dépendance émotionnelle

Je ne sais pas si je suis vraiment sage mais ça me fait plaisir quand même ce que tu me dis. Disons que j'ai appris comment faire pour qu'une femme soit amoureuse de moi. J'ai compris qu'il ne fallait pas trop montrer ses sentiments tout en ne donnant pas une impression de totale indifférence. Il faut trouver la juste dose. C'est comme une recette. Les femmes et les hommes fonctionnent à peu près pareil. Pour désirer une personne, il faut en avoir envie et pour avoir envie de cette personne, il faut qu'elle ne soit pas encore gagnée ou pas tout à fait. Il faut laisser planer une certaine ambiguïté. Ma vie sentimentale, quand à elle, va bien. Je vis avec une femme depuis plusieurs années. On fait tout ensemble. Je l'aime énormément mais ce n'est pas pour ça que je ne la laisserais pas partir si elle ne voudrait plus de moi et pourtant je ne le supporterais sûrement pas mais elle n'en saurait rien. Tu l'as dit toi-même, dès que tu gardais une certaine distance avec des femmes, elles t'aimaient et elles te trouvaient trop froid et dès que tu te montrais trop amoureux, elles ne t'aimaient plus. Ma compassion, comme tu dis, vient que je comprends ce que tu ressens parce que je sais ce que c'est que de souffrir en amour mais personne ne s'est jamais rendu compte quand j'ai souffert. Je garde tout pour moi et j'attends. Le temps joue toujours en notre faveur. Le temps fait tout oublier, ou tout au moins les cicatrices s'estompent énormément. Après une déception amoureuse, on est au plus bas mais quand on se rend compte qu'on a, avec le temps, oublié la personne qu'on avait beaucoup aimé, on apprécie encore plus la vie qu'avant.

Jack.

Non, elle ne veut absolument pas me revoir. Pourtant dieu sait que j'aimerais pouvoir te croire. Mais dans la situation actuelle, ça ne serait que me faire encore plus de mal. Par contre, je me demande si elle ne me fait pas payer pour qqchose qu'elle a vécu avant de me connaître.

Et oui, comme je l'ai expliqué dans un message précédent, je me comportais de manière compulsive avec les drogues, c'était tout ou rien.
Aujourd'hui je suis complètement sorti de la came, je fume c'est tout et seulement le soir. Dernièrement, quand je ne fume pas je prends des benzos, parce que sinon je ne dors pas à cause de mon anxiété. Il m'arrive régulièrement de me sevrer et d'arrêter pendant quelques mois, mais récemment avec mes tourmentes sentimentales je cogite encore plus. Ceux qui ont souffert d'insomnies savent bien qu'il n'y a rien de pire que de ne pas dormir. Certains soirs, j'aimerais pouvoir m'assommer pour arrêter de réfléchir.

Joe, tu vois bien quelle veut te revoir.
Non seulement tu es dépendant d'elle mais aussi de l'herbe!
T'as du chemin a faire mon vieux!

Vous allez pas me croire... Ce soir j'appelle mon dealer, il me dit qu'il vient de vendre son dernier paquet d'herbe à mon ex, ensuite je descend dans le quartier africain pour aller voir les gars qui vendent en rue. Ils ne sont pas là, parce qu'une équipe de télévision tourne un reportage là où ils sont d'habitude. Donc je décide d'aller boire une bière au café où je joue aux échecs et "PAF!" je tombe sur elle... elle était là avec une copine et deux mecs. A l'instant où j'écris ces mots je ne suis que haine et désespoir

Salut,

Je suis contente que tu ai lu ce que j'avais écrit! À ce moment là j'étais au plus creux et je penses que mes messages étaient assez noirs.

Je voulais te dire que 8 ans, 1 mois , 2 semaines... quand on aime une personne je penses que c'est toujours aussi souffrant.

Aujourd'hui il y a bien des questions qui trottent dans encore dans ma tête et les blessures ne sont pas toutes guéries mais ça va beaucoup mieux.

