Suggestion avant le divorce ?Besoin de votre opinion S.V.P.

Publié le

Premier message

Suggestion avant le divorce ?Besoin de votre opinion S.V.P.

#0 Posté le par DCF__8381


Voilà je suis marié depuis 12 ans avec enfants. Depuis plusieurs années ça va de mal en pire pour nous, au tout début elle était sensible, affectueux et je sentais que je comptais pour elle. Puis, plus les années passèrent, plus la communication était amoindrit et ce malgré je favorisait la discussion mais en vain, à un moment donné, j'me sentais comme une fille dans un couple dans le sens communicateur, expression de ses sentiments et tout et elle je la percevais comme un homme qui communique peu et renfermé sur lui-même.

Quoi qu'il en soit, aujourd'hui, on n'échange plus du genre comment ça va et tout, nous nous parlons lorsque l'on a pas le choix, côté sexuel nous avons environ 3 relations sexuelles par année.

J'ai déjà entammé plusieurs conversation pour améliorer le tout et ça allègue pendant un court lapse de temps sans plus, le naturel revient au galop. Je suis tanné de vivre cela mais je me sens obligé de demeurer ainsi à cause des enfants, 2 au primaire et un au secondaire. Je ne veut surtout pas les marquer par une séparation.

Je sens que tout ce que je fais n'est pas correct, que je l'énerve sans plus, je ne me sens pas du tout apprécié, aimé et tout. Cela me fais souffrir à l'intérieur et je n'ai même pas envie de lui reparlé à nouveau parce que je suis rendu au stade ou je pense que ça ne donnera rien et ce même si j'ai encore des sentiments pour elle. Tout ce dont j'ai de besoin, c'est de me sentir quelqu'un d'important à ses yeux. En ce moment je pense beaucoup au divorce mais je me questionne à savoir s'il n'y aurait pas une autre tentative avant de passer à cette étape ultime. Avez vous des suggestions, des conseils pour moi ?

Merci de m'avoir lu.


Messages récents

Pour embêté

#11 Posté le par DCF__6161

Je t'ai répondu sur ton courriel.

Diane

Réaction

#10 Posté le par DCF__8381

Merci pour l'info sur le déroulement d'une thérapie de couple, je crois que c'est la prochaine voie que j'utiliserai parce qu'elle semble plus mature et ce malgré le fait que j'aime aussi la voie de l'amie/amante. Vois-tu, en y allant vers la proposition de consultation de couple, j'ai peur d'ouvrir un abcès avec tout ce qui en découle. Tandis que la voie d'amie/amante permettrais peut être de voir le temps arranger les choses ???

Quoi qu'il en soit, j'aime bien ta conclusion à savoir que c'est le bonheur que nous visons tout les deux. Reste à savoir si je fais parti de son bonheur anticipé, là est la question !

Un gros merci !

Le déroulement d'une thérapie...

#9 Posté le par DCF__6161

Je crois qu'il est facile au départ de bien identifier avec le ou la psychologue, vos besoins respectifs. De toute manière, il y a toujours une période prévue pour rencontrer individuellement l'un et l'autre avant d'entreprendre la communication à deux.

Les couples qui se séparent ou qui décident de continuer ensemble "cassent toujours moins d'oeufs pour réussir leur omelette" en procédant de manière mature.

Ce que tu dis pour l'amante/amie est bien beau en théorie mais dans les faits, c'est carrément destructeur pour tout le monde. N'oublie pas que tu trahiras non seulement ta femme mais aussi tes enfants si tu vas l'encontre des principes que tu leur enseignes.

L'intégrité, l'honnêteté et l'authenticité sont des principes gagnants dsans n'importe laquelle des relations. Mais ce n'est pas la voie de la facilité.

Peut-être que ta femme souhaite cette mise au point autant que toi. Donnez-vous donc une chance d'apprendre à aimer véritablement. Autrement, vous en arriverez à la solution du divorce, ou d'une séparation temporaire, mais au moins vous y serez parvenu d'un commun accord.

En conclusion, c'est le bonheur que vous cherchez comme but commun. Si elle ne veut pas se faire aider, RIEN ne t'empêche de le faire pour toi et pour les enfants.

Bonne chance dans tes démarches, donne des nouvelles si tu en as le goût.

Diane

vu comme ça...

#8 Posté le par DCF__5048

mais je ne sais pas.

Je ne suis pas de nature à me lancer dans un mur en toute conscience...

J'espère que vous trouverez la voie qui vous conviendra.

Entre adultes consentants.

#7 Posté le par DCF__8381


Si je parle d'une relation amie/amante, la personne connaîtrait ma situation et elle saurait qu'il s'agirait d'une relation pour combler un vide et en acceptant, elle répondrait également à ses propres besoins.

Or si pour une raison au autre, les plans changes pour moi ou elle, bon ben c'est plate, mais lorsque les enjeux sont clairs en partant c'est plus facile à accepter.

