtout laisse la corde après les amares des bateaux pour te rendre à ton île et admirer les coucher de soleil...

vide

#2 Posté le par DCF__5486

salut pom,

je la connaissais depuis l'âge de 14 ans. j'ai été son grand amour de jeunesse et là il a suffit de 4 mois pour la perdre.... je suis bon pour la corde

ce qui restait de magie dans ce monde est mort

dommage de t'enliser ainsi!

#1 Posté le par DCF__4028

Joe 'comment es-tu avec la personne que tu aime?
Serais-tu trop posséssif?
Trop étouffant d'amour, trop fusionel?

Joe tu dis être a nouveau en pieces pour une seconde fois!

Tu t'ai fais laguer encore une fois!

Toi ! Tu es trop insécure?

Elles partent sans avertissement...

Tu es tellement triste que tu as envie de t'enlever la vie , Rien ne va plus!

Écoute Joe! Tu pensais jamais aimer une seconde fois,pourtant ! tu as aimer une autre fille , vrai!

Alors! tu en aimeras une troisième, et combien d'autres????

Joe , ne te décourage pas ! retourne aux études,lâche la drogue, devient indépendant des femmes, accompagne les mais ne fusionne plus!

Tu tomberas bien un jour sur celle qui t'aimeras et t'accepteras tel que tu es!

Joe ,crois-moi ! Dans ton île tu n'as pas vue tout les recoins et une belle fille se cache attendant d'être découverte...


VIVRE ENSEMBLE

Vivre ensemble. Quel idéal ! Mais quel paradoxe !
Dans la réalité de tous les jours la question que la plupart
d’entre nous se posent périodiquement, c’est plutôt :
« Comment survivre ensemble ? »

Car l’entente, la compréhension, la tolérance,
ne sont pas données au départ.
C’est une conquête de chaque instant,
un pari à gagner sur les forces
qui tendent à désintégrer les couples et les familles.

L’étonnant, ce n’est pas que tant de couples songent au divorce.
Ce qui est remarquable,
c’est qu’un grand nombre réussissent la performance
de poursuivre la route ensemble.

Virginia Satir
Célèbre thérapeute de couples


Le conjoint d’une personne souffrant de troubles psychiques ou d’une dépendance peut devenir codépendant, c’est-à-dire sacrifier sa vie, ses propres besoins, pour tenter de sortir cette personne de ses problèmes (sans y arriver d’ailleurs).

La codépendance est une conduite pathologique consistant à se laisser affecter par le comportement d’autrui au point d’être obsédé par le désir de le transformer et de contrôler son comportement. La seule façon de cesser d’être codépendant, c’est de commencer à devenir indépendant.

Quelqu'un peut être codépendant non seulement au sein du couple, mais en tout temps et partout, avec tout le monde. Il peut être obsédé par un besoin maladif de prendre en charge un adolescent délinquant ou toxicomane, une tante névrosée, une collègue divorcée, une voisine boulimique, une cousine anorexique, un patron déprimé, etc.

La codépendance est une tendance très répandue chez les chrétiens qui se sentent obligés d’être bonne mère, bon père, bonne épouse, bon mari, bon voisin, bonne maîtresse de maison, et bien sûr bon chrétien.

Pourquoi une personne codépendante crée-t-elle un climat conflictuel dans un couple ? Parce qu’elle fonctionne dans le triangle Sauveteur-Persécuteur-Victime et que ce triangle est destructeur.

Le codépendant est obsédé par la première partie du commandement de Jésus « Tu aimeras ton prochain comme toi-même » au point d’en oublier de s’aimer lui-même. Il va donc lui être difficile de connaître l’harmonie conjugale s’il ne s’aime pas lui-même, s’il ne sait pas profiter des plaisirs de la vie et s’il se rend malade à se faire du souci pour les autres.

Melody Beattie, ex-alcoolique devenue psychothérapeute, donne les conseils suivants (Comment vaincre la codépendance ?, Pocket) :

· Prenez de la distance par rapport aux personnes qui vous causent un souci excessif
· Cessez de ré-agir à ce que font ces personnes, et agissez pour vous-même
· Ne cherchez plus à les contrôler, car ce faisant c’est vous qui êtes contrôlé par leurs problèmes.
· Prenez conscience que vous fonctionnez dans le triangle Sauveteur-Victime-Persécuteur et décidez d’en sortir.
· Ne cherchez pas la source du bien-être chez les autres, car elle se trouve en Dieu et en vous.
· Occupez-vous de vous-même, et laissez les autres se prendre en charge eux-mêmes. Ils sont responsables de leur vie.
· Soyez votre meilleur ami, dorlotez-vous, aimez-vous.
· Eprouvez vos propres sentiments (en particulier osez vous mettre en colère), pas ceux des autres.
· Acceptez la réalité actuelle telle qu’elle est.

