Qui consulter ?

J'ai 28 ans, je suis très timide et cela me pose de gros problèmes. je n'ai pas de petite amie. J'ai quelques amis que je vois rarement. Je suis donc souvent seul. Mon plus gros problème est avec la fille. Je suis très angoissé par leurs précense et j'en perds tous mes moyens. Et je passe pour un super nul.
Il y a 3 ans j'ai tenté de voir un psychiatre pour ce problème. J'ai eu 3 séances mais cela s'est mal passé : le psychiatre me demandait de dire tout ce qui me passait par la tête. Or je ne savais pas quoi dire, rien ne me passait par la tête. J'avais l'impression d'avoir la tête vide. Je n'étais pas du tout à l'aise. J'ai préféré arrêter après 3 séances.

Aujourd'hui j'ai envie de retenter l'expérience mais cela m'angoisse. J'ai peur de ne pas savoir quoi dire pendant les séances. De plus je ne sais pas qui consulter ? (psychothérapeute, psychologue, psychiatre, psychologue, psychanalyste). Dois-je choisir un homme ou une femme ou cela n'a pas d'importance ?

Merci de vos conseils.

Giga

Identifier "son" problème est une chose, m'étant "animé dans mon environnement passé du mieux que je pouvais (immense solitude et violence des institutions de "protection" de l'enfance... beurk...), j'en suis encore aujourd'hui à tenter de me reprogrammer... devenir qlq'1 de "normal" comme toutes les personnes qui me rejeteraient (ou plutôt qu'il m'est difficile de me dire que je peux m'ouvrir à leur possibles -et qu'ils m'y accepteraient... et pas qu'on se dise, "c'uilà a un problème"...)... je pense que cette tentative est vaine... on est ce qu'on est avec tout notre gros paquet, celui-ci ne nous lâchera jamais mais arriver à vivre en marchant à côté de son propre vide est de l'ordre de la prouesse, l'oublier une folie.... je fais le choix de vivre maintenant en tâchant de dissocier ce qui se passe maintenant avec mes attentes passées (qui en fait ne sucitent que des peurs, puisque l'on en retirera peau de balle - désolé pour l'écart d'écrivage...) et des peurs que je vis maintenant je les vis à fond, pcq pas le choix, c'est le seul moyen d'identifier... à tous ceux qui suivent leur traitement depuis x mois, j'ai envie de vous demander si vous désirez revenir à la période qui a précédé les diverses prises de concience ?!
Avant d'arriver à mettre de l'ordre dans ce brouhaha silencieux (...) il faudra je pense fiche un max de désordre et garder la discipline d'afficher une rigueur et un maintient de tout les diables... notre médoc nous le permet, serait-ce là dessus qu'il faut compter ? reprogrammer notre relation à nous même qui est en qlq sorte vide et par la force des choses conflictuelle devant tant d'imagination et de possible que nous présentent (!!!)les "autres"... Rien à fiche d'avoir un problème que j'ai 16 ans ou 50, j'identifie mon pépin en me disant que toutes les balises que j'ai mises face à l'adversité, c'est une intelligence et une force qui m'appartient... je pense qu'il faut avoir le courage d'accepter un jour de pouvoir perdre et tenter de gagner son propre respect avec soi, quant aux "autres" serait-ce vanité, orgueil ou envie que de vouloir forcer les idées qu'ils auraient de vous, de moi... nos pensées et sentiments sont propres à chacun et on ne peut les forcer chez les ou l'autre... ça leur appartient comme à nous... quelle rivalité que de chercher à se faire aimer de tous (ce propos reste à nuancer...)....
Voilà tout du blabla pour avancer, en tout cas pour moi...

Plein de bonnes choses à tous... j'espère que aujourd'hui vous en crever moins qu'hier et plus que demain.
Marmouset.

