Hello,pas évident,ton cas,à vrai dire aucun cas n'est facile.
Et certaines choses nous font comprendre qu'on est peu sur cette terre,je vis plus ou moins la même chose que toi je me suis pas mal reconnu dans ton récit,même si c'est l'inverse , je suis un homme qui vit la même situation , en couple depuis un an et c'est identique ,à quelques détails près,hier j'ai croisé la mort en voiture sur l'autoroute , et quand je suis rentré,je lui ai expliqué ma rencontre avec la mort,sa réaction était à glacer le sang.
Rien à fiche que j'aurais pu y rester avec ma. Fille de 12 ans qu'elle déteste je ne sais pourquoi,nous avons chacun des enfants ,j'ai accepté les siens sans me poser de questions,en revanche elle n'accepte pas ma fille,ça me tue à petit feu.
Allez courage et je te souhaite le meilleur avenir
salut, je saais pas ou tu en
salut, je saais pas ou tu en ai avec ton histoire, j'ai vecu la meme chose, juste te dire que c elle qui est partie malgres mes demande de penser aux enfants, au bout de 1 mois je me suis repris et commencer une vie a 200 alheure, jai rencontré une fille belle geniale interressante et plus jeune que moi, qui a out changé. le top em terme de relation, qd elle a su pour la fille elle a souffert comme une malade , me supplier de la reconisdéré, ce que jai fait apres qlq semaines pour le bien etre de mes enfants. aujourdhui je suis retourné avec ma femme mais le quotidien est difficile, je regrtte davoir perdu l,autre et ma femme souffre toujours , ca crée de veritable disputes, plus de confiance cest dur a avaler.mon conseil, continuer votre vie et provoquez votre destin, le meilleur est a venir, ya des personnes geniales sur notre chemin qui nous attendent, voila
Comment le quitter
Bonjour sa feras maintenant 10mois que je suis dans une relation au début tous allais pour le mieux quelquentem après je commençais a sentir qu'il s éloignais de moi on se vois toujours mais le probleme il ne m envois plus chez lui sachant qu'avant il le fessais on se vois que chez moi et quelque rate fois il passe la nuit je les plusieurs fois quitter et par l suite j y suis toujours revenu lorsqu'il me disais que les choses changerais mais aujourd'hui je supporte plus cette situation a chaqu fois que je me plein il trouve que jai pas de raison de le fait que je suis sur qu'il me quitteras pas mais vraiment je sais plus quoi fait et quoi pensee et lorsque je me rend chez lui sans prévenir les Virgiles de la résidence me dise que maintenat personne ne vie a l appart que j avais connu au paravant
Trouve le courage de le quitter
Je te conseille sincèrement de le quitter. J'ai eu des relations avec deux hommes de ce genre là. Une de 3 ans et une de 4 ans. Des humiliations, des mots méchants, égoïstes cruels jamais contents etc. A chaque fois ils revenaient en s'excusant et en prétextant m'aimer et qu'ils voulaient changer. Mais en réalité aucun d'eux n'a changé. Ce genre de personnes sont appelés "manipulateur", "pervers-narcissique". Ils ne pensent qu'à eux et n'aiment pas. Même les psychologues ne peuvent rien pour eux. J'ai du voir une psy après tout ça et c'est elle qui me l'a expliqué. Ce genre de personnes n'aiment que leur propre ego. Ils n'ont de respect et d'amour pour personne et ils n'accordent que de la valeur à eux-même. Si tu restes avec lui, il va te pomper toute ton énergie positive et va te vider de toute vie. Tu va perdre toute confiance en toi, et va finir par devenir dépendante de lui (si ce n'est pas déjà le cas). Il ne t'aime pas je te le promets et je suis désolée d'être aussi dure mais je pense que tu es dans une situation dangereuse et que tu va détruire ta vie si tu restes avec lui. Car crois-moi il ne te quittera jamais. Ce genre de personne ne savent pas vivre seules et il continuera a te persécuter et te demander pardon (cercle vicieux). Et le jour ou tu partiras (je t'encourage à le faire), il se trouvera une autre proie à démolir. Je pense que ce message te fera de la peine, mais j'espère pour toi que tu trouveras la force de t'en aller. Parles-en à ta famille et à tes amis et demandent leurs de t'aider à te sortir de cette situation. Tu devrais t'interdire de le revoir et te faire violence. C'est lui qui peut pas vivre sans toi, parce que si tu pars il ne peut plus s'en prendre à toi et flatter son ego. Ces gens là sont des dangers, des personnes à fuir à ton pris. Il n'y a aucun espoir ni possibilités de construire une relation avec une personne comme ça. Des hommes biens, qui t'emmèneront au restaurant, te dirons que tu es belle et te feront l'amour avec respect il y en a. Ne te dévalorise pas et n'accepte pas de te rester dans une situation aussi malsaine. Je ne serais même pas surprise si tu me disais qu'il est violent physiquement avec toi. Crois-moi, la seule solution est de partir.