Vous êtes tout à fait capable de réfléchir, de décider seul, de vous fixer des objectifs qui vous permettront de devenir un peu plus vous-même.

Le dépendant:

Dépendre un peu d’autrui est normal. « deux valent mieux qu’un… car s’ils tombent, l’un relève son compagnon ; mais malheur à celui qui est seul et qui tombe sans avoir un second pour le relever ! » Chacun de nous doit trouver l’équilibre entre la dépendance et l’autonomie.

Mais le dépendant, lui, a un besoin maladif d’être sans cesse soutenu et rassuré par les autres, et surtout par vous : il laisse les autres prendre les décisions pour lui ou n’en prend pas sans avoir leur accord, suit le mouvement plutôt que de proposer une activité, n’aime pas être seul ou faire les choses seul.

Sa grande peur est de perdre le lien avec autrui. Donc, par crainte de déplaire, il dit toujours oui, ressent de l’angoisse si on le désapprouve et si on le critique, accepte les corvées pour plaire à son entourage, est très perturbé par toute séparation. Il épouse en général un partenaire dominateur et possessif. Les femmes battues restent malgré tout avec leur mari violent ou alcoolique parce qu’elles sont incapables de vivre seules.

Une personne tributaire de vous a des exigences importantes ; elle peut faire pression, de manière très culpabilisante, sur vous et vous dire par exemple : « Si tu me laisses seul tout ce week-end, je vais aller très mal et ce sera de ta faute. »

Si votre conjoint ne sait pas gérer sa vie tout seul, renforcez ses initiatives plutôt que ses réussites et aidez-le à banaliser ses échecs. Quand il vous demande conseil (c'est-à-dire plusieurs fois par jour !), avant de lui répondre, demandez-lui d’abord ce qu’il en pense, lui. Partagez vos faiblesses et vos doutes, demandez-lui conseil pour vos propres décisions, il comprendra ainsi que l’on peut à la fois être autonome et avoir besoin des conseils des autres.

Incitez-le à multiplier ses activités, ses relations, il dépendra moins de vous seul. Aidez-le à comprendre que si vous faites une activité ou une sortie sans lui, ce n’est pas un rejet de sa personne, et qu’un couple est formé de deux êtres autonomes, pas de siamois inséparables.

Ne prenez surtout pas les décisions à sa place, même s’il vous le demande instamment, cela le rendrait de plus en plus tributaire de vous et augmenterait son sentiment d’incapacité. Lorsque enfin il ose prendre une initiative, ne le critiquez pas si celle-ci est un échec, mais encouragez-le pour avoir osé agir par lui-même. Ne l’abandonnez pas d’un seul coup complètement à son sort sous prétexte de lui apprendre à se débrouiller seul, il risque de céder à l’angoisse puis à la panique. S’il doit devenir un peu plus indépendant, sachez que cela ne se fera que très progressivement, aussi armez-vous d’une patience infinie…
LES ATTITUDES QUI DETRUISENT L’HARMONIE CONJUGALE

Lacan disait que les humains sont des êtres doués de parole, des « parlêtres ».
Une bonne communication ne saurait, à elle seule, éviter l’apparition de grosses tempêtes dans un couple, mais elle peut empêcher que des nuages éclatent en orages dévastateurs. Elle permet aussi aux frustrations profondes de se dire et d’être entendues.
Elle n’est pas un but en soi, mais elle a pour objectif la communion. Elle est davantage du domaine du savoir-être que du savoir-faire, même si bien sûr elle se traduit par des attitudes concrètes.
Malheureusement dans de nombreux ménages la communication est déficiente.
Il existe des comportements qui, s’ils se répètent quotidiennement, empoisonnent la vie commune. Thomas Gordon (La méthode Gordon expérimentée et vécue, Belfond) en a repéré une douzaine, nous en rajoutons quelques autres.

A. CULPABILISER

Le but est de rendre l’autre responsable de notre malaise, de notre souffrance ou d’une situation. On joue la « coulpe dans le couple ». Le partenaire va alors avoir tendance à se sentir fautif :
« Tu as voulu que j’arrête de travailler pour élever notre fille, et maintenant tu me reproches d’être à ta charge… »
« Si tu ne m’avais pas incité à gagner davantage d’argent, je n’aurais pas fait d’infarctus. »

B. ORDONNER, DIRIGER, COMMANDER

« Cesse de ressasser cette histoire ! »
« Tu devrais téléphoner à ta mère un peu plus souvent. »
Ces phrases dictent à l’autre la conduite qu’il doit adopter. Il aura envie de se rebeller, de se défendre. Il pensera que vous n’avez aucune confiance en ses capacités.