C'est sûr que ça pourrait faire mal parce que des attaches se seraient crées mais que voulez-vous comme dirait si bien le Premier Ministre du Canada, on ne fait pas d'omelette sans casser d'oeuf et qu'on le veuille ou non, toute personne, peu importe qu'elle soit sédentaire ou actif, risque quelque chose alors aussi bien y allez selon ce que l'on a le goût de vivre. Non ?

Thérapie de couple !

#6 Posté le par DCF__3279


Pas mauvais comme idée, est-ce que tu sais comment ça se déroule et tout ? D'emblé, j'y avais pensé mais l'idée de savoir que je crois que les rencontres ont toujours lieu ensemble ne m'enchante pas vraiment parce que j'estime davantage approprié de débuter par une rencontre individuelle pour les deux avec le ou la psychologue. Conséquemment, il pourra détenir une vision plus objective de la situation et de la réalité de chacun des parties et ainsi mieux intervenir. Y faudrait que je me renseigne davantage je crois. Mais comme tu dis, y faudrait que l'autre accepte.

Merci !

j'ai testé

#5 Posté le par DCF__2834

l'ami/amant - 18 mois -.
Je ne voudrais pas vous encourager car cela n'est pas hônnete envers le conjoint mais il est vrai que cela m'a permis d'avancer dans ma tête.
Au départ, j'avais besoin de me rassurer sur mes qualités, mon pouvoir de séduction peut-être aussi.
Et j'ai rompu l'automne dernier car je sentais venir pressant la décision et cette fois, je voulais le faire pour moi.

Combien de fois ai-je lu sur des sites de discussion des hommes qui cherchent des femmes juste le temps de divorcer. Là je trouve dommage.

Par contre, il y a un danger en prenant une amie/amante : Si vous finissez par découvrir que vous aimer encore votre femme. C'est tant mieux pour vous et elle, mais l'amie/amante. Qu'adviendra-t-il d'elle?

J'ai déjà de la peine pour elle.

Et je ne vois pas comment vous pourriez expliquer clairement au départ de la relation...

A bientôt vos autres réactions - sourire -.

Suggestion

#4 Posté le par DCF__6161

Je te suggère d'inviter ta femme à aller avec toi en consultation auprès d'un psy pour justement lui "offrir" d'évaluer "ensemble" la situation afin de voir si vous allez divorcer ou changer votre relation. Ce sera alors "votre" divorce et non "ton" divorce. Cela prend du courage pour faire cette démarche mais ça évite beaucoup de souffrances inutiles, que vous en arriviez ou non à choisir le divorce comme solution.

Si elle ne veut pas consulter, faites-le pour toi-même et pour tes enfants. Les enfants verront que tu as tout tenter pour te rapprocher de ta femme, si ta démarche est réellement sincère.

Car si vous choisissez le divorce, c'est aussi la famille qui éclatent et ils ne faut pas se fermer les yeux, nos enfants en souffrent beaucoup, même s'ils sont grands. Par contre, demeurer dans la souffrance n'est pas un bon choix. Nos enfants ont aussi besoin de voir que nous nous occupez de notre bonheur.

Demande l'aide d'un psy pour qu'il te guide sur l'attitude à avoir avec tes enfants pour les préparer à votre décision, si vous découvrez qu'il n'y a pas d'autres issues. Vous pouvez même demander aux enfants de vous accompagner chez le psy pour les aider à comprendre cette rupture s'il y a lieu.

Dans ma famille, nous souffrons tous d'un divorce mal préparé...Si nous avions fait cette démarche, nous serions peut-être encore ensemble. Qui sait?

Bonne chance, dialoguer encore et avec de l'aide !

Diane

Réaction.

#3 Posté le par DCF__8381

Merci à toi et Papsy pour vos commentaires, ça m'aide à approfondir ma réflexion.

Dans ton cas, je crois que tu es rendu au bout du rouleau et comme tu dis, c'est rendu que les querelles se font devant les enfants, la situation est rendue importante. Mais quoi qu'il en soit, il faut que tu sentes plus bien que mal dans la décision que tu prendras et ça, il faut respecter cela car nous avons chacun notre histoire qui fait que l'on est devenu ce que nous sommes aujourd'hui avec nos forces, nos faiblesses et tout.

Il y a une partie rationnelle au problème à savoir que l'on se sache perdre notre temps parce qu'il y a une perception de sans issue qui nous incite au divorce pour le bien être et l'épanouissement de tous et chacun.

Puis il a le côté plus difficile, l'idée de partager les enfants avec peut-être le futur copain de la maman que l'on devra estimer à la hauteur pour vivre avec tes enfants à ta place à toi. Du fait que ça va déjà mal avec maman, que ça pourrait empirer et tout, ah dégueux...

Comme vous le voyez c'est la partie ben plate. Mais petit à petit l'idée du divorce s'édifie peu à peu.

Hier soir nous sommes aller faire du ski à Bromont avec les enfants, durant le voyage on ne se parlait pas, en arrivant on a regardé la tv quelque instant et elle est parti se coucher sans rien dire. Également lors du nouvel an tout le monde s'est souhaité la bonne année sauf nous. C'est bizarre hein, parce que cette idée de divorce prend forme dans ma tête, ça me fais penser à un cancer à sens unique, le décompte s'est enclenché et je crois que lorsque temps sera venu que la douleur et les émotions négatives seront grandement amoindries.