Ma Puce Je te Conseil d'en
Ma Puce Je te Conseil d'en parler avec ton mari peut ètre il te comprendras et t'aidera a tourner la page
franchement ma chérie quitte
franchement ma chérie quitte le avant que tu n'ais le coeur en lambeau c'est pas facile et je le sais mais qui ne risque rien n'a rien courage pupuce
Quitte le il ne changera
Quitte le il ne changera jamais. Tu vas user ton coeur, ton corps et ton esprit pour rien.
je suis dans une impasse émotionnelle
Bonjour, je suis en couple depuis un an avec un homme que j'aime. Je sais que je suis encore jeune et que j'ai tout mon temps, seulement voilà, notre vie de couple est devenue pénible.
En effet, j'ai beau tenter de lui témoigner toute mon affection, et faire d'immenses efforts pour lui, il ne semble jamais en faire de même. C'est un homme qui est un véritable enfant, et extrêmement égoïste. J'ai quelques situations à décrire éventuellement, si cela peut vous aider à cerner le personnage.
En premier lieu, voici quelques exemples en lien avec des journées spéciales
la veille de la saint-Valentin: je lui offre des chocolats, mais il ne les mange pas et grimace en m'avouant qu'il ne les trouvait pas assez sucrés. Il m'avoue ensuite qu'il n'a prévu aucun cadeau de la saint valentin. Une semaine plus tard, il m'informe qu'il a un cadeau, et se sent obligé de préciser que c'est un bibelot issu d'une friandise achetée au hasard. Je n'ai toujours pas vu l'ombre de ce cadeau.
notre premier anniversaire: je pars me faire maquiller. Le résultat est visible, je me trouve moi-même jolie, ce qui est rare, et aucune remarque, jusqu'à ce qu'une amie lui dise de commenter. "c'est pas moche". Lui demandant pourquoi il n'emploierait pas plutôt le mot "jolie", il me répond que c'est par habitude. Encore un peu plus vexée, je demande des précisions: "c'est ce que je dis à mon frère quand il me fait chier en voulant me montrer un truc". Super. Et plus tard, j'ai finalement un commentaire sur le maquillage et ma tenue: "il n'y a pas une zone un peu blanche quand même sur ton visage?".
Hormis ces journées, il y a de manière globale les fois où je me rends chez lui pour passer la journée ou une partie du week-end, en général après une soirée étudiante qui marque les vacances. Et là, avant de rentrer dans le domaine de la vie sexuelle, il passe souvent plus de temps sur ses jeux vidéos qu'avec moi. Si encore il travaillait, étant donnée la filière exigeante qu'il suit tout comme moi, je comprendrais... Quand enfin il travaille, je ne dois en aucun cas le déranger, s'il ne travaille plus autant, c'est parce que ma présence le distrait. Quand il joue, je ne peux pas exiger un regard de sa part ou faire de remarque négative sur sa façon de jouer, ou le conseiller (je m'y connais aussi en la matière), il me répond de manière agressive. Sa famille est adorable, mais je crains qu'elle ne suffise pas à rendre ces occasionnelles visites plus agréables. D'autant plus que, dès que mon tour vient de travailler, c'est avec un immense plaisir qu'il quémande puérilement et constamment mon attention.
