>Bonjour j'ai 26 ans et je ne
>sais pas trop ce qui m'arrive...J'aurais
>tendance a croire que je suis
>une fille paresseuse, sans aucune énergie
>et qui pour se "rassurer" se
>dit qu'elle est peut etre dépressive...Je
>ne fais plus rien. Je n'ai
>plus aucune motivations...ou plutot j'en ai
>mais dans ma tete, je n'arrive
>pas a les appliquer. Je passe
>mes journées a faire des listes
>de tout ce que je pourrais
>faire (je suis au chomage actuellement
>suite a une démission) , je
>me dis que demain, j'aurais le
>courage...mais non, le jour vient et
>je reste plantée devant la télé
>ou l'ordinateur. Meme prendre ma douche
>me coute, je n'ai de force
>pour rien. En fait, ce qui
>me pose le plus probléme est
>de sortir seule, je ne supporte
>plus le regard des autres et
>surtout des hommes. J'ai toujours étée
>plus ou moins comme ça mais
>j'ai l'impression que c'est de pire
>en pire. L'idée de prendre le
>métro, de marcher dans une rue
>trés passante, de devoir passer devant
>des files de voitures me fait
>horreur et m'angoissent tellement que je
>préfére rester en sécurité chez moi.
>Ou alors je sors dans mon
>quartier si je ne peux pas
>faire autrement. Chez moi, je me
>sens bien mas en meme temps
>ça ne peut pas durer, je
>ne peux pas vivre repliée comme
>ça sur moi meme. J'ai un
>copain depuis deux ans, malheureusement trés
>mysanthrope lui meme. Nous n'avons pas
>d'amis...Par contre sortir avec lui me
>pose moins de probléme. Quand je
>suis accompagnée je retrouve de l'energie.
>Alors, suis je simplement paresseuse et
>égocentrique? aurais je un probléme de
>dépression ou d'anxiété sociale? est ce
>que ça vaudrait le coup de
>consulter un médecin (mais rien que
>ça me demandera un gros effort...)
>Est ce que quelqu'un peut m'aider
>ou me donner des conseils??? merci
>d'avance...
je suis un jh paresseux, avec peux d’énergie et qui est sûrement dépressif, je ne fais presque plus rien.
Je n'ai pas beaucoup de motivations.
J'en ais mais je n'arrive pas toujours a l’appliquer, par manque d’encouragement et de soutien, étant
donner que tous ne repose généralement que sur moi même, il m’arrive très souvent d’être
décourageant, voir lasser.
Comme je n’ais jamais eu de père pour me guider, et une mère souvent absente, ou trop envahissante qui ne me
donnais pas d’autonomie, j’ais sombrée dans une forme de dépression latente, qui de temps a autres ce réveille
depuis bientôt 20ans. Elle ce révèle sous forme d’épuisement et de manque de volonté, du à l’absence de
réconfort, de soutien et d’encouragement, j’ais bientôt 39ans et cela me poursuit aujourd’hui encore.
> Moi aussi je suis au chômage actuellement,
> C'est vraiment étrange. Moi aussi je ne fais pas grand chose pour retrouver un emploi. J'ai peur de
> travailler, je ne m'en sens plus capable (j'ai eu quelques expériences très décevantes...). Bien sur, il y
> a une part de moi qui ne doit pas être très courageuse, je ne sais pas trop comment interpréter mon
> comportement.
> disons que c'est plus une peur de l'inconnu et des gens que je ne connais pas.
Je suis moi même dans votre cas et l'idée d'avoir à faire des lettres de motivation, et des démarches de
recherche d’emploie me “terrifié”, parce que je ne me sent pas assez compétent manque d’assurance, et de
confiance en moi même; Bien que j’ais un métier et des années d’expérience professionnel derrière moi, ce qui
découle du fait que des gens cassants qui ne savent pas mettre en valeur les qualités de leurs personnel, ni de
leurs collègues de travail, ou des gens qui ne permette pas l’autonomie et l’accompagnement de leurs
semblable, mais qui les dévalorise au lieux de les encourager et de les rassurer, c’est aussi lier au fait de la
course a la rentabilité a la productivité, au défaut de temps, au manque d’humanité envers ses semblable, que
tout cela découle. Il y a aussi le mode d’éducation et le comportement de nos parents qui sont précurseur, du
fondement de nos troubles.
> je me dis que demain, j'aurais le courage, mais non, le jour vient et je reste plantée devant la télé ou
> l'ordinateur. Même prendre ma douche me coûte, je n'ai de force pour rien. En fait, ce qui me pose le
> plus problème est de sortir seule.
C’es aussi mon cas, je peux reporter ma douche, mes courses, le minimum de ménage etc...
Pour ma part ce serais plus le fait de ne pas avoir d’interlocuteur ave qui parler, et qui puisse me faire raisonner
au moment opportun, ce qui m’éviterais peut être de repousser mes objectifs a plus tard, et ainsi m’empêcherais
de me rendre, et de me croire paresseux, et m’éviterais de culpabiliser.
D’autre part je ne supporte plus le bruit, ni le monde et ses incivilité, cela me stress tellement que je
préfère rester “au calme” (en sécurité) chez moi.
Chez moi, je me sens bien mieux, même quand tout vas mal, mais bien seul, et cela ne peut pas durer, je ne
peux pas vivre repliée comme ça sur moi même encore longtemps.
Je n'ai aucune copine depuis bien dix ans, je suis malheureusement très seul, je n’ais guère plus d'amis.