En attendant, je me demande si l'idée d'une amie/amante ne serait pas une solution temporaire le temps que ça durerait car ça me permettrait d'aller chercher ce qui me manque tout en conservant la vie avec mes enfants dans une ambiance qui serait sûrement meilleure. Mes besoins étant comblés ameunuiseraient de beaucoup les tensions.

même désarroi

#2 Posté le par DCF__2834

re-bonjour,

je dis re-bonjour car je viens de vous écrire un long message mais par une fausse manip il a disparu. Alors je ne sais si vous allez pouvoir le lire ou pas. Dans le doute, je recommence, peut-être en plus court.

Je ne sais si je vais pouvoir vous aider.
En principe qd je me sens dépourvue, je ne réponds pas. Mais après réflexions, je me demande si parfois le fait simplement de lire et de répondre à qqn ne lui apporte pas indirectement un peu de soutien.

Donc, que puis-je dire si ce n'est faire référence à ma propre expérience, hélas similaire à la vôtre.
Depuis 8 ans, je ne suis pas bien dans mon couple. Et nous n'avons plus de relation intime depuis bientôt 3 ans.
Mais je me suis toujours refusé le droit de partir par peur de trop faire souffir mon mari et mes 3 enfants (un au chômage, un en seocndaire et un en primaire).
De plus mon fils aîné m'avait dit il y a 2 ans environ, en me demandant pourquoi je restais avec son père qui ne se montrait pourtant pas gentil avec moi, que si je partais il serait foutu car ne retrouverait personne d'autre.
Maintenant, je n'en suis plsu aussi sûre.
Mon mari et moi n'avonspas les mêmes valeurs, les mêmes aspirations. Mais nous ne sommes pas uniques sur terre. Il pourrait bien rencontrer qqn, qui lui donnerait à nouveau l'envie de vivre et non pas de "végéter" comme il le fait depuis ces dernières années.
Puis, pour Noël, j'ai pris une semaine de congé. Je suis allée sur divers forums, j'y ai lu que les hommes et femmes dont le couple était en difficultés connaissaient les mêmes soucis, les mêmes appréhensions.
Et j'avais pris conscience que si je ne faisais rien, personne ne ferait qq chose pour moi.
D'autant que les disputes commencent à faire jour devant les enfants.
Alors ou est le pire mal ? : en restant et faisant souffir les enfants témoins de scènes ou en partant, ce qui inévitablement les fera souffrir aussi car l'équilibre familial sera rompu.

Mais peut-être que si vous êtes bien à nouveau dans votre tête, vous serez mieux vis à vis de vos enfants, et cela fera peut-être moins de mal
Car du fait de vos difficultés avec votre femme, je pense que vous n'êtes pas sufisamment sereins avec vos enfants? C'est un ocmportement que j'ai remarqué chez bp, en commençant pas le père de mes enfants.

Je me trouve dans une incompréhension totale en ce moment en ce qui me concerne, car à la fin des congés, j'étais convaincue de mon droit de vivre enfin pour moi.. et mes enfants bien sûr mais en ne me sacrifiant plus pour eux. En les incluant seulement dans ma vie -avec tout l'amour que je leur porte et de cet amour, ils ont vraiment conscience. Ils savent qu'ils peuvent ocmpter sur moi.

Et puis depuis 2 jours, je ne me sens plus la force de combattre. Or à l'idée de passer encore un an dans ces conditions, je ne suis pas bien.
Et puisque cela me semble sans issue, - je ne me crois pas capable de pouvoir ressentir du désir pour mon mari un jour -, je me demande pourquoi rester.
Finalement, le fait d'avoir évoqué à nouveau ce sujet avec vous me permet de rééclairer un peu mon esprit et me donne envie d'aller de l'avant.

Je souhaite avoir vraiment le courage de Papsy.

Je vous souhaite bonne chance et courage, quelle que soit votre décision.

Une raison ou une excuse?

#1 Posté le par DCF__5132

"Je suis tanné de vivre cela mais je me sens obligé de demeurer ainsi à cause des enfants, 2 au primaire et un au secondaire. Je ne veut surtout pas les marquer par une séparation."
Poses toi sincèrement la question de savoir si cela n'est pas une excuse pour ne rien changer à ta situation. C'est vrai que les enfants vont souffrir du divorce, mais cela ne doit jamais être une excuse pour ne pas divorcer. Ils ne sont pas aveugles et souffrent déjà du fait que cela ne va pas entre leurs parents. Prends conseil d'un psy pour enfant pour leur assurer le moins mauvais environnement pendant cette période difficile, pour aussi avoir une meilleure communication avec eux, car il faut bien les écouter: tu seras surpris de leur "maturité" face à ce problème!
Bon courage

Un divorcé, 3 enfants, 2 petits enfants, et qui n'a jamais regretté sa décision