svp, votre avis ..

bonjour à tous

en tant que ps, mes peurs sont particulièrement dirigées vers les contacts sociaux, de "simples" (avec un commerçants, le facteur..), à "compliquées" (devoir discuter avec une personne que je ne connait pas, m'intégrer ds un groupe..)
Un collègue vient de m'inviter à une soirée karaoké (!!) avec d'autres collègues. On serait environ 7 dont 2 personnes que je ne connaitrais pas et une que je n'apréçie pas et qui me met mal à l'aise.
En plus la personne qui m'invite me fait du plat pas possible..
Alors, contre y aller:
- je risque de me sentir mal à l'aise, de ne pas participer, de me retrouver seule ds mon coin
-je ne sais pas comment réagir avec la personne qui s'interresse à moi, et ça m'angoisse
-comme tout le monde est au courant qu'il me drague, ils ne vont pas se gêner pour me charier
-j'ai peur de la fin de soirée (quand est-ce qu'il faut partir? qui c'est qui paye? quelle attitude avoir?)
-c'est un karaoké, ils vont me forcé à chanter, et ça il n'en est pas question

pour y aller:
-il y a une petite chance pour que je m'amuse
-je n'ai pas envie qu'il pense qu'il m'est indiférant, et là si je refuse il va vraiment le croire

Heu..5 contre 2.. alors, je choisi quelle solution?? je ne sais pas quoi faire! pitié, aidez-moi!

tu as peur de attiré les regards sur toi.

tu ne peux pas rencontré une personne, pour avoir une relation amoureuse, a cause de ta phobie.
mes tu dois avoir des relation amical avec d autre personne, la boulangere,le facteur a ton travaille et pour au temp tu n y pensse pas? a ta phobie.

chez toi est ce que tu y pensse a cette peur?
si ces non donc tu n y fait pas attention 24 h sur 24.

a tu reçu un choc, souvant les phobies vienne apres une grosse épreuve de la vie.

moi il y un moment j avais peur d allé uriné dans le bureau ou je travaille, j avais cette peur de me trompé par manque d esprit.

pour ce qui est ta peur, tu ne pensse qu a cette peur pourtent, tu pourais avoir peur bien d autre chose qui pourais etre tres genante .

ciao

Je me lance et j'ose envoyer un message pour vous parler de ma phobie qui est très particulière : j'ai toujours la crainte d'uriner dans ma culotte cela ne m est jamaus arrivé alors j 'ai toujours entre les jambes une protection très importante sans cela je ne pourrait pas sortir de chez moi cela fait des années que je suis en psychothérapie.Ce problème me fait honte et m'empêche de rencontrer le grand amour car je me dis que mon copain ne supportera pas ça j'ai 31 ans et je suis vierge je n'ai eu qu un seul flirt j'attends vos messages bisous à tous

......vaut mieux avoir des remords que des regrets!
pensez y svt, répétez vous le!

c'est svt difficile de faire un choix:on en passe plusieurs nuits blanches, etc...personnellement il m'arrive même de fuir des soirées alors que je connais tout le monde,et c'est vrai que les autres ont parfois du mal à le comprendre...je pense qu'il faut se forcer un peu, même si je n'y arrive pas tjs moi même à chaque fois, j'ai constaté qu'en général je ne le regrettais pas.Vaut mieux se forcer et avoir des remords que de le regretter.Le mieux c'est de participer à des soirées organisées par quelqu'un qu'on connait bien,y aller progressivement:des personnes qu'on connait dans un lieu qui nous rassure à peu près(un karaoké c'est dur!), puis avec moins de personnes qu'on connait et plus d'inconnus dans de nouveaux lieux,etc...il faut y aller progressivement mais régulièrement:ne pas attendre 3 mois entre chaque expérience sinon on repart à zéro.Et il faut commencer avec des situations où l'on sait qu'on a peu de risque d'échouer, mettre toutes les chances de son côté, et non pas se lancer dans quelque chose d'impossible juste pour se prouver qu'on n'a raison de croire qu'on n'y arrivera jamais.Il faut s'entourer de personnes qui nous acceptent comme on est, même s'ils sont peu nombreux, et fuir ceux qui nous nuisent en voulant à tout prix nous transformer à leur image et nous changer, c'est en étant accepter pour ce qu'on est qu'on prend confiance et évolue....

