limite

J'ai écouté un émission sur ces phénomènes et je trouvais que le contenue était assez intéressant. Avoir des appartement possèder par des esprits est quelque choses de très fréquent. Une peur qui se transmet de locataire/propriétaire au suivant ou bien ça peut être héréditaire aussi. Une genre d'histoire familliale ou encore plus facile un histoire de société que certains individus inconsciemment capte puisqu'il trouve ça intéressant, puis qu'ils interprètent dans des bruits "normales" d'une maison par la suite.

Si j'ai tendance à croire en l'émission, écrit par une personne que je n'ai jamais rencontré, plutôt que des personnes autours de moi, c'est parce que j'ai fait le lien avec des situations qui est survenue pendant mon enfance.

J'avais environ 7-8 ans j'étais à un chalet en plein milieu d'une forêt. Je me suis fait réveiller par un porc-épic qui grugait les poutres de la galerie. Donc je me suis dirigé vers la fenêtre d'une porte juste au dessus d'ou devait se trouver le porc épic, qui c'est enfui malheureusement je n'ai quasiment pas eu le temps de le voir. Sur le même fait une ombre blanche est apparue dans les marches elle avait un voile blanc sur la tête et elle portait une robe blanche aussi. Je me suis dit a voix haute: "Hein! Elle ressemble à Marie." Ma mère, qui avait elle aussi entendue le porc-épic était rendu derrière moi, je ne l'avais pas vue ni entendu. Elle m'a demandé si je la voyait encore. Mais elle n'était plus là. Sur le coup, ça ne m'a pas fait peur, malgré la comparaison que j'ai fait je croyais à un refflet de moi dans la vitre, mais par la suite j'avais la trouille. Ma mère me posait tout plein de question sur "l'apparition de marie" et le lendemain de retour à la maison j'ai eu droit à ses apparition qu'elle avait déjà eu auparavant.

Un autre histoire, le fameux jeu de Ouija. J'étais un peu plus agée cette fois ci peut-être 13-14 ans. Je me suis installée avec trois autres ami(e)s pour jouer dans la cave, en cachette de ma mère car elle ne voulait pas que je joue. elle avait peur que des esprits restent dans la maison par la suite ou me suive etc. Après plusieurs minutes d'attentes un esprit communique avec nous. Il nous dit qu'il est mort en 88 (date fictive car je ne me rapelle plus de celle qui m'avait dite). Donc après avoir parler un certain temps avec cet esprit, toute intriguer, je vais voir ma mère et lui parle de cet homme (j'ai oublier totalement le petit règlement que je n'avais pas suivi). Effectivement elle le connaissait, elle m'a raconté toute son histoire comment il était mort, comment il était beau, comment les gens l'ont prit et patati patata.

Alors présentement je me dis que j'aurais pu me dire dans ces deux situations que les esprits existaient que c'était deux preuves évidentes surtout avec l'âge que j'avais et l'influence de ma mère qui me croyait dure comme fer. Mais avec le temps qui est passé, je me rends compte que c'était juste des adons. C'était peut-être l'ombre de ma mère que j'ai vue dans la fenêtre et le voile était mon imagination influencer par toute les émissions de télévision que j'ai visionné sur les apparitons de marie. Puis pour le jeu de ouija. Je n'avais pas beaucoup de description pour comparer. Je possèdais seulement la date et qu'il avait vue beaucoup de gens pleurer sa mort même des personnes plus ou moins proche. Mais au nombre de personne qui meurt chaque année, c'est plutot facile de trouver une personne plus ou moins proche de nous et de dire que oui c'est de lui qu'on parle.

