Bonjour à tous ceux qui me liront (et j'espère qu'ils me répondront, c'est la première fois que je teste cette "technique" d'entraide)...
Je serai certainement un peu confuse, à cause du bouillonement de mon esprit et des réticences à tout lacher d'un coup.
J'ai 24 ans, en galère dans ma tête depuis quelques années mais arrivée en ce moment à une situation ingérable.
Les quelques recherches que j'ai faites me conduisent à penser que je souffre du trouble de personnalité évitante.
En effet, j'ai toujours (au moins les 5 dernières années) ressenti une grande peur face à tout ce qui m'est inconnu (personnes ou situations), accompagnée du sentiment que je ne serai jamais à la hauteur (ceux qui connaissent savent ce que je veux dire!). Cependant, j'arrive à avoir des relations normales avec mes proches, ce qui me sauve mais fait aussi qu'ils ne prennent pas vraiment mes problèmes au sérieux.
Actuellement, je me trouve sur mon premier poste, et je crois que les angoisses provoquées par les responsabilités que je dois assumer vont me pousser à quitter ce job... En réalité je n'arrête pas de changer d'avis sur cette possible démission, ça me semble impossible d'arrêter et impossible de continuer. Mon entourage me pousse à faire des efforts, persuadé que je suis capable et que ça me redonnera confiance en moi. Quant à moi, je me demande jusqu'où il faut repousser ses limites, et dans quelle mesure je suis "atteinte" (excusez ce mot!!!).
Voilà, un premier tour d'horizon pas vraiment rose, j'arrive pas à en dire plus pour l'instant, mais j'espère trouver des gens qui pourront partager mon expérience ou simplement me donner des conseils pour améliorer la situation...
Amicalement, ina.
Premier message
idem
Je viens de lire le message de Ina en espérant que nous puissions revenir sur ce fil, même si plusieurs jours se sont écoulés.
Je crois qu'à l'âge de 24 ans il faut "agir" le plus vite possible, car cet état ne s'arrange pas facilement et risque de devenir chronique. Je l'ai subi moi aussi et cela entraîne un retrait douloureux de toute vie sociale - et aussi familiale pour ma part. Facile à dire! J'accroche mon post à celui de Monique car j'ai 42 ans et nous sommes ds la même tranche d'âge, de plus mon fils de 13 ans souffre à présent d'anxiété généralisée, au point aujourd'hui d'éviter le collège sous prétexte de maux de ventre. (dois-je faire preuve d'autorité et le pousser?). Je fuis les situations qui me sont difficiles. Mais hier j'ai fait un truc d'exception, et j'ai sans doute ainsi avancer d'un grand pas. J'ai dû me shooter au tranxène la nuit qui a précédé. Je me suis forcée, tout en devenant dès la veille excécrable avec mon entourage, l'air rigide, en colère, de mauvaise humeur mais déterminée : j'ai engueulé ds le métro une bonne femme qui me marchait sur le pied sans le faire exprès. D'avoir fait une démarche première peut permettre de reprendre confiance un peu. Car plus je m'isole et pratique l'évitement, plus les gens affichent du mépris pour moi, surtout au travail. On finit par ne plus nous confier d'information, personne ne se confie à nous, et on est toujours en marge et à notre place nulle part. Il faut sortir de ce cercle infernal. Je crois qu'il n'existe pas "UNE phobie sociale et UNE sorte d'évitement, mais de multiples, ceci pour diverses raisons ou conduites d'échecs - à voir avec le psy.