Les creux sont moins profonds et moins fréquents! Donc on s'en sort et j'oserai même dire qu'on peut retrouver le bonheur!

Et oui, tu as raison ça rassure de savoir qu'il y en a d'autres comme nous... Je suis sure que nous pouvons trouver des gens qui ne joueront pas et qui connaîtront la vrai valeurs des sentiments...

Et continu a parler quand çca va mal, c'est la meilleure chose qu'on puisse faire pour s'en sortir...

Luna

Salut Luna,
il se trouve que j'avais lu ton histoire, mais je n'ai pas su quoi te dire ce jour-là, peut-être parce que j'ai mesuré ce que cela doit être après huit années. Mon histoire est bien moins grave, parce que plus courte (quelques mois) et aussi parce qu'au moment de la rupture il n'y avait pas d'autre gars attendant son tour.

Mais sais-tu ce qui me console? C'est de savoir qu'il y a d'autres filles plus sensibles et entières comme toi. Avec qui je l'espère je pourrais un jour vivre pleinement l'amour, sans jouer...

Salut Joe !

C'est drôle car ce que tu vis et comment tu le vis ressemble beaucoup a mon cheminement.

J'ai souffert de problème de stress, d'anxiété et de panique dès mon adolescence. Après des années pas trop roses je me suis sortie de mes problèmes pour me retrouver quelques mois plus tard célibataire (apres plusieurs années en couple).

Ma peine a été horrible et mes remises en questions aussi (ça va mieux mais ce n'est pas tout a fait règlé). Comme toi je me retrouves incapable de jouer le jeu amoureux et hyper sensible.

Bref, j'ai l'impression d'être pas mal dysfonctionelle dans les relations amoureuses.

Mais je penses qu'il y a tout de même de l'espoir alors je penses à toi, je souhaites que tu prennes bien soins de toi et que tu retrouves ton équilibre.

Amicalement,

Luna

Salut Jack,
Voilà un jeu bien étrange que de ne pas pouvoir dévoiler complètement ses sentiments. Pourtant l'expérience me dit la même chose: "si tu aimes, ne le montres pas!" Mais pour quiconque est entier, c'est un comportement difficile à adopter. Je ne suis pas joueur et faire comme si qqun ne m'importait pas alors que j'en suis blême équivaudrait à vivre ds le mensonge. Quelle drôle d'idée! Ma petite expérience me dit aussi autre chose; toutes les femmes ne sont pas pareilles et j'en ai connu qui auraient bien aimé me voir plus dépendant d'elles. Mais comme par hasard, ce sont celles dont je n'étais pas amoureux. Ce qui me renvoie à ce que tu dis, c'est sans doute parce que je ne l'étais pas que j'ai pu garder cette distance si nécessaire.

Pfff, elles sont compliquées... Les relations entre hommes sont qd même bcp plus sincères et directes. Quelle rage! Toutes des... même ma mère! Et voilà comment on devient myso, bravo!

