Moi, je veux vous encourager ce soir!

Oui!!

Voila 15 ans, j'ai été diagnostiquée borderline, lors d'une hospitalisation.
J'ai souffert majoritairement durant ma jeune vie d'adulte et j'excusais souvent mes comportement douteux et mon manque de maturité, avec le trouble limite. Je me voyais me derresponsabiliser peu a peu, espérant même vivre a l'hopital et de ne plus m'occuper de rien. Je deconnectais de la réalité en permanence, vivant dans mes rêveries, ne prennant jamais action, anticipant les drames, tous les jours.
J'ai blesser ma famille, j'ai même déja pointer un couteau sur ma soeur(j'avais une panoplie de médicaments que je me plaisais a mélanger a l'alcool), j'ai tout perdu.

Puis, il y a eu les thérapies comportementales en groupes, qui ont été infructueuses. Je prennais toute la place, je dérangeais tout le monde, j'aimais choquer, provoquer. Bref, a real pain in the ass.

Je me complaisais, dans mon trouble de personnalité, j'avais choisi, d'avoir l'air folle, au lieu de changer. En même temps, j'avais l'impression que rien de tout cela, n'était sous mon controle. La médication, les médecins, ma famille distante, ma région petite et fermée, tout pour moi était une excuse a mon trouble.
Souvent les médecins nous blasent avec des explications sur les facteurs, on s'assoit et on se dit: ah oui..c'est ça..mon dieu, c'est pour ça. Et puis, on attends, on fait 100% confiance au docteurs, aux psychiatres, et on les laissent décider pour nous, parler pour nous, et nos familles nous voient comme des personnes très malades.

J'étais sérieusement entrain de me transformer en psychopathe.

Et bien, si vous me voyiez aujourd'hui, a 33 ans, vous ne pourriez jamais deviner que j'ai été hospitalisée de maintes fois, contentionnée comme un animal pendant des jours, que je voulais cogner tout ce qui bougeait.

Le déclic c'est passé quand j'ai arrêter de me considérer, de me voir, comme une borderline sur deux pattes.
Quand j'ai pris conscience que j"étais toujours maître de mes comportements, que le trouble ne me controlait pas.
Et cette phrase englobe bien des mois de auto-thérapie, d'analyse personnelle, de retour dans le passé, et de franchise avec moi même.
J'avais fini de m'appitoyer, je ferais ce que je pouvais de mieux avec ma vie, et je ne continuerais plus d'avoir honte de mon passé.

J'ai fini ma médecine voila quelques années, je travaille maintenant auprès de la clientèle agée, en soins palliatifs. J'ai arrêter d'arrêter de faire des efforts quand ça devenait trop dur, j'ai arrêter de m'infantiliser et de blamer ma famille, mes abus sexuels, tout ce que j"avais vécu, pour celle que je suis.
Faire la paix avec son passé, c'est long, mais on peut en changer la perception que l'on en a, pour que ça arrête de nous faire souffrir.
Mais le plus important, c'Est de cesser de se plaindre, et de se victimiser.
Ça mène a rien, je vous le dit.
Ce ne sont que des solutions temporaires.
Pour grandir plus fort, faut savoir s'intérioriser, accepter la solitude, un certain niveau d'anxiété dans nos vies sans en faire un plat, et évacuer la colère en nous par des moyens sains.
Le trouble de la personnalité limite, est un cri du corps, de l'esprit, qui veut que l'on fasse la paix avec ce qui nous fait souffrir.
Alors, y'a pas cent milles façons.

Svp...croyez-vous plus forts, essayer de vous convaincre que vous avez le pouvoir sur vous-même, que vous pouvez choisir de ne plus continuer les comportements nuisibles, comme on dit non a d'autres choses dans la vie, on peut dire non a ça aussi.
C'est juste long, pas facile, et y'a pas un psy qui va vous dire ce genre de choses avec beaucoup de passion......
Mes amis, pour avoir fait ma médecine, je vais vous en dire une bonne, et un conseil du coeur, qui j'espère va vous faire quelque chose ce soir:
La psychiatrie est aussi, un beau racket, pour remplir les poches des autres.
On vous encourage a vous complaindre dans votre problème, on vous ralenti, on vous rajoute du poids sur les épaules.
Les patients en psychiatrie sont une mine d'or pour les médecins qui vous traitent souvent comme des cobayes.
Le psychiatre est la, temporairement pour vous, l'effet des médicaments, l'effet réel durent de 10 jours a quelques mois, mais ensuite, c'est l'effet placebo, c'est VOUS qui entrer en ligne de compte.
Le trouble borderline est un fourre tout dans la psychatrie. C'est le diagnostic populaire. Doit on toujours croire le diagnostic? Bien sur que non!
Ce monde la, ça veut vendre des pillules!!!
C'est pas juste une science, c'est aussi, un marché. Et bien lucratif.