Maintenant, passons à la vie sexuelle, car là aussi, il y a à dire. La première fois, timide (et vierge), je me suis motivée en me disant que je devais être à la hauteur, et ai acheté une nuisette. Je me suis mise sous la couette, l'ai attendu. Il m'a vue, s'est allongé et n'a rien fait au début. Je pouvais comprendre, première fois, stress... Mais le problème est surtout survenu quand nous avons essayé plus tard. Le fait qu'il ne sache pas maintenir son érection indéfiniment, je peux le concevoir. Cependant, mon cher et tendre a semblé penser que me faire l'amour voulait dire me "palper" là où le voulait. Je suis en effet dotée d'une (souvent pénible) très généreuse poitrine, et s'il prétend s'en moquer, il n'a d'yeux que pour elle et mon postérieur. C'est donc frustrée et même la poitrine douloureuse que je ressortis de cette expérience. Sans attendre je lui fis la remarque, et je décidai et lui annonçai qu'il y aurait DEFINITIVEMENT deux domaines dans lesquels je posais aussi mes règles: le sexe et mes études. Par la suite nous avons réessayé, j'ai remis ma nuisette, discuté du problème, mais encore une fois, il ne prenait en compte que son propre plaisir. Un soir j'ai eu le malheur (sans pour autant y perdre ma virginité) de m'asseoir au dessus pour lui faire plaisir. La vue a visiblement du lui plaire (et le fait qu'il ne bouge pas trop, il est paresseux et doit presque toujours être appuyé quelque part pour m'embrasser ou m'enlacer), car désormais il ne me laisse presque plus allongée sur le dos et me tire, parfois à m'en faire mal, sur son ventre. De là, il me palpe encore la poitrine, voire la 'tête' mais c'est douloureux, et ne m'écoute plus, jusqu'à ce qu'il LA perde et abandonne en laissant la frustration s'accumuler de plus en plus.
Sexuellement parlant, je suis donc une poupée gonflable.
Un jour, après lui avoir parlé sérieusement, j'ai décidé de le tester volontairement en l'excitant alors que sa mère était en bas, pour voir sa réaction, ce qui, je le sais est égoïste. Il s'est amusé comme d'ordinaire, me forçant à constater que mes réprimandes et ses excuses n'étaient qu'un tas de mots dans le vide, puis j'ai insisté en espérant lui faire comprendre, mais il m'a stoppée net, m'a regardée, et m'a dit "si tu veux qu'on continue, tu as intérêt à avoir un moyen de la calmer", faisant bien sûr allusion à ce que vous savez. Il me réclamait encore une fois, en gros, ou bien une fellation que je lui refuse car je ne m'y sens pas prête, ou bien une branlette esp., que je refuse tout court mais sur laquelle il fantasme. Etant donné qu'il m'avait déjà reproché mon refus, je l'ai mal pris. J'y ai vu un homme qui parce que ça lui plait, n'hésite pas à tripoter ce qu'il veut au risque de me laisser éventuellement frustrée, mais qui lui, ne veut pas être frustré, même si cela implique par discrétion pas d'acte bruyant. Et ce sans prendre en compte mes choix personnels quant aux pratiques sexuelles que je refuse complètement. C'est aussi un homme qui va râler qu'il ne comprend pas pourquoi je ne veux pas pratiquer la fellation mais qui va arborer une grimace d'horreur en entendant le mot "cunnilingus".
Avec ces situations, il est tellement immature qu'il lui arrive de s'enflammer pour rien. Extrêmement impulsif, il dit tout et n'importe quoi de blessant. Quand ces disputes cessent, il pleure, me dit qu'il m'aime, qu'il est con, qu'il ne veut pas me perdre, qu'il est gamin. Je pardonne bêtement. Plus tard il recommence. Peut-être a-t-il senti mon malaise, car comme pour me garder, il place un poids qui presse lourdement sur mes épaules. Il me fait comprendre que si je devais le quitter si proches d'examens décisifs pour notre avenir, je serais responsable de son échec. Il m'a une fois fait comprendre que si je le laissais, il envisageait le suicide, a jugé intéressant ou pertinent de détailler les prix de certains cadeaux qu'il m'avait faits en prétextant en parler à mes amis, laissant néanmoins un doute planer en moi, et affectionne particulièrement me rappeler combien le reste entier de sa famille et amis aimeraient me rencontrer.
C'est un homme qui considère les vérités d'Internet comme des vérités absolues. C'est un enfant qui ne peut pas avoir tort. C'est un homme qui, si vous le contredites, va vous répondre sur un ton condescendant et un regard qui cherche à vous rabaisser, tant que lui peut avoir raison. C'est un homme qui va s'excuser comme un marmot à chaque fois qu'un reproche lui est fait mais va recommencer les mêmes bêtise. C'est un homme qui me mets la pression. C'est un homme que je veux quitter. C'est un homme que j'aime.