Puis pour les maisons hantées, c'est un peu la même chose. On entends des bruits dans une maison on se dit bien non ça ne peut pas être ça, ni ça, alors on croit au esprit. On se dit bien si ça se reproduit une prochaine fois, c'est certains que c'est ça, ça le refait alors on se dit la nuit d'après, on se renseigneénormément sur les phénomènes on lit on écoute des émissions, des reportages etc. pour essayer de comprendre ce qui se passe. Puis finalement on paye un homme pour qu'il vienne exorcisé notre maison pour enfin avoir la paix. On a tellement espoir qu'il réussira, que oui en effet il a réussit, tout est disparu. Mais au début de tout si personne n'aurait jamais entendu parler d'esprit, je ne suis pas sur que les bruits entendus au début dans les maison hantée serait réellement prit pour des esprits. tout ça pour moi, c'est juste une passe d'argent et de croyance.

Bye

Softness

softness

je te comprends je pense à peu près pareil si ce n'est que pour vaincre la connerie des gens intolérants envers des personnes comme nous, qu'ils ne comprennent pas, l'apprentissage de la sagesse est une philosophie de vie mais pas une croyance. Lire des livres du Dalaï Lama par exemple pour évoluer dans notre prendre analyse ne demande pas de croire en boudha ou en dieu. S'attacher à se protéger par la philosophie et donc la réflexion peut permettre aussi de se soulager de la méchanceté des autres en acquérant une forme de sérénité intérieure et plus on l'atteind plus on se rend compte que l'on peut non seulement ne pas s'offusquer de leur méchanceté mais avoir une certaine compassion et leur transmettre (ou tout du moins essayer) des arguments comme quoi chaque personne à le droit de vivre de la manière dont il l'entend et le peut et que le dialogue entre personne civilisée doit amener à des conclusions pour que chacun face son possible pour ne pas pourrir la vie de l'autre et pardonner (ça j'ai du mal suivant les méchancetés que l'on me fait subir) si possible.

Par contre ce qui est de la mort, j'émets des réserves à savoir si oui ou non il pourrait se passer quelque chose ou pas après...? Je pense cela depuis que j'ai vécu des choses bizarres dans un appartement durant 3 années et lorsqu'une amie est venue dormir chez moi (je ne lui en avais pas parlé, d'ailleurs je n'en avais parlé à personne de crainte que l'on ne me croit pas) et le lendemain matin elle était blanche comme un cachet et m'a dit qu'elle ne reviendrait plus jamais dormir chez moi. Elle a entendu, tout comme moi, des pas feutrés sur la moquette puis le grincement de la poignée de la porte et une sensation que quelqu'un était dans la pièce. Elle a senti cette présence toute la nuit et a eu très peur.

Moi je n'ai jamais eu peur de ça malgré que pour moi ça allait encore plus loin : à partir du moment où je sentai la présence dans ma chambre je ressentai des frissons qui passaient d'abord par les pieds pour envahir tout mon corps et ensuite je faisais de la lévitation et à chaque fois, légèrement effrayée, je voulais m'extraire de cette sensation qui m'était imposée, alors j'allumais ma lampe de chevet et tout disparaissait de la tête aux pieds en une fraction de seconde.

J'en ai parlé à un magnétiseur qui m'a dit que probablement un esprit possèdait l'apparte! ???
D'autres personnes m'ont parlé de voyage astral.

Après enquête, le constructeur de l'immeuble m'a confirmé qu'il y avait eu un meutre avant la construction....

Enfin moi ce qui me plaisait c'est que je me disais que c'était peut être mon père dcd qui venait me voir.... Mais pourquoi cela n'est il arrivé que dans cet apparte?

Je l'ai quitté depuis et je n'ai jamais ressenti de sensations bizarres, tout est redevenu normal.

voilà je ne sais pas si cela te fera douter mais en tout cas il est difficile d'être si catégorique sur des choses que l'on ne sait pas, ne comprend pas ou ne maîtrise pas.

qu'en penes-tu?
BYE

Moi je trouve juste malsain qu'on aille séparer les maladies du "cerveau" du reste du corps. Un schizophrène supposons est autant une bonne personne qu'un diabète sauf qu'il n'a plus un bon équilibre dans la chimie de son cerveau comme un diabète et son pancréas. Un diabète en crise pas controlée peu tout défaire sur son passage autant qu'un schizophrène en crise. Donc je ne vois pas la différence entre les deux je ne vois pas pourquoi la société a tant voulu séparer les maladies "mentales" des maladies "physique".

