Bonjour.
Je voudrais savoir, si des personnes ont des documents, liens, littérature etc, à me donner, sur le sujet de l'inhibition de basse latence.
J'ai vu ca dans une série, et je souhaiterais avoir de plus en amples informations concernant ce sujet.
En vous remerciant par avance.
Merci.
Cordialement.
Premier message
Message #1
Alors toi aussi tu t'es senti concerné par ce passage précis de Prison Break où l'on parle des "pathologies" de mickael. Ca a été particulièrement révélateur pour moi d'autant plus que je porte le même prénom et que moi aussi il m'a été longtemps difficile de mettre un frein au fait de trop réfléchir.
Ce qui est intéressant c'est qu'il précise que le développement de cette patho peut suivre un cours différent selon que la capacité mnésique et selon le potentiel que l'on a à résister à cette pression constante(le flic du FBI qui poursuit Mickael souffre de la même pathologie et prend des pillules pour ne pas perdre la boule). Dans le meilleur cas on devient un génie; dans le pire instable. Je suis au milieu.
Moi perso le fait de parler d'inhibition est claire puisque si on est limité en capacité on se fatigue vite à ce jeux de toute analyser et il n'en résulte qu'une certaine frustration qui nous fait prendre conscience que l'on affronte une inhibition(donc plus basse latence). Mickael lui n'a pas la possibilité de prendre du recul car il gagne à chaque fois la partie contre lui même vu les capacités qui lui sont attribuées dans cette série (énorme résistance au stress). J'ai out de même aimé le fait que son personnage soit cohérent car on montre souvent que ses capacités mnésiques sont limitées (tatouages...).
Par contre la suite de la série devient beaucoup moins cohérente (l'auteur réalise ces propres fantasmes à travers les actions des perso qui perdent du coup de leur crédibilité et de leur cohérence. Je savais alors que Bellick se retrouverai avec Avocado...).
après cette paranthèse sur la série je vais essayer de trouver d'autres infos sur le sujet.
Je ferai un saut pour voir si ya du neuf.
@+
Ce qui est intéressant c'est qu'il précise que le développement de cette patho peut suivre un cours différent selon que la capacité mnésique et selon le potentiel que l'on a à résister à cette pression constante(le flic du FBI qui poursuit Mickael souffre de la même pathologie et prend des pillules pour ne pas perdre la boule). Dans le meilleur cas on devient un génie; dans le pire instable. Je suis au milieu.
Moi perso le fait de parler d'inhibition est claire puisque si on est limité en capacité on se fatigue vite à ce jeux de toute analyser et il n'en résulte qu'une certaine frustration qui nous fait prendre conscience que l'on affronte une inhibition(donc plus basse latence). Mickael lui n'a pas la possibilité de prendre du recul car il gagne à chaque fois la partie contre lui même vu les capacités qui lui sont attribuées dans cette série (énorme résistance au stress). J'ai out de même aimé le fait que son personnage soit cohérent car on montre souvent que ses capacités mnésiques sont limitées (tatouages...).
Par contre la suite de la série devient beaucoup moins cohérente (l'auteur réalise ces propres fantasmes à travers les actions des perso qui perdent du coup de leur crédibilité et de leur cohérence. Je savais alors que Bellick se retrouverai avec Avocado...).
après cette paranthèse sur la série je vais essayer de trouver d'autres infos sur le sujet.
Je ferai un saut pour voir si ya du neuf.
@+