Donc le secret est là, ne pas montrer ses sentiments, sans vouloir m'encenser, je crois que je ne serais jamais très fort à ce jeu là.
Voilà mes dernières illusions qui s'envolent, c'est un monde bien triste et désenchanté que celui dans lequel nous vivons. Qu'avons nous fait de nos rêves de pureté et de nos idéaux romantiques? Quelle déception... dumoins jusqu'au jour où l'amour réapparaîtra comme ça, sans rien dire. Parce qu'il n'y a que l'amour pour se remplacer, il n'y a rien d'autre d'assez important pour combler le vide laissé. Ni le boulot, ni le sport, ni ce site, ni même ta précieuse aide, jack, j'en suis conscient. Ce ne sont que de fades substituts, des passe-temps qui sont à la rupture ce que le somnifère est à l'insomnie. Pourtant mon cœur est là, prêt à aimer, à bondir sur la première mignonne pour tenter de l'émerveiller et de lui arracher un sourire juché d'un oeil brillant et complice, avant de la conquérir. Et c'est à l'instant précis où l'on pense avoir tout gagné, qu'en réalité, on a perdu le plus important; l'idéal féminin. Après ce n'est que combats, victoires et finalement... déceptions et défaites. Une relation n'est qu'un champs de bataille où nous, soldats de l'amour, livrons toutes sortes de guerres, froides ou passionnées. Même l'acte sexuel, matérialisation des ces sentiments si forts, n'est qu'une bataille supplémentaire où à chaque fois l'homme remet en jeu son orgueil, sa dignité, sa virilité. Je ne dis pas ça pour moi car je n'ai absolument aucune fierté à ce sujet. Ce qui me blesse c'est que l'on puisse quitter pour cela, en dépit de qualités humaines. Je ne pense pas du tout ce que je suis en train d'écrire, je sais plus quoi penser, ni quoi faire pour rendre cette douleur plus supportable. Je veux mourir mais je n'ai pas le courage, je veux vomir. En fait, je la vomis. Ecartelé entre le désir et la haine, j'ai envie de la violer, de la battre et de la tuer, mais aussi de l'aimer, de la sentir près de moi et de la faire rire à nouveau.

Curieusement j'en suis arrivé à penser que si nous pouvions faire l'amour une dernière fois, longuement, avec comme accord tacite de ne plus jamais se revoir ensuite, je pourrais l'oublier sans difficultés, je serais alors guéri de mes blessures. Comme quoi tout ça n'est qu'une question d'orgueil.

Et toi Jack, quelle est ton histoire? D'où tires-tu ta sagesse et ta compassion? Ta vie sentimentale est-elle à la hauteur de tes espérances?

Tu te trompes. C'est toujours comme ça qu'une pesonne agit quand c'est elle qui a quitté. Tu n'y es pour rien. Elle veut te montrer que tu n'as aucune chance. C'est pour ça qu'elle est si froide. Elle sait très bien qu'il ne faut pas donner de faux espoirs à quelqu'un. Sûrement qu'elle est sûre d'elle. Je comprends que ça doit te peiner de la revoir ainsi avec ce comportement qu'elle a eut mais tu ne peux rien faire contre ça. Je sais que ça va être dur ce que je vais te dire mais il est possible aussi qu'elle te méprise parce que tu lui as montré que tu étais trop à ses pieds. Cependant, ça n'a rien à voir avec le fait qu'elle te trouve un manque d'intelligence. Il ne faut jamais montrer à une femme qu'on est fou d'elle. Il faut essayer de garder une certaine distance sinon, elle se croit supérieure à toi. Pour qu'une personne nous aime, il faut lui montrer qu'elle a de la chance de nous avoir donc, il faut qu'elle nous voye sur un piédestal. Tu peux continuer à discuter avec moi si tu as besoin encore de comprendre des choses.

Jack.

Depuis quelques jours je n'avais plus de ses nouvelles et je commençais à aller mieux. Mais hier j'étais avec des potes de classe en train de jouer aux échecs dans un café et elle s'est pointé. Elle est restée super distante avec moi. C'est vraiment moche, même si on est plus ensemble, on aurait pu garder une certaine intimité, mais là y'a plus rien! Je ne la reconnais plus. Pourtant même si je suis loin d'être parfait, je comprend pas ce qui la pousse à agîr ainsi. Je la fatigue, je l'énerve, je la dégoûte... je ne me rapelle pas avoir jamais eu ces effets sur qqun auparavant. On dirait qu'elle a voulu me faire payer qqchose qu'elle a vécu avant moi. Je me déteste pour ne pas être arrivé à la garder. Je ne suis peut-être pas assez viril ou pas assez intelligent, en fait je crois que c'est un peu des deux. Malheureusement ce sont deux choses auxquelles on ne peut rien faire... Si seulement je savais draguer, j'aurais vite fait de l'oublier! Mais comme ma vie sentimentale est désertique, je ne lui accorde que plus d'importance, c'est là tout mon malheur.