On a créer tout les malaise sociaux autours de nous comme celui ci et pour les régler on invente d'autres systèmes qui provoquent d'autres problèmes. Alors pourquoi ne pas abolir les systèmes en causent au lieu d'en créer un nouveau qui va régler le premier oui, mais causer d'autre problème a long terme? On fonctionne invention par dessus invention.

Ça me fait penser à lorsque je prenais des médicaments. J'ai commencé par un cachet. Mais il m'a causé des effets secondaires, donc j'ai commencé a en prendre un second et lui aussi en causait, alors un troisieme c'est ajouté à ma liste et ainsi de suite, jusqu'à ce que je sois totalement zombie et que je décide de cesser le tout. J'ai l'impression que c'est un peu ce que l'on fait avec nos inventions.

ça dépends des opinions, mais selon moi, la spiritualité est un autre côté développer par la société, pour appaiser la lourdeur de la mort dans la vie de tout les jours. Mais prends le surtout pas mal, je veux dire par là que tu as parfaitement le droit de t'accrocher à la spiritualité, car l'important c'est de croire en ses propres croyances et si elles sont positives pour toi, bien c'est merveilleux. Peut-être que c'est ce qui me manque, une croyance qui me guiderait un peu plus que seulement mes pensée. Que se soit spirituel, scientifique ou je ne sais trop.

Mais la seul chose en laquelle je crois, c'est qu'on est sur terre comme une roche est sur terre. On a essayer de se simplifier la vie pour sauver du temps, comme par exemple l'industrialisation pour ne nommer qu'elle. Mais malheureusement on a seulement développer un cercle vicieux qui demande de courrir contre le temps, mais on ne pourra jamais aller plus vite que celui ci, donc on s'invente des croyances pour nous faire croire qu'après notre mort il aura encore quelque chose et qu'on retrouvera les personnes chères qu'on n'a pas vraiment eu le temps de connaitre, car on était trop préoccuper à faire la course contre le temps ou bien à aller prier (tout ça parce qu'une religion nous laisse sous entendre à une peut-être vie après la mort)une personnes chère malheureusement décédé d'une crise cardiaque, car elle n'avait plus les moyens de cessé sa course, trop hynoptisé par la matérialisation de notre société.

En résumé, j'aimerais croire que je pourrais être une allié du temps, je veux dire par là, d'accepter de vivre seulement le temps que je vivrai, mais d'en profiter pendant ce temps. Pas faire une course impossible qui ne mène à rien. Tant qu'à moi, l'argent, le temps (calendrier, horloge), la religion ne sont que des inventions qui sont devenus mondials mais qui ne vuat absolument rien, un erreur, un échec total. Ça cré des dépendances ou au contraire des manques(ex.: j'inclu le gageur compulsif ou bien la famine), un échelle de valeur injustifier (ex.: l'homme de ma droite est plus beau parce qu'il a 100$ dans sa poche tant dis que celui de gauche en a seulement 5 ou bien le livre de stephen king est très cher car il est connu mais celui du débutant est quasiment gratuit, pourtant il est peut-être meilleur et surtout il a travailler autant...), des querelles (ex.: guerre de religion, guerre de terrain, des meurtres, des vols)