je débarque depuis peu sur le net et me suis très vite dirigée vers les forums portant sur la phobie sociale car je sais que nous sommes plus nombreux qu'il n'y parait à en souffrir(et oui, on ne se fait pas trop remarquer en général!)et que cela fait toujours du bien de discuter avec des personnes qui peuvent comprendre notre problème, ou du moins l'accepter car on en comprend pas tjs soi-même.Si je vais bcp mieux aujourd'hui, j'arrive à vivre avec ma phobie sociale,elle reste un grand handicap qui m'empêche de faire tout ce que je voudrai, qui me pèse toujours et me rend le moral très variable.Mais j'ai rmarqué qu'il fallait svt tomber un peu pour mieux remonter la pente.Je vous souhaite beaucoup de courage:surtout continuer à vous battre contre vos angoisses et ne les laissez pas gagner!

...Bichi,
merci de m'avoir expliquer ton parcours. C'est vrai que c'est ce que je m'éforce de faire, mais bien souvant j'agis en 1er et je réfléchis après!
Quand tu dis: "ne pas écouter mes peurs, et de parler aux gens, même si j'avais peur de leur jugement", est-ce que tu trouvais toujours quelque chose à dire, ça venait naturellement? C'est le gros dilemne chez moi: je suis tellement mal à l'aise qu'en fait je ne trouve rien à dire, et la honte que j'ai de moi ne fait que s'amplifier.
En ce moment je ne vais pas bien du tout, grosse déprime pour moi aussi, je te souhaite d'avoir beaucoup de force pour pouvoir t'en sortir.
Bisous

Bonjour Chelsea! T'as raison, tout à fait. Il faut y aller progressivement. Tu vois, là je fais une dépression,et pour une personne aussi dynamique que moi, je sais ce que ça veut dire présentement y aller progressivement... Tu veux savoir par où je suis passée... Hé bien, premièrement, il fallait baisser mon stress. J'ai pris des antidépresseurs, et j'ai fait de la relaxation (cassettes -la technique de Jacobson est la meilleure), et du yoga (j'ai pris des cours semi-privés). J'ai lâché l'Université, car je ne pouvais plus assister aux cours, de peur de... tu sais, et je ne pouvais plus prendre ni métro, ni autobus. Alors j'ai pris des cours par correspondance, et j'ai fini par avoir mon diplôme. Ensuite, mes parents m'ont achetés une voiture, que j'ai maintenant complètement remboursée. Je dois te dire que la voiture, ça m'a tellement aidée! Ça libère. Et j'ai eu un téléphone cellulaire aussi. Comme ça, si j'avais la crainte de me sentir mal et que j'étais seule, je pouvais appeller quelqu'un. Le truc, c'est de pas perdre son autonomie, car si il y a toujours quelqu'un pour nous donner ce dont on a besoin, ça n'aide pas à long terme, et c'est encore plus dur de se relever, car dans ce cas, il y a un apprentissage de plus à faire (l'autonomie). Tout ce temps là, j'ai suivi une thérapie, une heure par semaine. On y parlait principalement de... me forcer. Dans le genre de ne pas écouter mes peurs, et de parler aux gens, même si j'avais peur de leur jugement. J'ai commencé à parler petit à petit à des étrangers : vendeurs, voisins,... J'ai réalisé que je ne faisais pas rire de moi du tout, et à chaque fois, ma confiance remontait. J'ai aussi appris à confronter : ne pas choisir ma place au resto en fonction de qui me verra, qui ne me verra pas, et prendre la place qu'on m'attribue au risque de... passer une très bonne soirée.. Bref, de laisser de la place à l'imprévu, au lieu de toujours anticiper et prévoir des trucs qui ne se passent pas comme prévu de toute façon... J'ai aussi appris en thérapie, à respirer (et dans mes cours de yoga aussi). Parce qu'il y a ta tête à convaincre que tu es comme les autres, mais il y a aussi ton corps. Quand tu es stressée, ton coeur bat plus vite, ton taux d'adrénaline monte,... La pire chose à faire c'est de s'énerver, parce que c'est là que ça empire. Il faut à tout prix rester calme. Penser à autre chose, rendre tes pensées réalistes, et surtout confronter. Exemple : quand tu es quelque part et que tu te sens mal, essaie de te calmer, de respirer, de fermer les yeux, et de rendre tes idées réalistes. Je sais que dans ces cas, la première idée est de partir (fuir). MAIs ça renforce la mauvaise idée de toi que tu n'es pas bonne et pas comme les autres, alors que ça n'est pas vrai du tout. Depuis, j'ai eu un très bon travail (dont le contrat est malheureusement échu), mais j'ai eu du plaisir à m'y rendre tous les jours et j'y étais très appréciée. Jamais j'aurias pu croire vivre ça un jour (avant d'être guérie). Je suis confiante de me retrouver un autre emploi aussi plaisant bientôt. Comme tout le monde, j'ai des périodes plus basses (là je déprime). Mais ils ne faut pas s'appitoyer sur notre sort et se dire : pourquoi moi? Sinon on ne s'aide pas. Il n'y a pas juste nous! Tout le monde vit des haut très hauts, et des bas très bas un jour ou l'autre...