Salut Catherine et tous les autres du forum,

J'ai commencé depuis quelques jours le Zyprexa... considérant cette médicaion comme momentanée, je pense qu'il y a des professionnels qui ont enfin visé juste et veillé à ne pas "camer" leurs patients... pour ce qui est de la phobie sociale, je me considère souvent (tout dépend du moment) comme un handicapé de la relation, qu'elle soit pro ou perso (voire avec les gens qui m'aiment... que j'ignrais même qu'il y en avait...)... Le problème aujourd'hui doit être traité c'est à dire mon associabilité, celle-ci ne me permettant pas de me réaliser dans mes contacts avec les autres surtout moi-même, presque "jaloux" ou "envieux" voir peureux de voir des gens autours qui parle entre eux et de n'y pouvoir prendre part... je pense que mon médoc pourrait m'aider à règler des problèmes sous-jacent à mon associabilité, qui n'est qu'un symptôme d'autres problème profond (et "Dieu" sait que je viens de loin)... vous êtes tous debout et voulez vous soigner... pensez-y c'est une force... pour la suite inspirer de grosse bouffées de bonheur...
Je voudrais continuer à blablater sur ce site...µ
à tous, bonne chance !
Marmouset

Chaque cas est individuel bien entendu , mais pour moi la meilleure démarche est celle d'apprivoiser ses peurs ou ses attaques phobiques par des Ateliers d'expérimentation ou de mises en situation où petit à petit on expérimente des situations::; parler devant un groupe,affronter le regard des autres phobiques, parler de son cas ,,etc jeux de rôle ....
Une démarche pro-active quoi! dans des ateliers de groupe avec d'autres phobiques!
Parlez -moi plus de ses interminables confessions devant le psychologue : on ne regle rien..on nne fait que se plaindre!

salut...
1- à la question qui consulter, je t'en pose une autre: vis à vis de qui, homme ou femme, te sents tu le plus mal à l'aise?

2- Psychologue, psychiatre, psychothérapeute?
D'abord écarte de ton choix le psychothérapeute: celui-ci n'a pas fait d'études de psycho et n'a aucune reconnaissance de la profession: c'est un charlatant.
Ensuite le psychologue ne prescrit pas de médicaments, sa thérapie se base sur la mise en mot: il faut parler le symptôme, le transformer en mot, le réveler à la conscience.
Enfin tu as le psychiatre qui est avant tout médecin, c'est le distributeur de bonbons-placebo. ça ne sert à rien mais c'est rassurant.

3-pourquoi est-il important de continuer la thérapie même si tu n'as rien à dire?
Le fait de ne pas savoir quoi raconter au psy dans les premières séances est un mécanisme de défense qui a un nom: c'est le phénomène de résistance. tout le monde passe par là mais il ne faut pas lâcher prise.

4-Conseil:
Dans la phobie sociale ce qui est dur à gérer c'est le rapport à l'autre, son regard insoutenable. c'est pourquoi le type de cure à choisir doit s'axer davantage vers les thérapies comportementales. il faut éviter dans un premier temps la démarche psychanalytique, allongé sur le divan et préferer à celle-ci une thérapie de face à face à 2 ou en petit groupe...

et voilà...à+

Moi aussi, des fois je n'arrête pas de penser à mon problème et ça m'empêche d'avancer parce que juste de savoir que j'ai un problème, on dirait que ça me conditionne à continuer dans le même schéma de pensées qui m'a toujours bloqué.