Oups, je me suis laisser aller, tout ¸a parce que je voulait dire que je crois en rien. Je vis et quand je vais mourrir tout va être noir je vais me décomposer et c'est tout, je ne crois pas en l'âme pour moi l'âme est juste un autre nom donner au faculté du cerveau. Donc tout ce qui est du destin, esprit, vie apres la mort, réincarnation, pour moi tout c'est n'existent pas. Donc la société m'empêche de vivre pleinement, car je dois em plier a ses caprices qui selon moi ne mène absolument à rien. J'adore travailler mais pas pour de l'argent, je travaillerais 24hrs de suite pour aider un voisin , mais pas travailler pour un salaire et encore moins pour un boss qui est froid comme l'hiver et qui nous pile sur la tête pour être sur qu'on fini sa job à temps... Mais bien sur je n'ai pas le choix de me plier car je dois travailler pour subvenir à mes besoins puisque tout est à l'argent asteur. Puis surtout, je déteste le proverbe, le temps c'est de l'argent...

bonjour à tous et à toi erikl avec qui je partage la même analyse. J'ai le même âge et je suis une vraie sauvage (à cause de ma personnalité réservée qui pourtant avec les gens avec qui je me sens parfaitement bien se révèle extravertie et même excentrique et aussi à cause d'une mère alcoolique qui m'a fait terriblement souffrir, mon psy dit que mon histoire est digne d'un zola)

j'apprends à être "civilisée" pour mon bien être mental et financier. Aussi malgré les souffrances que je reçois en plein coeur chaque fois que l'on ne me parle pas

((notamment les parents de mon copain, parce qu'ils pensent que mon "état psychique" (c'est ce qu'ils ont dit à leur fils), ne leur convient pas!))

ou l'on me met à part ->

(mais maintenant c'est moi qui me met à part) (c'est en fait, toujours les filles qui m'en font baver! j'ai souvent pensé que c'était à cause de mon physique : parce que certaines m'ont dit qu'elles me considéraient comme trop grande rivale) (les hommes en général me laissent tranquilles, ils n'insistent jamais si je ne PEUX PAS faire ce qu'il faudrait faire, suivant certaines personnes ou circonstance, avec qui il faut :aller au pot, au resto, en pause, en sortie ou autres démarches....)

Je ne peux aller chez des gens (amis d'ami qui me demande de l'accompagner) si je ne les connais pas, sauf parfois quand je suis accompagnée d'un de mes amis avec qui je me sens bien.

J'ai beaucoup de mal à faire une activité extra professionnelle parce que, ce que j'aime ne plait à aucune personne que je connais (taekwondo, école du cirque) aussi je suis obligée d'y aller par moi même et c'est horriblement difficile. Je ne suis pas assidue à cause des jours où il m'est impossible d'y aller la peur au ventre je reste chez moi. Mon psy me dit de ne pas me forcer, et tantpis si les gens ne comprennent pas, alors je n'y vais que lorsque que je m'en sens capable et ça se passe très bien comme ça.

-> j'apprends à acquérir de la sagesse pour calmer mes nerfs et pour pouvoir relativiser lorsque je suis une incomprise totale vis à vis de personnes qui me rejettent. Ne pouvant leur faire comprendre que la compassion et la tolérance est quelque chose qu'il faudrait qu'ils développent, je m'efforce par contre de me remettre en cause, sans faire de concession (c'est impossible, j'en ai déjà fait et ça me donne de violentes crises de spasmophilie alors je préfère faire que ce que je peux faire) et à mon tour d'acquérir une certaine compassion à leur égard afin de comprendre ou tout du moins leur trouver des circonstances atténuantes pour ne pas entretenir de haine, de vengeance ou de mépris envers ces personnes différentes.

"on est tous différents par ce que l'on montre mais tous égaux par ce que l'on cache!"

c'est une petite phrase fétiche qui est bien utile parfois!

bon courage à tous et à moi même tiens ! il faut s'autoprotéger!