C. NIER L’AUTRE DANS CE QU’IL DIT RESSENTIR

« J'ai une migraine affreuse ! »
– C'est étrange, car tu as l'air en pleine forme ! »
Parfois une requête de l'un est remplacée par une requête identique de l’autre :
« Franck, la tête me tourne, comme si j'allais m'évanouir d'un moment à l'autre...
– C'est tout à fait comme moi, Sylvie... Je me demande si un petit remontant ne me ferait pas du bien ! »

D. MENACER, AVERTIR, EFFRAYER

« Tu ferais mieux de me faire tout de suite des excuses, sinon tu le regretteras plus tard. »
Ces menaces, explicites ou implicites, directes ou indirectes, contribuent à maintenir le conjoint dans la dépendance et limitent sa liberté de choix. Elles l’incitent à ne pas se plier à vos injonctions, simplement pour vérifier si les conséquences négatives que vous avez annoncées se réalisent.

E. DEVALORISER, RIDICULISER, FAIRE HONTE

« Toi et ta manie du rangement, pas étonnant que ton fils se rebelle ! »
« Tu es tellement à cheval sur l’exactitude ! J’ai l’impression d’être marié à l’horloge parlante. »
« Tu n’es qu’un enfant gâté, tu devrais avoir honte ! »
De telles paroles blessent profondément l’amour-propre du partenaire, qui se sent alors humilié. Il réagira par la riposte : « Tu n’es pas la perfection non plus ! » ou cherchera des excuses : « Je ne suis pas si maniaque. Il faut bien que la maison soit en ordre. »

F. UTILISER LE CHANTAGE

On cherche à influencer l’autre et ses choix par une menace fantasmée ou imaginaire :
« Je te suivrai à l’étranger où tu viens d’avoir ce nouveau poste, mais je suis sûre que j’aurai tellement le mal du pays que je ferai une dépression. »

G. MORALISER, SERMONNER, FAIRE LA LEÇON

« Ce n’est vraiment pas bien d’être fâché avec ton collègue. Crois-tu que ce soit une attitude bien catho ? »
Ces leçons de morale indiquent à l’autre votre manque de confiance en sa capacité de juger et d’agir et suggèrent qu’il ferait mieux de se fier à votre opinion.

H. EXPLIQUER, PERSUADER PAR LA LOGIQUE, ARGUMENTER

« Je vais t’expliquer en quoi consiste ton erreur. »
« Je suis certaine d’avoir raison, d’ailleurs je l’ai lu dans un livre de Françoise Dolto. »
Jouer au « professeur » risque d’inciter « l’élève » à se mettre sur la défensive, à s’irriter : « Tu crois que je ne le sais pas ? »

I. ETIQUETER, ENFERMER DANS UNE IMAGE

« Ça ne sert à rien de te parler, je sais par avance que tu ne me comprendras pas. »

J. JUGER, CRITIQUER, BLAMER

« Tu es la personne la plus susceptible que j’aie jamais vue.»
« Tu ne réfléchis jamais aux conséquences de tes actes. »
Ces paroles amènent l’autre à se sentir inférieur ; il va soit se refermer comme une huître : « Je ne lui dirai plus rien », soit riposter : « Et toi, tu t’es vue ? »

K. DEVINER LES PENSEES DE L’AUTRE

« Je suis sûre que tu aimes une autre femme, c’est pour cela que tu rentres toujours en retard du travail. »
« Tu vas encore te mettre en colère quand tu apprendras que j’ai rayé la carrosserie de la voiture. »

L. INTERPRETER, ANALYSER, DIAGNOSTIQUER

« Ton problème, je le vois bien, c’est que tu manques de confiance en toi. »
Cette interprétation des motifs, des paroles ou des actes de votre partenaire, l’informe que vous avez établi votre diagnostic et que vous l’avez percé à jour. Vous vous placez au-dessus de lui. Il va se bloquer, et ne partagera plus rien avec vous.

M. ENQUETER, QUESTIONNER

« Pourquoi t’es-tu mis en colère lorsque le policier t’a verbalisé ? »
« D’où vient que tu aies peur de prendre l’avion ? »
Ces questions risquent de blesser l’autre dans son intimité, d’être ressenties comme une menace et elles limitent sa liberté en lui dictant ce qu’il doit dire.

N. ESQUIVER, DISTRAIRE, TRAITER A LA LEGERE

« Allons nous mettre à table et oublions tous tes soucis… »
« Parlons de choses plus plaisantes ! »
Ces paroles dénotent un manque d’intérêt, une indifférence aux soucis du conjoint, qui va se sentir rejeté et frustré. S’il a éprouvé le besoin de vous parler, c’est pour être pris au sérieux et écouté.
O. RASSURER, MINIMISER, CONSOLER

« Demain tu prendras les choses plus sereinement. »
« Tu t’en remettras, le temps arrange tout. »
« Ce n’est pas si grave, allons ! »
Il est tentant de remonter le moral de l’autre en lui conseillant d’oublier ses angoisses, parce que la force des émotions qu’il exprime nous met mal à l’aise et que nous craignons d’en entendre davantage.