Les douleurs amoureuses dû à une rupture sont celles qui font le plus souffrir. Elles durent plus ou moins longtemps. Elles sont extrêment fortes sur le moment parce qu'on ne pense qu'à la personne. On se sent abandonner. On espère éventuellement encore un peu qu'elle revienne, qu'elle nous recontacte ou de la revoir dans des coins habituels. C'est ce qui rend la douleur très pénible. Par contre, étonnament, cette douleur qui était pourtant si intense, un jour, elle disparaît comme par enchantement. Et ce n'est qu'à partir de ce moment-là, qu'on arrive à trouver la vie belle et encore plus qu'avant. Quand on est amoureux, on a l'impression qu'il n'y a que cette personne qui peut nous donner un sens à notre vie et le fait qu'elle ne soit plus là, on n'a plus goût à rien. On se dit : mais pourquoi vit-on ? Je sais que j'aurais beau essayer de te rassurer en te disant que ce n'est qu'un dur moment à passer, mais tu te diras, je souffres toujours et tout aussi fortement. En tout cas, quand on est amoureux, on est obligatoirement dépendant de la personne aimé. Il est impossible d'être totalement indépendant comme je te l'avais dit parce que cette personne peut nous rendre le plus heureux du monde ou le plus maheureux. D'autant plus, si tu es quelqu'un de romantique et sensible mais même pour les autres, c'est très dur. Tout le monde se sent abandonner après une rupture qui n'a pas voulu.

Je te souhaite du courage.

Jack

Je rajoute un petit mot parce que j'ai encore besoin de parler. D'abord, merci à vous deux pour vos réponses et votre gentillesse, ce site devrait être décrété "d'utilité publique". J'ai l'impression que pour beaucoup d'entre nous, c'est une véritable soupape parce qu'un lieu de contact privilégié. En tout cas, ça l'est pour moi, y'a pas de doute.

Je me remets, comme bcp d'autres ici et ailleurs, d'une relation. Les premiers jours après la rupture ont été difficiles, ils le sont toujours. (début de ma plainte)Mais maintenant le problème vient plutôt de mes nuits... blanches si je ne prends pas de "benzos" et si je ne m'endors pas en serrant le plus gros de mes coussins contre moi. Drôle de substitut à l'amour, qu'un coussin! Le plus dur vient au réveil, surtout lorsque j'ai rêvé que nous étions encore ensembles, que tout allait bien. Alors c'est ma journée qui est foutue, je remets toute mes obligations à plus tard et la gorge serrée, j'hante durant de longues heures les forums (fora, au pluriel?) de psychomédia dans l'expectative d'une réponse amicale, d'un message encourageant.

Je sais que je m'en remettrai vite, mais je suis déçu, c'est tout. A chaque fois que j'arrive à sortir avec une fille qui me plaît, elle finit par fuir, laissant derrière elle un bout de mon coeur calciné. Peu à peu, c'est ma conception de l'amour qui change: Bienvenue à l'âge adulte où, lentement mais sûrement, le pragmatisme remplace le romantisme, où les déceptions remplacent les illusions et où la vieillesse remplace la jeunesse (j'en fait un peu trop, je sais. Mais quand le blues est là...)

Il faut que je trouve la force de continuer pendant quelques années, le temps d'obtenir mon diplôme et de me créer une situation. Alors peut-être que je serais plus digne, plus sûr de moi, moins dépendant... En attendant, privé de poésie, je me ferai l'armure de mes sentiments et à coups d'épée, j'assassinerai le souvenir de mes amours perdus. (comme c'est jôli!)