Bonne chance Chelsea!

P.S.: T'as quel âge? Et où en es-tu rendue?

bisous XX

bichi

salut Bichi!

merci pour ce message plein d'optimisme, ça fait du bien d'entendre ça :)
Non, je n'y suis pas aller, en fait c'est pour samedi prochain. Je sais bien que ce que tu dis est très vrai, qu'il faut se confronter à nos peurs, mais quand même pas de plein fouet, je veux dire il faut y aller graduellement, ne pas commencer par le plus dur, sinon on se casse la gueu.. et après ça on se braque encore plus. Donc là je pense que ce sera trop difficile pour moi. La solution qu'on m'a proposée ici me semble impeccable, et encore, ça me demandera tout de même de gros efforts.

Est-ce que je peux te demander par quel chemin tu es passé pour en arriver à la guérison? ce que tu as fais comme thérapie(s), par quelles difficultés tu es passé, etc..? merci par avance :)

Allo Chelsea! Tu sais, j'espère que tu es allée au karaoké. Et si non, j'espère que tu ne t'empêchera plus jamais (ou le plus rarement possible) de rencontrer des occasions de t'en sortir. Je suis une ancienne phobique sociale. Hé oui, je suis guérie. Complètement. Et crois moi, pour y arriver, il faut confronter nos peurs, et à chaque fois qu'on hésite, c'est le signe qu'il faut foncer. Si tu recules, tu t'enfonces encore plus. Ta phobie prend le dessus. Je sais que c'est facile à dire, mais c'est faisable, promis. Tu hésites? fonce. Tu as plus de ressources que tu le crois. Et dis moi : est-il déjà arrivé une catastrophe, ou si à chaque fois que tu t'es forcée tu as eu du plaisir et tu t'es sentie étonnée mais rassurée? Moi je paris que c'est la deuxième option. Est-ce que je me trompe? On crois qu'on est pas bons, pas capables, trop gênés, pas comme les autres, mais en fait, quand on est lancés, c'est dur de nous arrêter. Tu sais, tout le monde se croit pas bon, pas capable, trop gêné ou pas comme les autres. Mais personne le dit. Y en a beaucoup plus que tu penses qui filent conmme toi en secret. Arrête de te comparer aux autres, et fonce. Sois-toi même, c'est le plus beau cadeau que tu puisses te faire et aux autre aussi à la limite! Tes amis et ta famille te veulent heureuse non? Alors sois toi même et fonce! Et si tu te sens mal, gênée, ou sur le point de défaillir dnas une sutuation particulière, pense à ceci : JE NE ME LAISSERAI PSA BATTRE PAR CETTE MERDE DE PHOBIE, JE SUIS PLUS FORTE QU'ELLE, ET QUAND JE SERAIS PASSÉE À TRAVERS CETTE JOURNÉE (OU SOIRÉE) J'AURAI UNE PREUVE DE PLUS QUE JE SUIS VRAIMENT MEILLEURE QUE JE PENSE. Et en ce qui a trait aux gars, n'accepte dont pas leurs avances trop vite : tu le sauras bien assez vite si il vouliat juste t'amener dans son lit...