Loin de moi l'idée de vous encourager a vous rebeller contre vos médecins, je sais la sécurité que leurs avis apportenent dans vos vies, mais ce n'est que temporaire..Apres un temps, faut passe a d'autre chose. Mais faut se conscientiser et comprendre et accepter que la médecine n'est pas toujours une science, centrée sur les patients.

Je suis toujours borderline, c'est bien la, je le sens.
Mais, je ne le clame plus haut et fort, je ne lui donne plus cette force.

J'ose espérer que cela vous encourage, sincèrement, et je ne l'ai pas eu facile, pour ceux qui serait tenter de le penser.

Je ne pourrais pas dire mieux Davidps!!! :)

Ce que tu as écrit est vraiment magnifique :D , j'en ai les larmes aux yeux :cry:

J'ai posté mon témoignage suite à celui d'existentielle, je voulais rajouter :
Un jour un enfant de 7 ans regardait les étoiles. Il se demandait qui étaient ses parents, qui était sa famille, tant de malheurs et de tristesses remplissaient son coeur.

En grandissant, les épreuves de la vie ne l'épargnère. Né dans une famille pauvre et rempli de difficulté, cet enfant était déboussolé. Après avoir loupé le collège, le lycée et après tant de malheurs son coeur n'était toujours pas soigné.

Sa maman qui l'avait mis au monde et son papa n'était pas assez "adultes" pour s'occuper de lui.
Alors cet enfant avec les années développa des "systèmes de défense". Cela consistait à créer un imaginaire pour fuir ce monde horrible, car trop sensible le petit enfant.

En grandissant des épreuves trop dures se mirent devant son chemin. Il devint fou ce petit bonhomme. Des médecins se consultèrent et dire, il est malade cet individu, il faut lui donner des médicaments...

Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi les hommes ne comprennent pas les hommes, pourquoi les hommes ne comprennent pas que lorsque l'on devient bipolaire, limite, maniaco c'est pour se protéger de la vie qui nous à fait souffrir, tant souffrir, c'est pour développer des défenses, et oui rien que cela.

Notre enfant devenu adulte pris les médicaments, puis au cours de sa 34ème année, un de ses professeurs de psychanalyse lui dit : un enfant psychotique est un enfant qui n'a reçu le nom du père.
Voulant découvrir la vérité, c'est alors que cet adulte malade se replonga dans son enfance et se rappela des étoiles qu'il contemplait lorsqu'il était tout petit.

Il compris alors que ce qui lui avait manqué c'est un père, un mère qui soient à la hauteur pour le comprendre et s'occuper de lui, mais ses parents ne l'avaient pu car n'étant assez stables eux aussi.
Revoir l'étoile, revoir les étoiles, revoir l'univers d'ou l'on vient, voilà notre famille.

L'adulte malade compris alors que la vie n'est rien et peut être tout à la fois. Il faut se reconstruire un passé, revenir à l'âge de notre naissance et se dire : tout ce que j'ai dans la tête, on me l'a mis, ce n'est pas moi ça.

Hé oui, nous sommes programmé par les autres qui inconsciemment nous mettent plein de conneries dans notre cervelle. Alors l'adulte revint enfant, reconstuisit tout son passé, lorsqu'il ne trouvait d'indice recréa le passé, pour avoir un passé qui soit le sien.

Hé maintenant cet enfant qui est devenu grand à compris : nous sommes tous des êtres intelligents et doués de grandes capacités et qualités, nous devrions tous naîtres princes et princesses dans un paradis car cela serait en corrélation avec ce que nous sommes, des êtres supérieurs, aux animaux, nespa?