C vrai que c une belle progression de se rendre compte du problème, mais la vie devient encore pire car on sait ce que l'on a mais même avec un psy j'arrive pas a trouver de solution. Depuis que j'ai mieux compris le problème j'y pense encore plus tout le temps et ma situation c qd meme améliorée, mais c un tel poids que ca me démotive pr la vie. Qd je vois vos témoignages je me dis que ke je serai peut etre encore comme ca dans 10 ans et ca c pa possible ca me prendrait tro la tete

Salut Rudolphe. Je te dis tout suite de ne pas prendre mal ce que je vais te dire. Tu dis que tu as 16 ans et que tu as gâché ta vie?!?!?! Tu es encore bien jeune tu sais. Et compte toi très chanceux d'avoir réalisé que tu as un....problème. C'est le temps où jamais de trouver des moyens pour t'en sortir. C'est le meilleur moment, car tu dois être encore à l'école non? Alors tu as le temps de rencontrer des personnes pour t'aider, et il y a surement plein de ressource à ton école pour en parler. Profites-en, c'est le moment où jamais. Moi j'ai 23 ans et j'ai commencé à me rendre compte que j'avais un gros problème ce printemps seulement. J'ai réalisé que j'avais seulement 1 ou 2 vrais amis, que je ne vois que quelques fois par années. Je suis incapable de créer un lien avec personne, ça me rend très mal à l'aise de parler avec les gens, surtout quand ils sont plus grand que moi. Je me sens tellement minus tu peux pas savoir. Je voudrais bien me faire aider aujourd'hui, mais plusieurs choses me manque. Le temps et l'argent. Je travail toujours, car j'ai un appartement et un auto à payer.Je vais bien finir par trouver le temps, mais pour l'argent, c'est une autre histoire. Alors, pendant que tu as plus ou moins de responsabilité, vu ton âge, va voir des gens qui vont t'aider avant qu'il soit trop tard.

Bonne chance

Tu vois jcrois pas que ce soit possible de trouver l'origine d'un problème comme ca. J'ai 16 ans et je viens de me rendre compte à quel point j'ai gaché ma vie et comment je continue à la gacher encore plus. Mais de là à trouver l'origine qui permettrait d'en trouver l'origine...

moi aussi j ais vue une psychologue et j ais pas pue fait plus de 6 seance environs je tremblais comme une feuille a la dernier et je m en suis pas cache je lui est dit .
le psychiatre lui il donne des medics et ces une tres bonne chose et il peut oriente vers une psychologue .

pour ce qui de cette peur qui nous pompe la vie et tout n autre energie ,la psychologue m avais dit que ça me coutais et ça me coute d affronte les autres ,donc ?
qu est ce qui pourais nous remplumé en energie pour affrontté les autres
tous comme toi j ais la tete vide par moment je sais vraiment pas quoi dir au autre .
bye et bonne chance

Comme vous je souffre de phobie sociale
Pour moi je fais une thérapie avec un psychologue, ce que j'en retient c'est qu'il faut comprendre ce qui a causée cette situation.

Je sais que c'est dur mais espoir

Bonjour giga

Moi aussi je souffre de phobies sociales comme toi malgré que je me suis améliorer depuis que je suis jeune. J'ai seulement 23 ans et j'ai encore beaucoup de chemin à faire pour me libérer de cette prison en permanence. C'est la phobies sociale qui m'a emmené vers la dépression, l'anxiété, les idées suicidaires etc... Aujourd'hui, j'ai beaucoup de mal à me trouver un travail convenable pour moi et mon problème. Présentement, je travail dans le domaine de la restauration et je me considère incapable de travailler dans le public. Ça me cause beaucoup d'anxiété car il faut que je subienne à mes besoins seul car j'habite seule en appartement.

Concernant ta question si c'est mieux un psychiatre, un psychologue etc... Je peux te dire que j'ai rencontrer des psychiatres et je n'ai eu tout comme toi aucun succès avec eux. J'ai eu des psychotérapeutes aussi mais il me semble que je n'ai pas trouvé de bon à date. Alors malheureusement, il faut chercher pour avoir de l'aide et c'est cela que je trouve innaceptable. On souffre, et on arrive même pas à trouver de l'aide convenable.

Mais par contre, dépendamment d'où tu habite, je pourrais te diriger vers quelques ressources. Alors j'aimerais beaucoup correspondre avec toi ou que tu me donne de tes nouvelles...

À bientot,

CAtherine