Par contre les deux seul amis que j’ais me donne l’impression de ne pas avoir beaucoup de temps pour
sortir avec moi, ni de pouvoir comprendre ma situation.
Ma mère ne me comprend guère plus, d’autant plus qu’elle es pour une bonne part a l’origine de mes
problèmes et que le dialogue n’es que très improbable avec elle du a son manque de neutralité.
> Les gens proche, me pose moins de problème.
Mais pour moi particulièrement quand ils sont attentif et bienveillants, mais cela n’est pas souvent le cas.
> Comme pour toi quand je suis accompagnée je retrouve de l’énergie.
> Bonne question, suis je simplement paresseuse où égocentrique?
Je ne pense pas que l’égocentrisme puisse rendre paresseux. Il me semblerais plutôt, que cela provienne
d’un manque de reconnaissance de la part d’autrui, qui en soit a l’origine. Cela peut aussi provenir d’un
manque de confiance et d’assurance en soit, mais qui souvent vient du regard et du comportement de
ceux qui nous ont éduquer, de leurs manque d’encouragement ainsi que de leurs manque de confiance en
nous.
> Aurais je un problème de dépression ou d'anxiété sociale?
> Est ce que ça vaudrait le coup de consulter un médecin ? Oui bien sûr cela en vau toujours la peine.
> (mais rien que ça me demandera un gros effort...)
Si la douleur et la souffrance es plus forte que l’effort a fournir alors OUI, Mais seulement du moment que tu l’as vraiment choisi et décidé.
Le manque crée le désir, les mots font les maux.
> Effectivement comme le dit Jo la plupart du temps, c'est de commencer quelque chose qui est le plus
difficile, puis habituellement, on se sent mieux après.
Pour cela je dirais a chacun de trouver ça méthode, la mienne es de le faire quand je l’ais décidé et choisie, et
par expérience quand je me force la plus par du temps ça foire, alors il ne faux ni ce sentir obliger de dire de
faire ou d’agir, mais il faut choisir ce faire une raison et s’y tenir. “ et si l’ont n’es encourager et soutenus dans
nos objectifs c’es bien plus facile”.
Pour ma part je supporte très mal la contrainte sous toutes ses formes, je ne fait vraiment que ce que j’ais décidé
sauf cas de force majeur qui viendrais à mettre en danger l’une ou l’autre de mes instances, “besoin vitaux”.
> Tu dis j'adore lire, mais y aller est vraiment dur. Me mettre en route, savoir que je vais devoir m'est
> difficile.
Pour moi c’es la même choses par exemple j’aime les Kebap, mais c’es tellement difficile d’y aller, sauf si
quelqu’un m’accompagne, la cela devient bien plus agréable et convivial, mais seul il peux m’arrivé a
m’en passer.
> je sens des regards qui me jugent,ou qu'ils se moquent de moi parce que j'ai une drôle
> d’attitude, je n'arrive pas bien a expliquer. En tous cas cela me pèse et tu as raison, plus j’évite ces
> situations, plus cela m'angoisse.
Comme je l’ais déjà citer plus haut, il vaux mieux en parler a des personne bienveillante et neutre, il
n’est pas simple d’affronter d’ambler ses situations avec des gens mauvais, voir haineux.
Chacun dois ce trouver son propre facteur de motivation, mais il ne le peux, que par l’échange et la
communication, par le biais du dialogue avec autrui, ou par la lecture de littératures approprier.
C’es bien pour cela qu’il es recommander d’en parler avec une tierce personne neutre, où voir un psy.
Qui pourras apporter l’écoute, et l’information nescéssaire au progrès de l’intéresser.
> Est ce que le manque de confiance en soi peut être a l'origine de tout ça?
Je pense que oui pour un certaine part.
> Est il possible d'en "guérir"????
Comme je l’ais dit plus haut, je pense que oui, cela dépend de la motivation, et du poids de l’affecte.
> juste à penser sortir seule et je paniquais puis j'ai perdu mon emploi je me suis renfermée je ne
> sortais presque plus de chez moi sauf avec des gens que je connaissais.
A une période cela fût aussi mon cas, par le fait que j’ais toujours travailler en intérim, cela me limitais
financièrement d’autan plus que depuis douze ans j’ais contribuer au remboursement d’un emprunt
immobilier, mais comme je n’avais pas beaucoup d’amis, des vrais, je me renfermais de plus en plus, et
je ne sortais plus avec personne, par le fait de l’incompréhension que je rencontrais autour de moi aussi
bien dans le milieux professionnel que privé.
D’autres part les obligations et contraintes que je rencontrais avec mes créanciers, me limitais et
m’isolais de plus en plus.
Maintenant ça vas bien mieux il me reste environs deux ans de persévérance, et enfin je me sentirais
plus libre, et plus enclin a entreprendre une psychothérapie de fond.
> quand toi tu fais des efforts et que ça te rend mal parce que tu n y arrive pas ces qu il y a un truc qui > ne va pas.
Nous ne sommes ni maître du temps, ni de l’espace, nous somme a peine maître de nous même.
Il ne faut, ni ce sentir obliger de dire, de faire, ou d’agir.
Je le peux, je le veux, savoir, être et devenir ce que l’on veux, ce donner les moyens de le devenir.
Tous vient a temps a celui qui sait attendre.
Courage patience, persévérance endurance voilà les maître mots.
Bon courage a vous.
Cela me feras plaisir de vous relire
Cordialement Le-solitaire-insolite