Mais la vie ne donne pas la chance à tous d'être bien né et voilà pourquoi un jour lorsque nous sommes un peu plus grand nous pettons les plombs, car nous sommes dans un monde qui ne comprend pas ses hommes.

Alors prenons nous en main, rêvons d'un monde meilleur, donnons toute notre énergie à construire, notre corps qui porte notre esprit, arrêtons de dire qu'être bon c'est d'abord s'occuper des autres, car c'est d'abord penser à soi, et penser que tout son passé est à reconstruire, à re-imaginer.

Imaginons un monde meilleur, imaginons que nous sommes tous des étoiles qui dans une galaxie qu'est la terre, nous avons besoin de reposer une bonne fois pour toute nos repères. Arrêtons de croire à tous ceux qui nous disent posséder la vérité, que ceux-ci soient psychiatres, psychanalyste ou religieux ou bien encore sectaires, car en vous les vérité est.

A tous mes frères de coeur et d'esprit vous qui cherchez la lumière, regardez au plus profond de vous, elle émane de votre pensée, vous être des êtres sans pareilles.
Que vous guérissiez tous de vos maux et qu'enfin nous soyons tous heureux sur cette terre.

Bonjour, Existencielle, Je suis heureuse pour toi qui a su prendre ta vie en main car aujourd'hui , tu le sais maintenant que tu es le seul Maître de ta propre vie . Ce que je retiens cependant ,c'est la motivation que tu as eu de na pas te laisser aller à la dérive. Tu sais, beaucoup de personnes sont portées à entretenir leurs comportements de leur passé,ex:je suis déclaré bordeline et je suis et je vais demeurer dans cet état toute ma vie il n'y a rien à faire etc...Tu sais , la preuve est là que lorsque l'on mets des efforts , Nous pouvons tous y arriver à améliorer notre qualité de vie.
Pour ce qui est des psys. C'est comme dans toute chose, c'est bon de magasiner pour arriver à trouver un bon psy qui sait répondre à tes besoins.Je fais moi-même des consultations individuelles et des thérapies de groupes de 6 personnes et je prends vraiment le temps et ce que je veux le plus au monde ,c'est que les gens se sentent mieux intérieurement et que leur santé intérieure me tient à coeur.Pour atteindre le bonheur de se sentir bien.Cela demandes des efforts de tous les jours mais C'est tellement enrichissant.
Bon cheminement .et surtout ne lâches pas.
Diane Côté Psychothérapeute.

salut à tous et à toutes,
existentielle je te remercie beaucoup pour ton courage et ta volonte à faire passer des idées et conclusions aussi positives, je concidere cela comme prometteur d'une excellente journnée! eh oui c'est vrai il suffit de positiver et d'etre optimiste pour attirer envers soi l'afflux de toutes les bonnes choses.
quant à moi j'etais souffrante d'une depression tres tres profonde il y a presque 10 ans j'en ignorai la cause j'ai essaye de consulter un psy en quete d'une reponse mais j'ai ete tres deçu de sa conclusion et surtout de sa maniere de traiter qui s'est solde par une ordonnance ou est prescrits pleins d'antidepresseurs!!!à ce moment la j'ai eu la conviction que c'etait le mauvais chemin que j'avais choisi ; j'ai dechire l'ordonnace et me suis dirigée directement vers un praticien chinois qui m'avais appris pleins de postures (du tigre, de la grenouille, de l'arbre) je travaillai hard une heure chaque jour en parallelle avec le taichi chuan et des masages à la bioenergie au bout d'un mois et grace à ces methodes naturelles j'ai reussi à faire remonter l'esprit positif et faire reculer celui negatif , c'etait une transformation radicale sur tous les plans , depuis j'ai arrete de fouiller trop dans mon passe ou de projeter mes malheurs sur les autres , jeme sens equilibreé et chanceuse...et j'essaye de voir toujours la moitie pleine du verre et d'aspirer le moment present à grande bouffée dans sa pleinitude et sa nouveaute, le temps passe de maniere irreversible donc autant en profiter et laisser le flot de la vie couler naturellement!!
au terme rappellez vous qu'il vaut mieux allumer une chandelle plutot que de maudir l'obscurite excellente journnée à vous tous!

je voulais dire merci pour l'encouragement que tu nous donne, moi je suis bordeline aussi et je crois tout comme toi que c'est nous qui fais le plus gros de la job et non les pillules ou autre chose du genre.

