Parler avant d'être sûr de se qu'on avance!

Nous sommes des êtres humains, parfois on doute de nos amis ou même de notre conjoint, on fini par ruminer tout ça et on se confie à nos proches ou nos amis et on est même pas sûr dese qu'on avance...Ça fais des conflits , nos meilleurs amis se mettent même a détester la personne de qui on vient de parler...

alors ! J'ai un truc qui vient de Socrate!

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le test des 3 passoires
de Socrate, philosophe 4 siècles av. J.C.
Socrate avait dans la Grèce antique une grande réputation de sagesse

Un jour quelqu’ un vient le trouver et lui dit « sais tu ce que je viens d’ apprendre sur ton ami ? »

Un instant lui répond Socrate, avant que tu me racontes, j’ aimerais te faire passer un test, le test des 3 passoires.

Les 3 passoires ???

Mais oui reprend Socrate, avant de raconter toutes sortes de choses sur les autres, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que l’ on veut dire, c’ est ce que j’ appelle le test des 3 passoires.

La première passoire est celle de la vérité.
As-tu vérifié si ce que tu vas me dire est vrai ?

Non ! j’ ai seulement entendu dire que

Très bien, tu ne sais donc pas si c’ est la vérité !,

Essayons la deuxième passoire, c’ est
la passoire de la bonté.

est ce que ce que tu vas m’ apprendre sur mon ami est quelque chose de bien ? Ah non ! que du contraire.

Donc répondit Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur mon ami et tu n’ es même pas certain que ce soit la vérité !

Soit, mais tu peux encore passer le test, il reste une troisième passoire, c’ est
la passoire de l’ utilité

est ce que c’ est utile que tu m’ apprennes ce que mon ami aurait fait ?

Non, pas vraiment.

Alors conclut Socrate, si ce que tu veux me dire sur mon ami n’ est ni vrai, ni bien, ni utile,

Pourquoi veux tu me le raconter ???

Beau sourir!

Ça me fais sourir de joie quand les gens s'en sort comme tu t'en sors!

Oui ,tu as raison il faut s'investir réellement dans une relation amicale stable et concrète; pour aider, il faut entretenir plusieurs échanges de messages sur internet jusqu'à temps que la personne soit apte à voler de ses propre ailes...Ou aider autour de soi les gens qui son nos voisins et amis...

Ceux qui t'entourent qui sont en souffrances te semble pire que toi!

Au fond ,tu vois que tu peux t'en sortir !Tu as enfin trouver une amie,tu ne rêve pas en couleur mais qui sait ! Elle deviendra s'en doute ta belle!

Limportant c'est que tu n'es plus seul!

Tu t'en es fait des amis,en aidant les autres !

Et tu as enfin un projet ,une histoire a réaliser avec lui ,génial ton histoire de bandes dessinées...

Alors !Beau Sourir ne quitte jamais ce radieux sourir pour riens au monde!

Oui, aujourd'hui plus que jamais, je garde le sourire!

J'espère sincèrement que tout va bien pour toi (je te l'ai si rarement demandé, alors que tu as toujours été là...). J'aimerai avoir de tes nouvelles.

Pour l'aveugle postimiste il aimait aider comme tu dis si bien! en les encourageants avoir aude-lÀ des murs trop hauts l'espoir d'un monde meilleurs ,très beau ,hors de la malaide...

En ce moment ,j'ai tout un bâteau , à gouverner , et il y a bien du courrant , ma mère se meurt et c'est difficile, mais ,je suis là pour lui tenir la main...

Je rie, je pleurs mais comme toi je Garde le sourire.
pom

Bonjours POM.
Je suis désolé de ne pas avoir répondu plus tôt.
Il faut avouer que je ne viens plus très souvent sur le site: J'ai repris mes cours à la fac, et j'ai donc pas mal de travail. Mais je me suis surtout rendu compte que pour aider les gens il fallait s'investir réellement dans une relation amicale stable et concrète; de vagues échanges de messages sur internet ne sont pas assez efficaces.
Maintenant j'aide les gens qui m'entourent (ils en ont besoin: Viols, agressions, ruptures douloureuses, divorces de parents, harcèlement téléphonique...). Je me suis aperçu que je n'avais vraiment pas à me plaindre.
Ces personnes sont devenues mes amis; je ne suis plus seul.
L'un d'entre eux a lu une de mes histoire et veux que nous travaillons ensemble sur un projet de Bande dessinée.
Je viens de rencontrer une fille bien. Elle semble m'apprécier et j'ai l'impression que nous allons nous entendre... Mais je ne me fais pas de films, on verra bien...

Donc, pour répondre à ta question: Oui, aujourd'hui plus que jamais, je garde le sourire!
J'espère sincèrement que tout va bien pour toi (je te l'ai si rarement demandé, alors que tu as toujours été là...). J'aimerai avoir de tes nouvelles.