Monique, j'aimerais aussi aidé mon fils. Comment t'y prends-tu avec ta fille? Peut-on échanger sur ce sujet car je culpabilise au lieu d'agir et de trouver des solutions. A + j'espère. Lili
Je crois qu'à l'âge de 24 ans il faut "agir" le plus vite possible, car cet état ne s'arrange pas facilement et risque de devenir chronique. Je l'ai subi moi aussi et cela entraîne un retrait douloureux de toute vie sociale - et aussi familiale pour ma part. Facile à dire! J'accroche mon post à celui de Monique car j'ai 42 ans et nous sommes ds la même tranche d'âge, de plus mon fils de 13 ans souffre à présent d'anxiété généralisée, au point aujourd'hui d'éviter le collège sous prétexte de maux de ventre. (dois-je faire preuve d'autorité et le pousser?). Je fuis les situations qui me sont difficiles. Mais hier j'ai fait un truc d'exception, et j'ai sans doute ainsi avancer d'un grand pas. J'ai dû me shooter au tranxène la nuit qui a précédé. Je me suis forcée, tout en devenant dès la veille excécrable avec mon entourage, l'air rigide, en colère, de mauvaise humeur mais déterminée : j'ai engueulé ds le métro une bonne femme qui me marchait sur le pied sans le faire exprès. D'avoir fait une démarche première peut permettre de reprendre confiance un peu. Car plus je m'isole et pratique l'évitement, plus les gens affichent du mépris pour moi, surtout au travail. On finit par ne plus nous confier d'information, personne ne se confie à nous, et on est toujours en marge et à notre place nulle part. Il faut sortir de ce cercle infernal. Je crois qu'il n'existe pas "UNE phobie sociale et UNE sorte d'évitement, mais de multiples, ceci pour diverses raisons ou conduites d'échecs - à voir avec le psy.
Monique, j'aimerais aussi aidé mon fils. Comment t'y prends-tu avec ta fille? Peut-on échanger sur ce sujet car je culpabilise au lieu d'agir et de trouver des solutions. A + j'espère. Lili
phobie sociale
Je pense plutôt que tu es atteinte de phobie sociale.
Surtout garde ton travail, prends rendez-vous avec un psychologue clinicien.
Et ne perds pas espoir tu n'as pas l'air d'etre tres atteinte puisque tu peux sortir.
BON COURAGE
Surtout garde ton travail, prends rendez-vous avec un psychologue clinicien.
Et ne perds pas espoir tu n'as pas l'air d'etre tres atteinte puisque tu peux sortir.
BON COURAGE
phobie sociale
J'ai 52 ans et j'ai été come vous et maintenant, je suis très bien !!!
Alors que faire attendre 50 ans ?
Non! mais c'est en forgeant qu'on devient forgeron, l faut tout gérer, les sorties, les rencontres, le boulot effectivement
Un psy peut aider à "conscientiser" et exprimer le problème.
Ma fille est ainsi...les chats ne font pas des chiens !
Du corrage, et de la tenacité, et une bonne alimentation, des complements de vitamines et minéraux un peu de yoga, sport léger...peuvent venir à bout au fil des jours de ce problème d'identité
A +
Monique
Alors que faire attendre 50 ans ?
Non! mais c'est en forgeant qu'on devient forgeron, l faut tout gérer, les sorties, les rencontres, le boulot effectivement
Un psy peut aider à "conscientiser" et exprimer le problème.
Ma fille est ainsi...les chats ne font pas des chiens !
Du corrage, et de la tenacité, et une bonne alimentation, des complements de vitamines et minéraux un peu de yoga, sport léger...peuvent venir à bout au fil des jours de ce problème d'identité
A +
Monique
similitudes
Bonjour Ina,
j'ai 30ans et j'ai toujours eu cette même sensation de ne pas être à la hauteur... le problème est de savoir si, confronté à la situation ou aux etrangers, tu parviens à la gérer ou pas... moi ce qui se passe c'est que je me trouve alors dans un etat de trouble assez tumultueux, que mon cerveau semble se rigidifier, et que je ne sais plus comment regarder en face les personnes... ce qui est horrible... si toi tu parviens à gerer mieux que moi la situation c'est différent, ce n'est alors qu'une question de confiance en soi...une courte psychotherapie et tu peux t'en sortir (mais faut trouver un bon psy) ou du yoga...quant à moi c'est une légère schizophrénie et c'est plus difficile de trouver des remèdes... t'inquiete pas c'est pas ton cas, tu n'as pas de délire...
yallav_h
salut
garde ton travaille surtout.
maintenent tu peux faire plein de truc.
deja ta la solution des medicaments d alle voir ton medecin de famille ou un autre pour qu il te donne des medics.
tu peux alle voir un psychiatre ou une psycologue.
je pense que ce que je peux te dire ces que sais long a pouvoir faire tout ces demarche vue que tu dis que tu evite toute cituation angoissante que tu ne peux controlé.
vasy doucment mes surments je crois que ces une bonne solution, le forum mes il y a pas de miracle sur le forum mes sa aide a comprendre un peu et qu il y a d autre personne dans le meme problemme relationelle avec les autres.
bye et bon courage