Vous sentez pas obligés de répondre, y'a de toute manière pas grand chose à dire si ce n'est d'attendre... et de consulter ;)

Jack a raison. On peut se sortir de toutes phobies, en fait on peut se sortir de tout si on travaille sur nous et ça demande de la patience, un vouloir très fort...et souvent de l'aide. Tout comme on ne naît pas anxieux. C'est notre personnalité qui se forge ainsi à travers tous les événements de notre vie.

Alors à toi de choisir comment vivre ta vie, et pour cela bien t'outiller. Tu ne t'en trouveras que tellement mieux, tu verras. Bonne chance !

Hélène

Je ne sais pas si ton comportement à un lien avec l'inceste que tu as fait avec ta mère. Par contre, le fait que tu sois extrêment sensible, que tu reçois les émotions 10X fois plus fortement que les autres, doit t'amener à chercher des femmes qui te réconfortent. Tu dois rechercher en elles, leur instinct protecteur. Ca peut créer un très forte dépendance affective. Pour mieux te comprendre, il faudrait normalement que tu voyes un psy. Tu as dû avoir des blessures dans ta vie qui ont eu du mal à cicatriser et qui se sont, par la suite, accumuler. On ne naît pas anxieux. Il est très possible de ressortir d'une phobie sociale, de la timidité, de l'anxiété et du manque de confiance qui va avec. Il faut du temps et se ressourcer psychologiquement. Tu pourras retrouver un vie sentimentale et autre plus normale quand tu te sentiras plus stable et plus fort. J'aurais bien voulu plus t'aider beaucoup plus mais je ne suis pas psy et personne ne pourra vraiment t'aider à travers un forum. Il y a beaucoup trop d'évènements que tu as vécu dans toute ta vie et qui t'ont marqués ou que tu as refoulés et qu'il va falloir que tu les fasses ressortir.

Jack.

j'ai entendu dire que tout ces théories sont fort remises en question aujourd'hui. Mais se peut-il qu'il y ait un lien entre la relation presque incestueuse que j'ai entretenu tard avec ma mère, et ce que je vis à chaque fois que je tombe amoureux?
Comme je l'ai dit avant, je cherche un moyen de briser ce cercle vicieux qui m'empêche de vivre mes histoires sentimentales "normalement". Alors je cherche... Est-ce l'absence de mon père? Ou sa frivolité? Est-ce la forte personnalité de ma mère? Où est la réponse? Il y a-t-il une réponse?
En tout cas il y a DES problèmes (manque de confiance, dépendance affective, complexes, phobie sociale, comportement compulsif avec les drogues, anxiété généralisée et les ulcères qui l'accompagnent) Je crois que sans trop chercher je pourrais poster dans tous les forums du site!
Bref de quoi exploser! J'en ai marre, je n'arrive pas à vivre pleinement cette vie qui pourtant pourrait, j'en suis sûr, être tellement mieux, plus simple et surtout tellement plus remplie d'amour. Alors si vous le pouvez, aidez-moi, rassurez-moi, j'en ai grandement besoin...

Ca en fait faire des choses absurdes. L'amour provoque de très intenses décharges émotionnelles. Il faudrait être en fer pour ne rien ressentir. Il est évident que l'amour n'est qu'instinctif. Il provoque des émotions très forte ( amour, haine, jalousie ) mais on peut pas être indifférent quand on est amoureux. A partir de ça, on ne peut pas être totalement indépendant de la personne qu'on aime. On peut éventuellement se contrôler, refouler ses émotions, essayer de tester l'autre en feignant l'indifférence pour analyser son comportement et voir s'il nous aime aussi, mais on ne peut pas rien ressentir. Pour se faire désirer d'une personne, il faut cependant essayer, tant bien que mal, de se contrôler. Ne pas montrer trop de dépendance. Ca ne sert à rien. La personne aimée ne peut pas plus nous aimer parce qu'on est à ses pieds, au contraire. Pour aimer quelqu'un, il faut l'admirer, se dire que c'est une chance de l'avoir, donc il faut savoir jouer un jeu, quitte à éventuellement le perdre et laisser la personne aimée s'en aller.

Jack.