Mais revenons à la discussion principale:
En ce qui concerne cette histoire, je crois qu'elle nous apprend simplement que les solutions à nos problèmes nous les portons en nous.
Nous sommes capables de surmonter tous les problèmes qui se posent à nous; tout dépend de la façon dont nous abordons l'obstacle. Ainsi, l'homme aveugle à cherché un moyen de s'en sortir, en substituant l'imagination à sa vision défaillante et en trouvant un nouveau sens à sa vie: AIDER LES AUTRES, en leurs redonnant espoir et courage. Il ne s'est pas laissé abattre et est mort heureux. L'autre à choisi d'abandonner dès le début, c'est bien dommage...
Nous sommes les solutions à nos problèmes: Les médecins, les psychologues, les amis, peuvent soulager nos douleurs, nous aider à avancer, nous soutenir dans les moments difficles. Mais si nous cherchons véritablement à nous en sortir, nous devons avant tout compter sur nous même.
Il y a de cela deux ans et demi, j'entamais une longue chute; suite à un chagrin d'amour, j'ai sérieusement pensé au suicide pendant une période de huit mois que j'ai traversé avec vous. Je n'avais plus ni avenir, ni rêves, ni amour, et vous étiez mes seuls amis...
Seule une vague envie de m'en sortir, d'avoir une vie meilleure, m'a empêché de baisser totalement les bras. Aujourd'hui j'aperçois la lumière...

Je vous souhaite à tous une vie à la hauteur de vos rêves. Essayez juste d'y croire et de vous battre pour l'obtenir.
Je repasserai peut-être de temps à autres sur ce site.

Encore merci à tous!
(surtout à toi POM...)

Gardez le sourire.

Bonjour Keep!

Tu garde toujours el sourir?

Les histoires sont a interprétation...Moi aussi je voyais cette histoire comme un don de charité pour l'autre malade quie vivait avec lui dans la pièce...Et d'espoir! Quand tu iras mieux ! il y a une belle vie qui t'attend ,lui, était positif !

l'autre était négatif ! a aperçu le mur dès son transfert quand il allait mieux!

Les thérapies nous disent: plutard ça ira mieux tu goûteras à la vie de meilleur façon après ta guérison , pour certain ce ne sont que des mensonges ce que l'aveugle a dit : c'est faire croire à l'autre des rêves !

Mais pendant ce temps le malade a guérit dans l'espoir de voir ces belles choses!
L'autre est mort toujours avec ses bells images inventées et lui est vivant devant un mur qu'il doit surmonter s'il veut enfin voir ces belles images dont il parlait et il les verra s'il guérrit car il sortira de l'hôpital!
on peut en faire plein d'interprétation puisqu'on est unique et plusieurs millier de personnes...

Oui tu as raison " ça donne a réfléchir: Peut-être qu'aider les autres peut également (et avant tout) servir à nous aider nous-mêmes.

"Tout à fait!

Parfois juste un sourir et écouter!
Tu as bien raison ! juste être là au bon moment!

"qu'il ne faut pas grand'chose pour aider les autres. Cet homme ne voyait rien, il n'est parti de rien du tout..."

Moi aussi j'espres redonner du courage !
Bonne journée Keep!

Message modifié le 25-mai-03 à 05h02  (EST)

Je ne sais pas s'il y a une morale a tirer de chaque histoire que l'on raconte. Parfois, il faudrait accepter qu'une histoire ne soit en fin de compte, qu'une simple histoire.

Mais ça donne a réfléchir: Peut-être qu'aider les autres peut également (et avant tout) servir à nous aider nous-mêmes.

Et surtout, cette histoire peut nous faire prendre conscience du fait qu'il ne faut pas grand'chose pour aider les autres. Cet homme ne voyait rien, il n'est parti de rien du tout...

Ton histoire est très belle Pom, et j'espère qu'elle redonnera du courage à certains d'entre nous.

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Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d’hôpital.
L’un d’eux devait s’asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d’évacuer les sécrétions de ses poumons. Son lit était à coté de la seule fenêtre de la chambre. L’autre homme devait passer ses journées couché sur le dos.

Les deux compagnons d’infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leurs maisons, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits ou ils avaient été en vacance.

Et chaque après-midi, quand l’homme dans le lit près de la fenêtre pouvais s’asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu’il voyais dehors. L’homme dans l’autre lit commença à vivre pour ces périodes d’une heure ou son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.

De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l’eau tandis que les enfants faisais voguer leurs bateaux, modèles réduits.

Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs arc-en-ciel. De grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner.

Pendant que l’homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l’homme de l’autre coté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.

Lors d’un bel après-midi, l’homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l’autre homme n’ait pu entendre l’orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de l’imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante. Les jours et les semaines passèrent.

Un matin, à l’heure du bain, l’infirmière trouva le corps sans vie de l’homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil.

Attristée, elle appela les préposés pour qu’ils viennent prendre le corps. Dés qu’il sentit que le temps était approprié, l’autre homme demanda s’il pouvait être déplacé à coté de la fenêtre.

L’infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s’assura de son confort, puis le laissa seul. Lentement, le malade se souleva un peu, en s’appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d’œil dehors. Enfin il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s’étira pour se retourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or tout ce qu’il vit, fut… un mur !

L’homme demanda à l’infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une autre réalité. L’infirmière répondit que l’homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. « Il a voulu vous encourager », commenta-t-elle.

LA PEINE PARTAGEE REDUIT DE MOITIE LA DOULEUR, MAIS LE BONHEUR, UNE FOIS PARTAGE, S’EN TROUVE DOUBLE.