clodi

Ne crois pas qu'être ce que tu est vraiement est la résultante d'une maladie quelconque. je suis comme ca aussi et j'en ai souffert pendant un certain nombre d'années vu le milieu campagnard dans lequel je vivais auparavant. Les problêmes dans lesquelles je sombrai à l'époque, m'ont ammener à être obliger de consulter et de m'engager dans un programme de réinsertion sociale. C'est enfin un thérapeute, sans diplôme aucuns, mais possédant un vécu très riche et oeuvrant dans une maison de thérapie de la région qui m'a fait comprendre ce que j'étais. Bien entendu, chacuns de nous à sa manière d'être et d'apprendre; pour moi ce fût la spiritualité qui me guida et me guide encore aujourd'hui(J'ai 32 ans bientôt 33). Pour d'autre personne ce sont d'autre moyens. Ce n'est pas toujours facile c'est certain et depuis ce temps, je me suis isoler pas mal, tant du point de vue professionnel que social,du ramdam quotidien des "gens normaux". J'ai toujours vu, d'autant que je me souvienne, le monde de l'extérieur plutôt que de l'intérieur et mon entourage (d'hier ou d'aujourd'hui) qui vit dans la tourmente du monde matériel, terre-à-terre, moraliste et plein de préjugés de toutes sortes a eu et a encore du mal à m'accepter tel que je suis. En tant qu'êtres humains, nous n'aimons pas beaucoup être remis en question dans les fondements qui constituent la base de notre vie de tous les jours et les êtres comme nous finissent toujours, à un moment ou un autre, à ammener à réfléchir de par nos paroles, nos actes et quelques fois même par notre simple présence. C'est dans notre nature normale et humaine bien à nous de réfléchir, de voir, d'être sensible à toutes ces choses auxquelles les autres ne semble même pas porter attention. Encore aujourd'hui, mon attitude désinvolte vis-à-vis certaines choses jugées importantes par la société et mon entourage tels que :La mort, le travail, l'argent, l'apparence et la situation social, (pour ne nommer que ceux-là) m'attirent encore les regards perplexes et les railleries.
De toute l'histoire de l'humanité connue, la majorité des grands noms qui la compose furent tous qualifier de fous irresponsables mais c'est bien à cause de ceux là même si notre civilisation a d'une certaine manière "évoluer".
Il n'y a rien d'anormal dans ce que tu expose ici comme étant ce que tu vis; continus d'être toi même. Laisses les gens penser ce qu'ils veulent et essais de ne pas trop te laisser déstabiliser par les commentaires des "bien-pensants". Ils se pourait bien que demain ce soit l'un de ceux-là qui viendra te demander ton avis en sachant très bien que celui qui prend le temps de réfléchir gagne en sagesse.

je suis d'accord avec toi sur le principe, mais tous les psychiatres ne sont pas à mettre dans le même paquet.

j'en ai vu plusieurs aussi masi aucun d'entre eux ne m'a "suggerer" le fait de rentrer dans un moule préconçu par la société pour leur faciliter la tâche !

Bien au contaire, celui qui me suit me pousse justement à aller plus loin dans mes démarches, pour assumer enfin qui je suis sans que le regard des autres ne dérange mes "reflexions".

Tout est normal.

Eh oui, tout les grands philosophes mais également tous ceux qui epriment une différence par la pensée ou par l'art sont considérés comme hors norme ! comment un être "socialement" correct trouvera que pousser une reflexion plus loin que lui ne le ferait peut comprendre que certains s'interroge sur le sens même de la vie !

Après un diagnostique correspond à quoi ? on tente de normaliser des choses qui sont normales mais qui font peur ... ( mis à part réelle maladie ! ) là je ne parle que de psychologie, certain cas de psychiatrie sont pathologique ! et nécessite un réel diagnostique, une réelle aide médicalisée.

je sais pas , je n'ai pas de réponse toute faite ! ce que je dis là peut être démonté en deux temps ...