Bonjour à vous tous,

Je viens souvent lire sur ce sujet qui me concerne. En effet il y a de l'espoir et on doit y penser lorsque nous sommes au fond du gouffre. Il y a deux ans que je n'ai pas travaillé car plusieurs choses se sont produites depuis 2 ans dans ma vie familiale et professionnelle en même temps! Un passé encore trop présent.

Diagnostiqué borderline l'année dernière suite à une thérapie de groupe, je me suis mise à me regarer aller et à lire sur le sujet. Puis ma conclusion est semblable à la votre. Nous devenons borderline à force de subir et d'être assujettis au contrôle. Un jour notre corps, notre souffrance n'en peux plus et explose mais entre-temps, nous tentons de réagir et de penser différemment afin de nous en sortir. Notre souffrance intérieure est tellement énorme que lorsque nous sentons que la vapeur va sortir un peu, elle prend toute la place et nous fait perdre le contrôle car trop intense, simplement. Tout ça est totalement humain et même si je suis sous médication depuis longtemps déjà, je tente de voir le positif dans tout ce négatif.

Mon explication; Je ne suis pas responsable de ce que j'ai subi, cependant maintenant je suis responsable de mon présent et ne veut plus subir, responsable de mon bonheur à chaque jour, peut importe ce que j'ai vécu avant, je mérite d'être heureuse car j'en vaut la peine. Oui, parfois moi aussi j'ai des comportements qui me culpabilisent, parfois je saute la coche mais l'important est d'en prendre conscience et de l'apprivoiser(même si c'est plus facile à dire qu'à faire, on est faite fort!). Je travaille très fort sur ma perception et mes comportements et depuis l'année dernière, tout ces efforts m'ont rendu une meilleure personne. Moi je n'ai jamais compris pourquoi, mais j'ai toujours eu l'espoir au fond de moi et je le nourris chaque jour.

On doit s'accrocher mentalement à ce qui est positif, après tout ne sommes-nous pas cérébral?! :wink: Récompensez-vous, payez-vous un massage ou un soin qui changera vos énergies. Les médocs, la thérapie.....bien sûr mais il ne faut pas oublier de se réénergiser peu importe votre façon, camping, nature, animeaux, voyage, détente, ect... quelque chose qui vous plaît et vous relaxe.

Les petits bonheurs sont les plus précieux! Gros câlin.
kim5 :wink:

bonjour et merci pour ton témoignage
borderline n'est pas une "maladie" en tant que tel puisque ce n'est pas irrélédiable
c plutot un état psychique en conséquence souvent à des traumatismes

on m'a diagnostiquée borderline, mais je refuse de me penser malade
je sais bien que j'ai des comportements "anormal", mais je les cache, et j'essaye de m'améliorer

cependant il m'arrive de vivre dans mon corps, dans mon psychisme une vrai souffrance
je refuse la surmédications, et seul la psychothérapie m'aide
mais ce n'est pas facile
bises
bon courage

:)

Super les messages!!!
Face à ce genre de témoignage, on ne peut que vouloir y répondre. Quelle force et quelle énergie que voici!!! Existentielle et toutes celles et ceux qui ont témoigné ont raison; c'est à nous de prendre nos vies en main alors arrétons de laisser croire aux médecins que leur diagnostiques et leurs prise en charge sont sans faille. Ils sont avant tout des hommes et ne dit-on pas "l'erreur est humaine". Nous sommes les seuls maîtres de notre destin....
Et me voilà gonfler à bloc pour toute la journée.
Merci à tous :wink:

Existentielle a donné pas mal d'infos, c'est déjà très bien
Pour ma part j'ai fait une psychose maniaco-depressive fulgurante qui m'a hospitalisé pendant 1 mois à 28 ans, médocs, ect... pendant plusieurs années.
Puis j'ai repris mes études, et ensuite j'ai fait une fac de psy. Je suis d'ailleurs maintenant en 4ème année, comme quoi !!!
J'ai réussi à refaire totalement ma vie mon passé, pour moi ce fut plus dure car en plus de me plaindre comme pas deux, j'avais aussi vraiment vécu des choses très dures.
J'ai su trouver au fond de moi ma vérité. Maintenant, que je me suis libéré de tous mes liens depuis cette année, en fait ça a duré un an et demi le temps de me refaire complètement.
Je suis passé par des phases de psychoses consciente, contre l'avis de tout mon entourage qui ne croyait jamais que je pourrais retrouver la santé, j'ai bleuffé tout le monde !!!!!!!!!!!!!
Le psy lui ne sait quoi dire, il a jetté l'éponge.
Et maintenant j'ai compris comme je fonctionnais, les bipo et maniaco sont souvent des personnes très douées et contrariées, ce qui fut mon cas, maintenant, j'écris, j'écris et je libère mon esprit.
Je suis en train parrallèlement à mes études de développer des explications sur le développement de l'imaginaire de l'homme en correspondance avec son évolution psychophysiologique...
Bon courage à tous,
MAis moi aussi je peux vous dire : on peut guérir, il faut y croire!!!!!!

Chère Existence, je te crie bravo, bravo, bravo !!!! Ton témoignage est super :P

Je suis à 100% d'accord avec toi ... sur toute la ligne. Le plus difficile à faire lorsqu'on souffre beaucoup, c'est de stopper l'envie de projeter sur les autres notre honte en les culpabilisant, ce qui fait qu'on se permet d'agir en victime. :roll: J'ai déjà blâmé tout le monde autour de moi d'être des sans-coeur, c'est un cercle vicieux qui devient plus fort si on repousse l'idée de faire une vraie introspection, comme tu l'as écrit, quand on veut "grandir plus fort".

C'est de trouver la paix en nous et la chérir pour qu'elle puisse nous guider dans nos réactions ! Le monde peut nous sembler agressant, les spécialistes et médecins font leur boulot en suivant presqu'à la lettre les lois économiques (médicaments) qui dictent leur marché (je me rappelle du film "La Constance du Jardinier" que j'ai vu, c'est un peu le sujet). Le problème c'est que souvent, il y a des psychiatres qui se concentrent plus sur la maladie que sur la personne, ils ne vont pas cherché à stimuler la partie saine et bonne en nous; c'est plus facile et plus vite avec des médicaments et à long terme, on se retrouve tout aussi perdu parce que ces médicaments même s'ils aident, créent un genre de conditionnement à la maladie dans notre organisme, dans notre vie. Et à long terme, c'est pas NOUS-MÊMES qui avons travaillé à notre mieux-être c'est les pilules qui agissent. Avec des médicaments, ça prend aussi une thérapie, une introspection, un recul, une acceptation... Il faut travailler sur soi !!

Merci pour ton message très positif et plein de dynamisme Ça fait du bien, ça me dit de ne pas se lâcher parce que pour vraiment s'aider, il faut vouloir y mettre du temps, de la patience. Patience, espoir .... pour finir par s'aimer. C'est ça le plus important !! Quand on s'aime et qu'on a vraiment mis le paquet pour s'en sortir à l'intérieur de nous, à l'extérieur nos relations aux autres changent aussi, deviennent plus harmonieuses parce qu'on s'accepte malgré les étiquettes de maladie. En tant que personne aimante.
Bonne journée !! Bonnemine 8)

Merci pour votre message d'encouragement et d'espoir
quand l'inconscient nous controle par divers troubles psy,il est difficile d'essayer de faire comme si de rien n'etait,pourtant je sais que c'est la seule solution pour que l'on reprenne le controle
quant au psychiatre,j'en suis revenue!!!!!!!!!!j'en ai consulte un pour de l'emdr,ca n'a rien donne:moins d'une demi heure la seance est tout ca pour80 euros!!!!!!seule chose qu'il me disait"la vie, c'est pour sortir et profiter"
quand je le consultais,je lui avais demande de me faire ma prolongation d'arret maladie car mon medecin etait malade,il n'a pas voulu et m'a dit "je ne m'occupe pas de ca"
lors de ma premier visite au medecin conseil de la secu social,il etait d'accord pour une reprise a mi temps!!!(alors qu'il savait que j'en etais totalement incapable)il s'est justifie en disant"c'est comme ca"
il y a quelques mois,j'etais tres tres mal,je pensais a l'hospitalisation, je lui ai ecri sur son mail,lui demandant quoi faire et si il faisait d'autre therapie;il a lu mais ne m'a pas repondu!!!!!!!!!!!!!!