Si vous avez eu le courage de tout lire, merci infiniment. Je ne sais quelle décision prendre, je l'aime mais je ne ressens plus rien, que de la gêne quand il m'enlace ou m'embrasse. Cette situation ne peut plus durer, je dois prendre une décision et je le sais, les discussions répétées, éclats de rage et autres ayant été inutiles. Mais laquelle? fait amusant pour égayer le texte. Si vous avez tout lu, vous avez lu l'équivalent de deux pages Word standard.
En effet, j'ai beau tenter de lui témoigner toute mon affection, et faire d'immenses efforts pour lui, il ne semble jamais en faire de même. C'est un homme qui est un véritable enfant, et extrêmement égoïste. J'ai quelques situations à décrire éventuellement, si cela peut vous aider à cerner le personnage.
En premier lieu, voici quelques exemples en lien avec des journées spéciales
la veille de la saint-Valentin: je lui offre des chocolats, mais il ne les mange pas et grimace en m'avouant qu'il ne les trouvait pas assez sucrés. Il m'avoue ensuite qu'il n'a prévu aucun cadeau de la saint valentin. Une semaine plus tard, il m'informe qu'il a un cadeau, et se sent obligé de préciser que c'est un bibelot issu d'une friandise achetée au hasard. Je n'ai toujours pas vu l'ombre de ce cadeau.
notre premier anniversaire: je pars me faire maquiller. Le résultat est visible, je me trouve moi-même jolie, ce qui est rare, et aucune remarque, jusqu'à ce qu'une amie lui dise de commenter. "c'est pas moche". Lui demandant pourquoi il n'emploierait pas plutôt le mot "jolie", il me répond que c'est par habitude. Encore un peu plus vexée, je demande des précisions: "c'est ce que je dis à mon frère quand il me fait chier en voulant me montrer un truc". Super. Et plus tard, j'ai finalement un commentaire sur le maquillage et ma tenue: "il n'y a pas une zone un peu blanche quand même sur ton visage?".
Hormis ces journées, il y a de manière globale les fois où je me rends chez lui pour passer la journée ou une partie du week-end, en général après une soirée étudiante qui marque les vacances. Et là, avant de rentrer dans le domaine de la vie sexuelle, il passe souvent plus de temps sur ses jeux vidéos qu'avec moi. Si encore il travaillait, étant donnée la filière exigeante qu'il suit tout comme moi, je comprendrais... Quand enfin il travaille, je ne dois en aucun cas le déranger, s'il ne travaille plus autant, c'est parce que ma présence le distrait. Quand il joue, je ne peux pas exiger un regard de sa part ou faire de remarque négative sur sa façon de jouer, ou le conseiller (je m'y connais aussi en la matière), il me répond de manière agressive. Sa famille est adorable, mais je crains qu'elle ne suffise pas à rendre ces occasionnelles visites plus agréables. D'autant plus que, dès que mon tour vient de travailler, c'est avec un immense plaisir qu'il quémande puérilement et constamment mon attention.
Maintenant, passons à la vie sexuelle, car là aussi, il y a à dire. La première fois, timide (et vierge), je me suis motivée en me disant que je devais être à la hauteur, et ai acheté une nuisette. Je me suis mise sous la couette, l'ai attendu. Il m'a vue, s'est allongé et n'a rien fait au début. Je pouvais comprendre, première fois, stress... Mais le problème est surtout survenu quand nous avons essayé plus tard. Le fait qu'il ne sache pas maintenir son érection indéfiniment, je peux le concevoir. Cependant, mon cher et tendre a semblé penser que me faire l'amour voulait dire me "palper" là où le voulait. Je suis en effet dotée d'une (souvent pénible) très généreuse poitrine, et s'il prétend s'en moquer, il n'a d'yeux que pour elle et mon postérieur. C'est donc frustrée et même la poitrine douloureuse que je ressortis de cette expérience. Sans attendre je lui fis la remarque, et je décidai et lui annonçai qu'il y aurait DEFINITIVEMENT deux domaines dans lesquels je posais aussi mes règles: le sexe et mes études. Par la suite nous avons réessayé, j'ai remis ma nuisette, discuté du problème, mais encore une fois, il ne prenait en compte que son propre plaisir. Un soir j'ai eu le malheur (sans pour autant y perdre ma virginité) de m'asseoir au dessus pour lui faire plaisir. La vue a visiblement du lui plaire (et le fait qu'il ne bouge pas trop, il est paresseux et doit presque toujours être appuyé quelque part pour m'embrasser ou m'enlacer), car désormais il ne me laisse presque plus allongée sur le dos et me tire, parfois à m'en faire mal, sur son ventre. De là, il me palpe encore la poitrine, voire la 'tête' mais c'est douloureux, et ne m'écoute plus, jusqu'à ce qu'il LA perde et abandonne en laissant la frustration s'accumuler de plus en plus.