Alors juste pour te dire courage
A plus
Elorie

moi aussi j'ai été suivie pendant quelque années par un psychiatre. Je ne sais pas si c'est moi qui avait un problème ou lui à la fin tellement qu'on s'entendait pas. Alors j'ai tout arrêté, j'ai même pas essayer d'en trouver un autre, car c'était déjà le troisième que j'essayais et ça ne marchait pas. Je trouve que pour eux être guérit, c'est de penser de la même façon qu'eux, tu oses parler de choses différentes puis il dise, ça c'est ta maladie qui te fait croire ça ou bien tes médicaments. Tu en à juste parler, ça ne veux même pas dire que tu y crois encore. À les entendres ça ferait longtemps que Socrate, aristote, démocrite ou tout les gros philosophes reconnus aurait été diagnostiqués schizophrène ou psychotique. Comme les cyniques qui dormaient dans des barril pour être sur de ne pas profiter des biens matériels eux ça ferait longtemps qu'ils auraient un dossier.

Pour mes amies, elles ont tous fuient lorsque j'ai eu un diagnostique. Elles ont peut-être eu peur devant l'inconnu, je ne sais pas ce qui c'est produit. Un autre phénomène de la société.

Il faut que je me sauve, bon courage a toi aussi

Softness

Salut Softness,

Je crois que j'ai le même problème que toi, en réalité.

Je suis suivi par un psychiatre depuis très longtemps maintenant mais c'est pour d'autres problèmes que j'ai à gérer dans ma vie ... mais j'en suis venu à lui parler de ce que tu évoques.

Je "philosophe" trop, je me pose beaucoup trop de question sans réponse , je me pose mes vérités puis je les demonte , je les repose ... sur tout et tout le temps.

C'est tout à fait normal, mais cela ne doit pas être obsessionel en fait. Du moins je crois !

J'ai du mal à me trouver des amis ... j'ai des copains(ines) ! mais avec eux tout me semble dérisoire ... j'aime passer des soirée au restaurant à debattre de tout et de rien, à remettre tout en cause, à demonter certains conceptes ... mais là je n'ai plus personne !

Mes copains me trouve "hors norme" et parfois c'est vrai que mes réactions peuvent choquer, je l'admet mais parfois je perds le fil et je n'assume plus du tout !

Dans ces moment là, je renie mon "moi" et j'essaie de coller à la norme !!! j'essaie de devenir "normale" ce qui donne = une jolie jeune femme superficielle ... mais là je ne m'aime pas du tout et ça dérape souvent !

J'ai fait certaines connerie ces derniers temps, et je me suis rendu compte qu'on ne peut de toute manière pas aller contre soi-même ... il faut assumer.

je ne peux pas t'aider, c'est vrai qu'il est difficile de trouver des gens comme cela, mais ils existent et souvent certain ne demande qu'à être découvert ... ce que je veux dire c'est que je crois fortment qu'en fait tout le monde est comme cela à la base mais, par peur ou par facilité, ils refoulent tous ces questionnements "intérieur" !
Il faudrait pouvoir les booster un peu ... les secouer ! les attirer et cela est un challenge très trés dur ... car souvent la peur prend le dessus, c'est tellement plus facile d'écouter et de se fondre dans la norme !

Bon je vais arrêter maintenant ... sinon j'arrête plus !

Seulement un petit mot : surtout n'essaie pas de changer ! tout est normal !

Bon courage
Elorie

Bonjour,

Merci pour ta réponse!

oui tu as raison pour les amis, le problème, c'est que j'ai beaucoup de difficulté a en trouver des gens comme moi. Faut croire que ça ne court pas les rues...

Salut softness,

Je trouve tout à fait normal qu'une personne philosophe plus qu'une autre. Moi-même je pense énormément, et tout comme toi je ne trouve pas toujours ma place au milieu des autres gens "normaux". La société impose clairement certaines limites : nous sommes dans une logique d'individualité et de productivité, pas d'humanité malheureusement :(

Mais cela ne devrait pas t'empêcher de faire comme bon te semble ! La limite, selon moi, est celle de ta "félicité". Si ça te rend heureux(se) de réfléchir, y a pas de mal ! Il te faut peut-être trouver des amis dans ton genre, pas des gens "normaux", pris dans le tourbillion assourdissant de "la course à ne pas mourir"...

Bien à toi,
Laurent.