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Bonjour! Je vous explique mon cas. Je suis une femme de 31ans et depuis deux semaines, j'ai eu au moins cinq '' malaises " comme je les appelle. Je vous décris ce que je ressens; une douleur graduelle et vive au creux de la poitrine et qui dernièrement est accompagnée au plus fort de sueur. Mais je n'ai pas de vertige, nausée ni de difficulté respiratoire. Seulement cette pression (serrement) et ensuit sensation de brûlure au milieu de la poitrine. Hier matin, j'ai eu ma crise la plus importante, elle a commencé à 7h30. après le départ de mon mari et ma fille, je me dépêchais pour ne pas être en retard et ça commencé. Normalement au bout de 15-30 min les symptômes disparaissent, donc je décide de partir pour le travail. Mais rendu au métro, loins de s'être amélioré la situation a dégénérée, donc je décide de retourner vers chez-moi et de faire un arrêt à la clinique de mon quartier. Résultat; sur place le médecin décide d'appeler l'ambulance. Je ne sais pas ce qui a déclencher cette réaction, mais j'ai eu le droit a deux doses de nitro sous la langue ce qui ma vraiment fais du bien. Les ambulanciers m'ont dit que je faisais de l'arythmie et m'ont transféré à l'institut de cardiologie. J'y suis demeurée 7 heures. Deux ECG, deux prises de sang et un rayons X plus tard, le docteur ne sais toujours pas ce que j'ai, tout semble normal. Je dois tout de même y retourner la semaine prochaine pour le test du tapis roulant et faire un nucléaire(?) pour pouvoir éliminer définitivement l'angine de poitrine. Pour le moment, je dois prendre une aspirine de bébé par jour. Par contre, si ce n'est pas ça, serait-ce des crises de paniques? L'année dernière, j'aurais compris; conflit avec mon père, harcèlement psychologique au travail, congédiement injustifié, démarche aux normes du travail avec de longues négociations en médiation, mon mari qui travaille et habite Québec la semaine, ma fille qui commence la garderie et est toujours malade,.... Mais maintenant, j'ai un nouveau travail que j'adore, mon mari a un nouveau travaille à Montrél, tout va bien pour ma fille et j'ai eu un bon règlement monétaire en médiation. Serait-ce le contre coups de toutes ces émotions. Je me suis apperçu qu'une petite contrariété ou une petite inquiétude peut déclencher une crise. Par exemple, le pas vouloir être en retard au travail ou même la nuit dernière la crise a débuter par l'inquiétude que ma fille toussait creux. Mais je n'ai pas peur qu'elle meurt pour autant. Je voudrais juste savoir ce qui ce passe réellement et pouvoir le gérer. Je suis de nature une personne émotive qui n'aime pas que sa petite routine soit chamboulée, je préfère avoir le contrôle des évènements, ce qui dans la vie de tous les jours est presque impossible. JE me contrarie facilement et je n'ai pas un caractère facile. Ce qui me fait peur, c'est q'en deux semaines les crises deviennent plus rapprochées, plus intenses et plus longues. J'espère juste que ce soit temporaire. Désolée pour ce long roman, mais je suis prises au dépourvue par les évènements et carrément dépassée. J'aimerais bien avoir vos opinions et suggestions. Merci de votre lecture!