mon boulot me rend depressif

bonjour
Je me presente comme un hypersensible de 39 ans qui a des difficultées monstres d'adaptations à mon milieu de travail. Cette sensibilité transpire et fait de moi quelqu'un de vulnérable à la méchanceté des autres. J'éprouve des problèmes a me faire des amis et ainsi qu'a me faire respecter. Cette situation me désespere car ce boulot bien rénuméré est indispensable à ma qualitée de vie.Pourtant ma conjointe me dit sociable et homme de bonne volontée. Je ressens toujours cette vive amertume face a mon incapacité de me defendre verbalement. Je me pose la question...Suis-je un mésadapté social? Japprecierais une lecture approprié ou un conseil de vie sur la facon de tracé une avenue qui me rendrait plus heureux.
merci a l'avance

Bonjour Luna,
Tu as, a mon avis, saisie une grande partie de ce qui me fait defaut par cet extrait et je te cite :
"C'est difficile à expliquer mais peu à peu une sorte de terrorisme psychologique s'est installé. Ça m'a mené à de gros troubles d'anxiété et aussi à beaucoup de cupabilité parce que je pensais que je n'avais pas su faire ce qui fallait pour que cette situation n'arrive pas. "
Changer de travail pour moi aurrais p-e des effets contraire et en cherchant un peu plus profondément je vois que ce mal a l'aise que je vis a deja été ressentie dans d'autre circonstance que le boulot. Je sais, par contre, que la peur du rejet et de me sentir ridicule m'empeche d'avancé vers les autres. On dirait une gene excessive lié a une sensibilité extreme. Comment me guerir? Pour l'instant je nage dans l'obscurité. Merci pour ta reponse

Salut,

Je trouves cela très bien que tu exprimes tes sentiments et que tu puisses les écrire. Je ne sais pas si il s'agit de la même chose que toi ce que j'ai vécu mais ça se ressemble.

Je suis une personne qui veut être acceptée, aidée les autres et être gentille. Il ya 3 ans je me suis retrouvée dans un milieu de travail qui me stimulait vraiment et j'étais très entousiasme. Malheureusement ça a joué contre moi.

J'ai fait face à des collègues de travail qui étaient tout aussi entousiasmes que moi et qui m'ont bien acceuillis. C'est difficile à expliquer mais peu à peu une sorte de terrorisme psychologique s'est installé. Ça m'a mené à de gros troubles d'anxiété et aussi à beaucoup de cupabilité parce que je pensais que je n'avais pas su faire ce qui fallait pour que cette situation n'arrive pas. Ça m'a pris beaucoup de temps, de support pour m'en remettre et j'ai pu finalement changer de millieu de travail ce qui m'a beaucoup aidé.

Aujourd'hui j'essai de comprendre comment je ne dois pas accepter tout des gens et que plus jamais je ne resterai dans un millieu de travail comme ça, c'est une question de respect envers moi-même. Ce n'est pas vraiment nous les problèmes (Les gens trop bon) c'est ceux qui profitent de cette qualité qui sont nuls. Apprendre à se défendre verbalement est peut-être une solution mais ça ne règle pas le problème d'un millieu de travail malsain. Je sais qu'il y a d'autres endroits ou le respect individuel et le côté humain sont priorisés et ou des comportements d'abus entre employés n'est pas toléré. Peut-être devrais tu toi aussi trouver un millieu plus sain pour travailler. Car je ne crois pas que le fais que tu sois sensible fais de toi un faible, je suis sensible et en même temps forte et personne n'a le droit d'exploiter mon côté sensible contre moi.

Mon discours pourra te paraître peu clair mais c'est parce que le genre de situation que tu vis m'enrage et j'aurais tellement à dire.

Bonne chance

Luna

moi pareille
on a l inteligence et pour ten les etres comme eux ne save pas en fair profite ces quoi ce monde stupide ou que le meilleur a tous ce qui veux .
on pourais tellement vivre mieux et avoir plus d egalite mes non ces le contrere ce le vice qui l emporte la soif de fierté d etre au dessus de l autre les gens ferais tous pour etre dans le groupe des gagnans stil les bandes il faut etre comme la bande sinon on est rejeté et eparpillé comme ces pauvre clochard qui ne croive plus a la societe mes eux aussi son rentre dans le jeu de la bande car il essais de ce resemble meme si personne, en a concsience
bye

Je suis depressive depuis un an, ai des problemes similaires aux tiens. Un medecin generaliste humain a su m'ecouter et me diriger vers un bon psychiatre. Depuis, j'ecris TOUT. C'est a dire : mes peines, souffrances, coleres, joies, desespoirs, etc. en me relisant, je comprends mieux ma depression et mon medecin m'aide en ce sens. Je te souhaite beaucoup de courage, patience, et de reflexions. Tu arriveras a modifier ta personnalite. Aie confiance en toi. Faire le vide interieur pour pouvoir renaitre et vivre en souriant. amicalement. aquatrine

Bonjour Denis

Moi aussi je ne suis pas capable de me défendre verbalement, je suis entrain de lire une livre avec des exercices que tu pourrais pratiquer avec ta conjointe le livre s’intitule (S’affirmer et communiquer) de Jean-Marie Boisvert et Madeleine Beaudry dans les éditions de l’homme.
En espérant que ce livre pourra t’aider.

Fade

Voici une lettre que j'avais ecrit il y a quelques temps, afin de défouler mon ressentiment..
22 dec 2000
3:13 du matin
J'essais de me comprendre, j'ai eu il y as quelques mois des fantasme violent a l'egard des mes copains de travail, pourtant je sais pertinement que la plupart sont pas si mechant quil le laisse croire, je suis, je crois un bon gars incompris qui se refugie derriere sa stature qui le protege tant bien que mal. D'une part je me sens faible et incapable d'affronter leur mechanceté, d'ailleurs ca toujours été un probleme chez moi meme etant enfant, et d'autres part je veux des amis qui serais comprehensifs le gout de me sentir accepter est omnipresent. Je ne comprend pas bien pourquoi ai-je tant besoin des autres, pourtant je tiens un discour rancunier face a la plupart d'entre eux. Quelques fois je vois en moi une autre personne qui est accroupi dans mon ame seul, isolé dans un coin, triste et souvent en larme, je renie ce personnage fragile, qui me contredit souvent, je me surprend meme a lui parlé a haute voix, p-e suis-je devenu parano, ou quelques chose comme ca. La mechanceté du monde en general me fait sentir coupables d'etre en vie, souvent quand je vois des enfants mourrir de faim j'ai honte de faire parti de la race humaine, j'ai un degout marqué pour l'argent car il fait tant souffrir. Je me considere chanceux d,avoir tout ce que j'ai, mais en meme temps j,en ressens de la culpabilité. J,imagine quelques fois un monde meilleur ou la faim, la soif et la haine serait troqué contre l'amour, le partage et l'amitié pourtant je crois sincerement que mon monde n'aurrais que moi d'adepte. Pourquoi toujours se sentiment d'altruisme alors qu'en fait je ne fait rien de vraiment concret pour les autres? la deception je crois. Je ne pense pas au suicide mais j,avou que dans ma vie cette idée ma traversé l'esprit a quelque reprise. Presentement le sommeil me fuit comme les humains en general. Si j'y reflechis un peu , jaurrais surment une adepte dans mon clan, je parle de Nathalie ma compagne de vie, c,est un etre de lumiere qui rempli ma vie de joie car souvent elle tient un discours semblables au miens. Lidée premier de ce texte etais un genre de defoulement afin exhorté cette hantise des autres en general et j'ai cru bon de le partagé car il me porte a des reflexions humaines