on sens quand on est amoureux.
maintenent beaucoup de personne choisis, les superficiel car on a tous besion d affection.
le veritable amour ces quand on changerais ça vie pour l autre.
ça ces vraix que ces pas facile pour vous les femmes, car beaucoup de mec ne veulent que ça.
maintenet laisse toi guide par ta dance.
ça ce voie dans les yeux.
ciao

c'est le cercle vicieux, on aimerai y aller, mais on a trop peur alors on y va pas, ensuite on culpabilise et on s'enfonce dans l'évitement ce qui accroit notre crainte..
Mon psy propose toujours ce dilemne de cette façon: quitte à être déçu ou angoissé, autant choisir ce qui peut nous faire avancer..
C'est une bonne façon de voir en effet, mais ça demande beaucoup de courage aussi..
Bref la guérison ne peut se présenter qu'à travers les efforts de la souffrance. Finalement on est pas loin du "vaincre le mal par le mal"..

oui, c'est une bonne idée, de proposer autre chose un autre jour..mais.. (car il y a toujours un mais ;) ) est-ce que je vais avoir le courage de lui proposer? ça c'est autre chose..

J'ai une autre question, qui n'a rien à voir: comment savoir si une personne s'interresse réellement à vous ou si elle ne pense qu'à vous mettre dans son lit?
J'ai une peur bleue de me faire abuser, ça m'oblige à repousser toutes propositions..et j'en souffre!
Avez-vous cette crainte? ou est-ce que je me pose trop de questions?

merci pour vos réponses

Allo, j ai une autre idee

1. Pour une premiere soiree avec lui tu es aussi bien ne pas aller labas surtout en sachant davance que tu risque d etre mal a l aise . sa va
etre pire .

2. Ta peur est plus dans le sens que tu veut pas que le gars pense que tu veut rien savoir de lui .
alors dit lui au gars que tu aimerais bien aller
prendre un café avec lui seul a seul au lieu d aller la bas ..

3. comme sa le gars ne pensera pas que tu veut rien savoir de lui hii

dit lui : jaurrait bcp aimer aller avec toi mais
j ai un imprevue !!! mais ont pourrait aller au resto ensemble demain quand dit tu ?
sa serais bien fun , pour me faire pardonner ..
loll
il dira ouiiiiiiiii
et tout est bien qui finit bien
bonne chance

ta le choix
moi je dis ne vas pas a cette soiree.
tu va depensse pour rien.
et en plus tu peux te retrouve avec ton ami ailleur que dans un karaoké.
moi je dis pas la peinne de te prendre la tete avec de gros thon.
depensse pas d energie pour rien.
ciao

Quand je suis invité à des soirées comme ça, j'ai un dilemne. Soit que je n'y vais pas et que je m'enfonce encore plus dans ma solitude et fuyant le problème ou soit que j'y vais et que je passe pour un idiot et alors mon estime sera encore plus basse. Malheureusement, je n'ai pas réponse toute faite.