Sexuellement parlant, je suis donc une poupée gonflable.
Un jour, après lui avoir parlé sérieusement, j'ai décidé de le tester volontairement en l'excitant alors que sa mère était en bas, pour voir sa réaction, ce qui, je le sais est égoïste. Il s'est amusé comme d'ordinaire, me forçant à constater que mes réprimandes et ses excuses n'étaient qu'un tas de mots dans le vide, puis j'ai insisté en espérant lui faire comprendre, mais il m'a stoppée net, m'a regardée, et m'a dit "si tu veux qu'on continue, tu as intérêt à avoir un moyen de la calmer", faisant bien sûr allusion à ce que vous savez. Il me réclamait encore une fois, en gros, ou bien une fellation que je lui refuse car je ne m'y sens pas prête, ou bien une branlette esp., que je refuse tout court mais sur laquelle il fantasme. Etant donné qu'il m'avait déjà reproché mon refus, je l'ai mal pris. J'y ai vu un homme qui parce que ça lui plait, n'hésite pas à tripoter ce qu'il veut au risque de me laisser éventuellement frustrée, mais qui lui, ne veut pas être frustré, même si cela implique par discrétion pas d'acte bruyant. Et ce sans prendre en compte mes choix personnels quant aux pratiques sexuelles que je refuse complètement. C'est aussi un homme qui va râler qu'il ne comprend pas pourquoi je ne veux pas pratiquer la fellation mais qui va arborer une grimace d'horreur en entendant le mot "cunnilingus".
Avec ces situations, il est tellement immature qu'il lui arrive de s'enflammer pour rien. Extrêmement impulsif, il dit tout et n'importe quoi de blessant. Quand ces disputes cessent, il pleure, me dit qu'il m'aime, qu'il est con, qu'il ne veut pas me perdre, qu'il est gamin. Je pardonne bêtement. Plus tard il recommence. Peut-être a-t-il senti mon malaise, car comme pour me garder, il place un poids qui presse lourdement sur mes épaules. Il me fait comprendre que si je devais le quitter si proches d'examens décisifs pour notre avenir, je serais responsable de son échec. Il m'a une fois fait comprendre que si je le laissais, il envisageait le suicide, a jugé intéressant ou pertinent de détailler les prix de certains cadeaux qu'il m'avait faits en prétextant en parler à mes amis, laissant néanmoins un doute planer en moi, et affectionne particulièrement me rappeler combien le reste entier de sa famille et amis aimeraient me rencontrer.
C'est un homme qui considère les vérités d'Internet comme des vérités absolues. C'est un enfant qui ne peut pas avoir tort. C'est un homme qui, si vous le contredites, va vous répondre sur un ton condescendant et un regard qui cherche à vous rabaisser, tant que lui peut avoir raison. C'est un homme qui va s'excuser comme un marmot à chaque fois qu'un reproche lui est fait mais va recommencer les mêmes bêtise. C'est un homme qui me mets la pression. C'est un homme que je veux quitter. C'est un homme que j'aime.
Si vous avez eu le courage de tout lire, merci infiniment. Je ne sais quelle décision prendre, je l'aime mais je ne ressens plus rien, que de la gêne quand il m'enlace ou m'embrasse. Cette situation ne peut plus durer, je dois prendre une décision et je le sais, les discussions répétées, éclats de rage et autres ayant été inutiles. Mais laquelle? fait amusant pour égayer le texte. Si vous avez tout lu, vous avez lu l'équivalent de deux pages Word standard.